Art Institute of Chicago

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Art Institute of Chicago
L'Art Institute of Chicago.
Informations générales
Nom local
The Art Institute of Chicago
Type
Ouverture
Surface
environ 100 000 m2
Visiteurs par an
2 000 000
Site web
Collections
Collections
Antiquité, arts asiatiques, africains, amérindiens, peintures du XIIIe au XXe siècle
Nombre d'objets
300 000
Bâtiment
Architecte
Localisation
Pays
États-Unis
Commune
Adresse
111 South Michigan Avenue
Coordonnées
Carte

L'Art Institute of Chicago est un musée situé à Chicago aux États-Unis. Deuxième plus grand musée d'art du pays après le Metropolitan Museum of Art de New York, il abrite l'une des plus importantes collections d'art des États-Unis. Ouvert au public depuis 1879, le musée fut établi initialement à l'angle sud-ouest de State Street et de Monroe Street. Lors de l'Exposition universelle de 1893, la ville construisit un nouveau bâtiment pour abriter les collections de l'Art Institute. Depuis 1893, le musée se trouve dans le Grant Park, au 111 South Michigan Avenue, dans le centre-ville de Chicago. Le musée fait face au Peoples Gas Building et au Symphony Center, deux bâtiments classés sur le Registre national des lieux historiques.

Entre 1893 et 2005, l'Institut d'art a été agrandi cinq fois, pour l'amener à une superficie de 70 000 m2. En 2005, le musée a commencé un nouveau projet d'extension, la Modern Wing, dessinée par Renzo Piano. Ouverte le , elle a ajouté 24 150 m2 pour porter la superficie totale du musée à presque 100 000 m2. La construction, dont le coût a porté sur un budget de 350 millions de $, a été financée par des donations de citoyens de Chicago. Dans le nouveau bâtiment, le musée compte mieux mettre en valeur sa collection moderne qu'il estime être la troisième plus importante (après celles du Centre Pompidou à Paris et du MoMA à New York[1]).

Le musée est particulièrement renommé pour ses collections de peintures impressionnistes et post-impressionnistes. Selon un consensus bien établi[Par qui ?], ces collections arrivent juste après celles du musée d'Orsay par leur importance. On notera en particulier Un dimanche après-midi à l'Île de la Grande Jatte de Seurat, Rue de Paris, temps de pluie de Caillebotte, Sur la terrasse de Renoir, une des trois versions de La Chambre de Van Gogh à Arles, un célèbre Autoportrait (1887) de Van Gogh, et une trentaine de peintures de Monet, dont une sélection des Nymphéas, un Pont japonais, deux exemplaires de Waterloo Bridge, un Parlement de Londres, un Arrivée du train de Normandie, Gare Saint-Lazare et six Meules de foin.

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1866, un groupe de trente cinq artistes fonde la Chicago Academy of Design (Académie de design de Chicago) dans un studio attenant à une école libre qui possède sa propre galerie d'art située sur Dearborn Street. L'organisation prend comme modèle les grandes académies d'art européennes, comme la Royal Academy of Arts de Londres, avec ses académiciens. Les cours commencent dès 1868. Lorsque le Grand incendie de Chicago a lieu le 8 octobre 1871, une grande partie du centre-ville ainsi que le bâtiment abritant l'académie sont totalement détruits[2].

En 1879, soit huit ans après l'incendie, l’Art Institute est fondé en tant que Chicago Academy of Fine Arts (Académie des beaux-arts de Chicago). En 1882 le nom change et peu après l'institution se trouve à l'étroit pour abriter sa collection toujours croissante et ses étudiants toujours plus nombreux. Alors que la cité se prépare à éblouir le pays pour l'Exposition universelle de 1893 (World Columbian Exposition), le conseil d'administration de l’Art Institute négocie, avec les autorités de la ville, la construction d'un nouveau bâtiment situé dans un parc sur Michigan Avenue et Adams Street. La conception de style Beaux-Arts classique du bâtiment est confiée à la société de Boston Shepley, Rutan and Coolidge. L’Art Institute ouvre officiellement ses portes le 8 décembre 1893[2].

L'Art Institute of Chicago (en 1915).

En moins d'une année[Laquelle ?], l’Art Institute reçoit, de madame Henry Field, sa première donation importante, une collection de peintures françaises. Deux améliorations successives du bâtiment ont lieu en 1898 par l'adjonction de l'auditorium Fullerton puis en 1901, la bibliothèque Ryerson. Dès 1910, en partenariat, la Chicago Society of Etchers peut y organiser des expositions d'eaux-fortes dotées de prix[3]. En mars-avril 1913, le musée surprend la ville en accueillant l’« Armory Show » (The International Exhibition of Modern Art), une grande exposition internationale de peintures et de sculptures d'avant-garde, ici en format plus réduit qu'à Manhattan. Les achats exceptionnels nécessaires à cette exposition parfois controversée[réf. nécessaire] sont à la base de la collection d'art moderne du musée. Plus de 188 560 visiteurs s'y rendirent, soit trois fois plus que pour l'édition new-yorkaise.

Une nouvelle extension du musée est à nouveau requise afin d'exposer dans les meilleures conditions une collection qui comprend maintenant presque tous les médias artistiques. La solution trouvée consiste à construire l'extension au-dessus des voies de l'Illinois Central Railroad qui bordent le mur est de l’Art Institute. Cette extension est réalisée en deux étapes en 1924 et 1925. C'est à cette époque également que le musée reçoit un legs de peintures impressionnistes et post-impressionnistes de Mrs Palmer puis un don de la Helen Birch Bartlett Memorial Collection qui comprend le fameux Un dimanche après-midi à l'Île de la Grande Jatte (1884-1886) de Georges Seurat. Au cœur de la Grande Dépression, le musée reçoit l'un des plus beaux[réf. nécessaire] dons de son histoire, le legs de Martin A. Ryerson. Cette donation comprend aussi bien des peintures américaines qu'européennes remontant même au XVe siècle, des textiles, des gravures et des dessins, des œuvres asiatiques et des pièces des arts décoratifs européens[2]. Enfin la collection de Mrs L.L. Coburn entre au musée en 1933; elle est fameuse pour la qualité[réf. nécessaire] de ses peintures impressionnistes et de ses Renoir, dont les Deux Sœurs peint en 1881[4].

Le manque de matériaux de construction qui suit la Seconde Guerre mondiale empêche le musée de s'étendre[réf. nécessaire]. Pendant les années 1950 on n'assiste qu'à quelques rénovation intérieures qui permettent de créer de nouveaux départements au sein du musée. Ce n'est qu'à partir des années 1960 que sont construites deux nouvelles structures, le B. F. Ferguson Memorial et la Morton Wing. C'est également à cette époque que Madame Stanley McCormick fait don au musée des jardins qui bordent les deux nouveaux bâtiments.

Les années 1970 sont marquées par un accroissement important du nombre d'étudiants et de visiteurs[réf. souhaitée]. Cette tendance incite le musée à créer de nouveaux studios et salles de classe et une école de cinéma ainsi que de nouveaux espaces publics pour le musée[2].

La croissance de la collection d'art contemporain et la grande popularité[réf. souhaitée] de grandes expositions itinérantes conduisent à la construction du bâtiment Daniel F. et Ada L. Rice en 1988. Dans les années 1990, le musée construit de nouvelles galeries pour abriter sa collection asiatique, c'est l'architecte Tadao Ando qui est chargé de les dessiner [5]. Dès 1993, c'est le centre d'enseignement qui est totalement rénové, y compris la bibliothèque Ryerson en 1994 puis l'auditorium Fullerton en 1999.

En 2014, le site d'avis et de conseils touristiques Tripadvisor a classé l'Art Institute of Chicago « meilleur musée du monde »[6]. Une campagne de communication à la tonalité décalée, visant à faire connaître cette distinction en mettant en scène l'index tendu en mousse (Foam finger (en)) des supporters sportifs américains, a été organisée en 2015 par le musée dans la ville de Chicago et sur les réseaux sociaux[7].

En septembre 2021, Veronica Stein, directrice exécutive de l'apprentissage et de l'engagement du Woman's Board, décide de se séparer de quelque 150 guides bénévoles du musée au prétexte que ceux-ci étaient composés majoritairement de femmes retraitées blanches jugées insuffisantes d'un point de vue démographique[incompréhensible]. Elle décide de les remplacer par un petit nombre d'éducateurs rémunérés travaillant plus longtemps. Le Chicago Tribune explique cette décision par l'opinion que « les volontaires sont démodés dans les cercles progressistes, où ils ont tendance à être rejetés comme de riches Blancs avec du temps libre, des modes de pensée dépassés et des obstacles à l'équité et à l'inclusion » ce que le quotidien juge être « une vision absurdement réductrice du volontariat »[8].

Collections[modifier | modifier le code]

Le musée de l'Art Institute of Chicago est composé de quinze collections : africaine, américaine, amérindienne, antique, architecture et design, armes et armures, asiatique, contemporaine, arts décoratifs européens, peinture et sculpture européenne, art moderne, photographie, gravures et dessins, textiles et enfin la collection de miniatures de la salle Thorne[5].

En 2018, au moment de la refonte de son site web, 52 438 œuvres de la collection ont été mises à la disposition du public sous licence libre Creative Commons Zero[9].

Afrique[modifier | modifier le code]

La collection africaine présente des œuvres remarquables de sculpture sur bois, des masques, céramiques, meubles, textiles et travaux de perles essentiellement d'Afrique centrale et dans une moindre mesure du nord et du sud du continent

Parmi les œuvres remarquables de la collection, on citera le Te'amire Maryam ("les Miracles de Marie"), un parchemin richement illustré de la fin du XVIIe siècle provenant de Gondar, alors capitale chrétienne de l'Éthiopie chrétienne de la dynastie salomonide. Le manuscrit fait partie d'un groupe d'œuvres créées lors de cette période de grande innovation artistique au sein de l'Éthiopie chrétienne, les enlumineurs exploraient alors une nouvelle approche de leur art qui comprenait l'introduction d'illustrations narratives.

Amérique[modifier | modifier le code]

Winslow Homer, Après la tempête (1899).

Le département d'arts américains possède une collection de plus de mille peintures et sculptures allant du XVIIIe siècle jusqu'aux années 1950 et près de deux mille cinq cents objets d'art décoratifs allant du XVIIe siècle à nos jours, ainsi que du mobilier et de l'argenterie. On notera par exemple la collection du photographe Alfred Stieglitz et des œuvres notables de Frederic Remington, George Inness, Winslow Homer, John Singer Sargent, Mary Cassatt, Georgia O'Keeffe. On peut y admirer deux icônes de la culture américaine : American Gothic de Grant Wood (1930) et Nighthawks d'Edward Hopper (1942). On peut également y voir des œuvres d'artistes mexicains comme celles de Diego Rivera ou José Clemente Orozco.

Arts amérindiens[modifier | modifier le code]

La collection d'arts amérindiens se concentre sur les céramiques, sculptures, textiles et ouvrages en métal mésoaméricains et andins. Les œuvres des Indiens d'Amérique du Nord, en particulier celles des Indiens des Plaines, du sud-ouest et de Californie y sont également largement représentées. Des terres cuites peintes des Anasazi côtoient des sculptures aztèques, des bois sculptés ou des tissus des Chancay du Pérou, des céramiques des Chupícuaros du Mexique, des bijoux des Coclés de Panama ou encore de la vaisselle en or des Incas.

Arts antiques[modifier | modifier le code]

Le musée présente une vaste collections d'œuvres grecques, étrusques, romaines et égyptiennes, sculptures en pierre, terre et bronze, ainsi que des pièces de monnaie, bijouterie, vases et mosaïques.

On peut citer le sarcophage richement décoré et la momie de Paânkhenamon (qui signifie « Celui qui vit pour Amon »[10]) datant de la Troisième Période intermédiaire égyptienne lors du règne de la XXIIe dynastie.

Architecture et design[modifier | modifier le code]

Architecture et design.

Ce département se concentre sur l'environnement bâti régional, national et international, ainsi que sur le design des objets. La collection comprend plus de 250 000 pièces architecturales, dessins et fragments datant des années 1870 à nos jours. Le musée possède des pièces majeures, comme la reconstitution complète de la Chicago Stock Exchange Trading Room de David Adler, ou des dessins de Daniel Burnham et John Wellborn Root, Bruce Goff, Bertrand Goldberg, Marion Mahony Griffin, Louis Sullivan, Ludwig Mies van der Rohe, et Frank Lloyd Wright.

Armes et armures[modifier | modifier le code]

La collection d'armes et armures, composée de plus de 1 500 objets, est l'une des plus importantes des États-Unis après celle du Metropolitan de New York. Les pièces, européennes pour la plupart, date d'une période s'étendant du XVe au XIXe siècle ; les autres sont originaires du Moyen-Orient et des États-Unis. L'exposition permanente présente 225 pièces composées d'armes et d'objets défensifs. On peut y admirer armures, épées et dagues, arme de jet et armes à feu, souvent finement travaillées et ciselées.

Arts asiatiques[modifier | modifier le code]

L'Art Institute possède une collection d'œuvres asiatiques couvrant une période qui s'étend sur près de cinq millénaires, allant de la Chine, au Japon, en passant par la Corée, l'Inde, l'Asie du Sud-Est, le Proche et le Moyen-Orient. Elle comprend plus de 35 000 pièces d'une grande importance archéologique et artistique, comprenant des bronzes, céramiques, peintures, miniatures et sculptures.

Arts contemporains[modifier | modifier le code]

La collection d'art contemporain présente une collection de plus de mille œuvres internationales. La presque totalité des mouvements artistiques depuis 1950 y sont représentés sous forme de peintures, sculptures, installations et nouveaux média. Parmi ses pièces les plus célèbres, on compte par exemple la Pitchfork Lady de Don Baum, Le Grand Arabe de Jean Dubuffet, American Collectors de David Hockney, Corpse and Mirror II de Jasper Johns, White Disk III de Ellsworth Kelly, Mirror in Six Panels de Roy Lichtenstein, Achrome de Piero Manzoni ou la Kerze de Gerhard Richter[1].

Collection de miniatures Thorne[modifier | modifier le code]

Miniature de la collection Thorne, représentant un salon français de l'époque Louis XVI.

La collection de soixante-huit miniatures Thorne présente des éléments d'intérieurs européens, de la fin du XIIIe siècle jusqu'aux années 1930 et du mobilier américain allant du XVIIe siècle jusqu'aux années 1930. Construites à l'échelle d'un pouce pour un pied, ces miniatures ont été conçues par Narcissa Niblack Thorne (1882-1966) de Chicago et réalisées, entre 1932 et 1940, par des maîtres artisans selon ses spécifications[11].

Quelques œuvres des collections permanentes[modifier | modifier le code]

Peinture européenne du Moyen Âge jusqu'au XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Bartolomeo Manfredi,
Cupidon châtié, 1613.
Eustache Le Sueur,
La Mansuétude, 1650.

Peinture européenne du XIXe siècle avant l'impressionnisme[modifier | modifier le code]

Édouard Manet, Le Philosophe, 1865-1867.
Édouard Manet, Steamboat, aussi intitulé Seascape Calm Weather, 1864[50].
Édouard Manet, Jésus insulté par les soldats, 1865.
Jules Breton, Le Chant de l'alouette, 1884.

Peintures impressionnistes et post-impressionnistes[modifier | modifier le code]

Gustave Caillebotte, Rue de Paris, temps de pluie, 1877, Art Institute of Chicago.
Paul Cézanne,
Les Baigneurs (1900-1905), Art Institute of Chicago.
Auguste Renoir, Les Deux Sœurs (Sur la terrasse), 1881, Art Institute of Chicago.

L'Art Institute of Chicago possède la plus importante collection de toiles impressionnistes en dehors de Paris.

  • Frédéric Bazille, Paysage à Chailly, 1865 ; Autoportrait, 1865-1866
  • Edgar Degas, Portrait de madame Lisle et madame Loubens, 1866-1867 ; Danseuses jaunes dans les coulisses, 1874-1876 ; Henri Degas et sa nièce Lucie Degas, 1875 ; Ballet à l'Opéra de Paris, 1879-1881 ; * Edgar Degas, Portrait après un bal costumé, 1877-1879 ; Chanteuse de cabaret, 1879 ; Chez la modiste, 1879-1886 ; Femme à sa toilette, 1900-1905
  • Édouard Manet, La Régalade, 1862/1872 ; Bateau partant de Boulogne, 1864 ; Le Christ insulté par les soldats, 1865 ; Nature morte avec poisson, 1865 ; Mendiant avec des huîtres, 1865-1867 ; Mendiant en manteau, 1865-1867 ; La Corrida, 1864-1865 ; Course à Longchamp, 1866 ; Portrait de Berthe Morisot, 1873-1874Portrait d'une femme avec un fichu noir, 1878 ; Femme lisant, 1878-1879 ; Portrait d'Alphonse Maureau, 1880

Peinture moderne[modifier | modifier le code]

Edward Hopper, Nighthawks, 1942.

Peinture contemporaine[modifier | modifier le code]

Sculpture européenne[modifier | modifier le code]

Peinture américaine jusqu'à l'impressionnisme[modifier | modifier le code]

  • Gilbert Stuart, Major-General Henry Dearborn, 1812
  • James McNeill Whistler, Nocturne : Azur et or - eau à Southampton (Nocturne: Blue and Gold - Southampton Water), 1872
  • Winslow Homer, Le Filet de harengs (The Herring Net) 1885
  • Winslow Homer, Côte du Maine (Coast of Maine), 1893
  • John Singer Sargent, Mrs George Swinton (Elizabeth Ebsworth), 1897
  • John Singer Sargent, La Fontaine, Villa Torlonia, Frascati, Italie (The Fountain, Villa Torlonia, Frascati, Italy), 1907

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b (en) « Grand and Intimate Modern Art Trove », par Roberta Smith, 13 mai 2009, The New York Times.
  2. a b c et d (en) Encyclopedia of Chicago
  3. (en) Joby Patterson, Bertha E. Jaques and the Chicago Society of Etchers, Cranbury, Fairleigh Dickinson University Press, 2002, p. 15, 121.
  4. (en) Article biographique de l'Art Institute of Chicago (consulté le 20 mai 2023)
  5. a et b (en) Britannica online
  6. « Les 20 meilleurs musées du monde selon les visiteurs », Atlantico, (consulté le )
  7. « L’Art Institute of Chicago lance une campagne de communication décalée « Champions du monde de l’Art » », Club Innovation & Culture France, (consulté le )
  8. (en) Editorial: Shame on the Art Institute for summarily canning its volunteer docents, chicagotribune.com, 27 septembre 2021
  9. (en) « Behind the Scenes of the Website Redesign », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  10. (en) « Mummy Case of Paankhenamun », Art Museum Image Consortium (consulté le )
  11. Kathleen Culbert-Aguilar et Michael Abramson, Miniature rooms : the Thorne rooms at the Art Institute of Chicago. Chicago, Ill. : Art Institute of Chicago, 2004. (ISBN 9780865592131)
  12. (en) « Portrait of Jean Gros », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  13. (en) « Virgin and Child with Saints Jerome, Bernardino of Siena, and Angels », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  14. (en) « Saint John the Baptist Entering the Wilderness », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  15. (en) « Virgin and Child with an Angel », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  16. (en) « Mater Dolorosa (Sorrowing Virgin) », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  17. (en) « The Annunciation », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  18. (en) « The Garden of Paradise », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  19. (en) « Virgin and Child with the Young Saint John the Baptist », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  20. (en) « Saint Catherine », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  21. (en) « Saint Barbara », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  22. (en) « The Infants Christ and Saint John the Baptist Embracing », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  23. (en) « Virgin and Child with the Young Saint John the Baptist », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  24. (en) « The Crucifixion », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  25. (en) « The Assumption of the Virgin », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  26. (en) « Tarquin and Lucretia », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  27. (en) « Diana and Actaeon », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  28. (en) « Cupid Chastised », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  29. (en) « Virgin and Child Adored by Saint Francis », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  30. (en) « Bouquet of Flowers in an Earthenware Vase », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  31. (en) « The Holy Family with Saints Elizabeth and John the Baptist », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  32. (en) « Kitchen Scene », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  33. (en) « The Crucifixion », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  34. (en) « Old Man with a Gold Chain », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  35. (en) « Portrait of Philip IV », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  36. (en) « Landscape with Saint John on Patmos », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  37. (en) « Young Woman at an Open Half-Door », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  38. (en) « Pastoral Landscape with Ruins », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  39. (en) « The Family Concert », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  40. (en) « Merrymakers in an Inn », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  41. (en) « The Wedding at Cana », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  42. (en) « Fête champêtre (Pastoral Gathering) », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  43. (en) « Armida Encounters the Sleeping Rinaldo », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  44. (en) « Are They Thinking about the Grape? (Pensent-ils au raisin?) », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  45. (en) « View of Pirna with the Fortress of Sonnenstein », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  46. (en) « Lady Sarah Bunbury Sacrificing to the Graces », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  47. (en) « Portrait of a Man in Spanish Costume », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  48. (en) « Madame François Buron », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  49. (en) « Madame de Pastoret and Her Son », sur The Art Institute of Chicago (consulté le )
  50. Collectif, directeur Stéphane Guégan, Manet inventeur du moderne, Paris, coédition Musée d'Orsay/Gallimard, , 297 p. (ISBN 978-2-35-433078-1), p. 291
  51. Françoise Cachin, Charles S. Moffett et Juliet Wilson-Bareau, Manet : 1832-1883, Paris, Réunion des musées nationaux, , 544 p. (ISBN 978-2-7118-0230-2, BNF 34718421), p. 226-227-228-229
  52. et d'autres tableaux de Manet sur les collections en ligne
  53. Françoise Cachin, Charles S. Moffett et Juliet Wilson-Bareau, Manet : 1832-1883, Paris, Réunion des musées nationaux, , 544 p. (ISBN 978-2-7118-0230-2, BNF 34718421), p. 423-424
  54. Françoise Cachin, Charles S. Moffett et Juliet Wilson-Bareau, Manet : 1832-1883, Paris, Réunion des musées nationaux, , 544 p. (ISBN 978-2-7118-0230-2, BNF 34718421), p. 234-235-236
  55. Françoise Cachin, Charles S. Moffett et Juliet Wilson-Bareau, Manet : 1832-1883, Paris, Réunion des musées nationaux, , 544 p. (ISBN 978-2-7118-0230-2, BNF 34718421), p. 471-472-473-474
  56. Football Player
  57. acquis en 2011

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (fr) André Parinaud, Charles C Cunningham, Art Institute of Chicago, Paris, Hachette-Filipacchi, 1969 ((OCLC 68321769))
  • (fr) De A à Z 1963 : 31 peintres américains choisies par the Art Institute of Chicago, Centre culturel américain, Institut d'art de Chicago, Paris : Le Centre, 1963 ((OCLC 84413378))
  • (en) John Maxon, The Art Institute of Chicago, New York, H.N. Abrams 1970 ((OCLC 142323))
  • (en) James N Wood, Debra N Mancoff, Laura J Kozitka, Catherine Steinmann, Treasures from the Art Institute of Chicago, Chicago, Art Institute of Chicago 2000 ((OCLC 45841409))
  • (en) Miniature rooms, the Thorne Rooms at the Art Institute of Chicago, Institut d'art de Chicago, Chicago, The Institute, 1983 ((OCLC 9488374))
  • (en) Richard S. Field, « A Passion for the Art Institute », Print Quarterly, vol. 3, no 3, 1986

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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