Chaumet (entreprise)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 7 janvier 2015 à 10:55 et modifiée en dernier par Pautard (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Chaumet
logo de Chaumet (entreprise)
illustration de Chaumet (entreprise)
L'hôtel Baudard de Saint-James au 12 place Vendôme à Paris, où se trouve la boutique Chaumet

Création 1780
Fondateurs Marie-Etienne NITOT
Personnages clés Joseph CHAUMET
Forme juridique Société anonyme
Siège social 12, Place Vendôme (Paris)
Drapeau de la France France
Activité Haute joaillerie et haute horlogerie
Société mère LVMH - Moët Hennessy Louis Vuitton SA
Effectif 1 275 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
SIREN 342966942[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web http://www.chaumet.com
L'Hôtel Baudard de Saint-James au 12 place Vendôme à Paris, où se trouve la boutique Chaumet

Chaumet est une maison française de joaillerie, de bijouterie et d’horlogerie fondée en 1780 par Marie-Étienne Nitot.

Histoire

Période Nitot (1780-1815)

Marie-Étienne Nitot (1750-1809) s'est installé à Paris en 1780 après avoir fait son apprentissage chez Auber, à l'époque joailler de la reine Marie-Antoinette. Sa clientèle aristocratique lui est fidèle jusqu'à la révolution française de 1789. C'est ensuite que la bijouterie Nitot prend réellement son envol lorsqu'elle devient en 1802 le joailler attitré de Napoléon Ier.

Avec l'aide de son fils François Regnault (1779-1853), Nitot crée les bijoux qui offriront à l'empire français faste et pouvoir. Les bijoux du mariage de Napoléon avec Joséphine de Beauharnais puis avec Marie Louise de Habsbourg-Lorraine sont créés par Nitot. Il dessinera et sertira aussi la couronne du sacre de Napoléon, le manche de son épée ainsi que bon nombre d'autres parures pour la cour.

François Regnault Nitot reprendra la joaillerie de son père à sa mort en 1809 et continuera son activité jusqu'à la chute de l'empire en 1815. L'exil de Napoléon motive Nitot, fervent royaliste, à se retirer de la bijouterie. Il cède donc son affaire à son chef d'atelier, Jean Baptiste Fossin (1786-1848).

Périodes Fossin et Morel (1815-1885)

Aidé par son fils Jules (1808-1869), les Fossin interprètent élégamment des bijoux romantiques inspirés des arts de la Renaissance Italienne et du XVIIIe siècle français mais aussi des parures de style naturaliste. L'élite de l'époque est séduite et la famille de Louis-Philippe, roi de France de 1830 à 1848 ainsi que la Duchesse de Berry succèdent à Napoléon dans la liste des célèbres clients de ce qui deviendra Chaumet avec des personnages comme Anatole Demidoff, prince russe marié à la nièce de Napoléon, la princesse Mathilde Bonaparte mais aussi quantité de peintres, sculpteurs, écrivains, qu'ils soient français ou étrangers.

Après la révolution française de 1848, l'activité de la maison Fossin est fortement ralentie en France, ce qui motive l'implantation d'une boutique à Londres avec un atelier confié à Jean-Valentin Morel (1794-1860) aidé par son fils Prosper, né en 1825. Ils séduisent une clientèle prestigieuse dont fait partie la Reine Victoria, qui accorde à Jean-Valentin Morel le brevet de fournisseur officiel. Lors de l'exposition Universelle de Londres de 1851, Morel reprend la tradition de l'émaillerie des XVIe et XVIIe siècles et réalisa des coupes en pierre dure à monture émaillée[2]. Les Morel retournèrent en France après la création du Second Empire en 1852 par Napoléon III. Prosper Morel succéda à Jules Fossin en 1862.

Période Chaumet: Art Déco (1885-1944)

En 1885, Joseph Chaumet (1852-1928) épousa Marie Morel, la fille de Prosper Morel et prit ainsi le contrôle de la maison. Le style de la Renaissance est toujours exploité, notamment pour les diadèmes, très en vogue à l'époque, et dont Chaumet fera une de ses spécialités ; mais l'art japonais commence à cette époque à s'imposer en bijouterie, le style Chaumet saura aussi s'en inspirer.

En 1907, les ateliers et la boutique s'installent au 12 place Vendôme, pour ne plus jamais la quitter.

Marcel Chaumet (1886-1964) succèdera à son père Joseph en 1928, en pleine période « art déco ». Le joaillier participe à l'Exposition des Arts Décoratifs de 1925 de Paris, devenant un acteur incontournable de ce courant. Les bijoux sont plus géométriques, suivent le « genre garçon » des années 1920, puis deviennent plus féminins dans les années 1930. Les couleurs, les matériaux et les pierres fines s'imposent en joaillerie.

Dès les années 1920, la renommée du joaillier atteint le monde des arts et du spectacle. Entre 1919 et 1935, Picasso offre des bijoux de la maison Chaumet à son épouse, la ballerine Olga Koklova. Sacha Guitry transforme la boutique du 12 place Vendôme en scène de théâtre où il joue un rôle différent à chacune de ses visites, d'abord avec sa femme Yvonne Printemps puis avec Jacqueline Delubac. Plus tard, on croise Richard Burton, qui vint y satisfaire la passion d'Elizabeth Taylor pour les pierres aux multiples carats[3].

En 1934, la maison Chaumet parraine l'installation du jeune joaillier Pierre Sterlé qui conçoit déjà pour elle des bijoux. Cette même année, la maison ferme et rouvrira à la fin de la Seconde Guerre mondiale[4].

Période Chaumet : après-guerre (1944-1987)

Dans le sillage des années d'après guerre, Chaumet s’impose comme précurseur, incarnant le goût et la créativité de la Parisienne. Chaumet adapte le « New Look » des pionniers Christian Dior et Yves Saint Laurent, attirant les femmes à la mode de l’époque.[non neutre]

En 1958, les fils de Marcel Chaumet, Jacques et Pierre sont nommés directeurs exécutifs de la maison. Ils reprennent la marque Breguet en 1970. François Bodet, cadre de la maison Chaumet renouvelle la marque et positionne Breguet sur le segment haut de gamme horloger[5].

Les années 1970 sont marquées par l’originalité et les combinaisons peu conventionnelles, comme les associations de diamant, corail et péridot, montées sur de l’or jaune[6].

Dirigée par les frères Jacques et Pierre Chaumet, l'entreprise dépose le bilan en 1987 avec un passif de 1,4 milliard de francs, soit huit fois le chiffre d'affaires annuel, notamment à cause des lourdes pertes dans leur activité d'achat et de revente de diamants, à la suite de la chute du cours mondial[7]. Les deux frères sont reconnus coupables d'activités bancaires illégales, pour avoir ouvert dans leur société des comptes qui promettaient d'importants intérêts sur le principal. Un de leurs clients fut le ministre Albin Chalandon. Reconnus coupables de « banqueroute, escroquerie, abus de confiance et exercice illégal de la profession de banquier », ils sont condamnés respectivement à cinq ans d’emprisonnement, dont deux ferme, et quatre ans dont six mois ferme, à la suite du verdict rendu en décembre 1991. Leur peine est allégée par la cour d'appel de Paris à six mois de prison, purgés en détention provisoire[8].

Période LVMH (1989-aujourd'hui)

Après cette banqueroute frauduleuse, Chaumet est racheté en 1987 par Investcorp, fonds d'investissement de Bahreïn. Après une perte nette cumulée de 10 millions de francs en 1995-1997, le groupe renoue avec la rentabilité en 1998, avec un chiffre d'affaires de 280 millions de francs, et est acquis par le groupe LVMH en octobre 1999[9]. Après une tentative infructueuse de pénétrer le marché américain à la fin des années 1990, le groupe se tourne vers les marchés porteurs asiatiques pour améliorer sa croissance.

Le , Chaumet est victime d'un braquage dont le montant s'élève à 1,9 million d'euros [10].

Le Responsible Jewellery Council annonce le 9 juin 2011 la certification du joailler français Chaumet. Cette distinction atteste de pratiques éthiques, sociales et environnementales responsables, ainsi que du respect des droits de l’homme. Membre du Responsible Jewellery Council depuis 2005, Chaumet devient alors le dixième membre certifié par le RJC[11].

Économie

Chaumet fait maintenant partie du groupe LVMH (Louis Vuitton Moët Hennessy), leader mondial du luxe. Ce groupe multimarque est divisé en plusieurs entités : les vins et spiritueux, la mode et la maroquinerie, les parfums et les cosmétiques, les montres et la joaillerie ainsi que la distribution sélective.

Chaumet est donc intégré dans les marques de montres et de joaillerie comprenant TAG Heuer, Bulgari, Zenith, Fred, Hublot, Montres Christian Dior et De Beers Diamond Jewellers (joint-venture entre les groupes LVMH et De Beers), présidé actuellement par Francesco Trapani[12]. En 2006, la marque s’implante en Chine et ouvre 24 boutiques dans le pays[13]. La clientèle de Chaumet est surtout japonaise et française, mais la Chine représente 25% des ventes[14].

Savoir faire et création

La place Vendôme regroupe les principales activités de la maison Chaumet. Outre le siège social, l'hôtel particulier abrite le studio de création et l'atelier de Haute joaillerie[15].

Savoir-faire joaillerie

Sept joailliers sous la direction d'un maître artisan réalisent à la main[16] toutes les commandes spéciales et les collections de haute joaillerie[17]. Deux polisseurs et deux sertisseurs complètent l'équipe d'artisans. Depuis l'époque de l'Empire, les chefs d'atelier ont été formés par leur prédécesseur dans une logique de transmission de leur compétence[18]. La maison Chaumet cherche à conserver son savoir-faire traditionnel, caution de la qualité de ses productions. Par exemple, l'atelier a conservé les établis en bois qui sont les mêmes depuis 200 ans[16].

L'une des pratiques spécifiques à Chaumet est le travail des maquettes des bijoux en maillechort. Cela permet de montrer la forme ou le volume du bijou au commanditaire, avant de le réaliser à l'atelier[19],[17].

Le savoir-faire joaillier de Chaumet permet la création de bijoux d'exception ou de collections limitées. Tel est le cas de la collection "12 Vendôme", créée à l'occasion de la 26e édition de la Biennale des Antiquaires de septembre 2012[20]. Le nom de la collection fait référence à l'adresse de la boutique et de l'atelier, situés au 12 place Vendôme[21]. Les 12 parures (dont 4 diadèmes[22]) de cette collection sont un hommage aux différents styles adoptés par la maison au fil des générations[23].

Plusieurs bijoux de la collection "12 Vendôme" sont transformables: un sautoir peut s'allonger grâce à l'ajout de deux bracelets[24] et un système invisible permet à l'aigrette d'un diadème d'être détachable[25].

Savoir-faire horlogerie

En tant que créateur de Haute Joaillerie, Chaumet a commencé à fabriquer des montres précieuses[26]dès le XIXe siècle. La maison s’est rapprochée d’horlogers suisses, comme Jaeger-LeCoultre ou Patek Philippe[18] pour créer des montres hors du commun.

La paire de bracelets-montres de 1811, commandée par Eugène de Beauharnais a été créée par Nitot. Faite d’or, de perles et d’émeraudes, sa fabrication conjugue joaillerie et mouvement horloger minutieux[27]. C’est à cette époque que la maison réussit à mettre au centre de ses bracelets des cadrans miniatures[28].

L’une des dernières créations, la "Complication Créative" met en scène l’abeille, emblème de Chaumet et l’araignée. Cette dernière indique les heures et l’abeille les minutes[29]. Le mécanisme particulier de cette montre a été créé grâce à la collaboration de la maison avec de grands horlogers suisses[30].

En 2013, les "Montres Précieuses" de Chaumet, allient encore joaillerie et Haute Horlogerie. Les 6 pièces de cette collection utilisent un mouvement mécanique à remontage automatique et sont décorées de diamants, de nacre, de peintures ou de gravures[31].

L’arrivée de Claire Dévé-Rakoff

Après avoir travaillé chez Chanel, Swarovski et avoir créé sa propre collection en son nom, Claire Dévé-Rakoff devient la nouvelle directrice artistique de Chaumet. Son arrivée en 2012 apporte de la nouveauté à la maison : elle utilise « l’hortensia » comme un nouveau symbole[32],[33].

Les collections de la maison

Collections Joaillerie

Liens

Les bijoux "liens" figurent parmi les archives de Chaumet datant de la Belle Époque. La première collection "liens" apparaît dans les années 1970[34] avec la bague "lien", un anneau ceint par une boucle d'or en son milieu, créée en 1977.

Quelques années plus tard, des diamants sont ajoutés au jonc et la bague se décline en or blanc avec un anneau double. Au milieu des années 1990, le lien devint une croix, avant de céder sa place en 2002 à un lien pavé de diamants. La collection "Premiers Liens", lancée en 2007, décline le modèle en or jaune, blanc et rose[35],[36].

Joséphine

La collection Joséphine, lancée en 2010, rend hommage à l'impératrice, amatrice et collectionneuse des bijoux Chaumet[37]. Cette collection[38] s'inspire du diadème, de la tiare et de l'aigrette, différents bijoux de tête portés par Joséphine.

Bee my love

L'abeille, emblème de Napoléon et de la maison Chaumet, est la source d'inspiration de la collection Bee my Love[39]. Au fil des années, la maison a fait de l'abeille un symbole des sentiments amoureux[40]. Pour la collection, les artisans ont utilisé un sertissage conçu en forme d'alvéole[41] symbolisant les ruches d'abeilles. Les alliances de la collection sont empilables et se déclinent en or jaune, gris et rose[42].

Attrape-moi

La collection "Attrape-moi... si tu m'aimes", lancée en 2007, se compose de 18 créations, inspirées de l'araignée et de sa toile[43]. Les abeilles sont également présentes dans cette collection[44].

Autres collections

  • Anneau
  • Le Grand Frisson
  • Class One

Collections Horlogerie

Class One

La montre Class One a été créée en 1998. Il s'agit de la première montre de plongée joaillière[45].

Au fil des années, le modèle de la montre est décliné: la collection Class One femme de 2012 est constituée de deux pièces uniques en diamants et saphir ou rubis et de huit pièces en diamants blancs et noirs[46].

Dandy

La Dandy, a été lancée en 2003 pour les hommes les plus célèbres de l'époque. Elle s'inspire des dandys du monde de l'art, de la mode ou de la littérature, amateurs des montres Chaumet[47].

Des rayures bayadères décorent le fond du cadran, la platine du calibre automatique et le dos du boîtier[48]. La Dandy Arty, noire aux reflets bleus, est lancée en 2012[47].

Khesis

La montre Khesis, dont le nom signifie "soleil" en indien d'Amérique[49], est un modèle manchette en maille grain de riz, créée en 1995[50]. Le principe créatif de cette montre était de proposer une montre bijou à écran carré[51].

Le musée et le fonds Chaumet

Au fil des décennies, la maison Chaumet a imaginé des centaines de bijoux ou d'éditions originales qui ont acquis une valeur patrimoniale ou historique. À partir des années 1970, la maison s'est engagée dans une démarche de valorisation esthétique et historique de ses pièces. Cet objectif s'est concrétisé par la création d'un musée en 1980 sous l'initiative de Béatrice de Plinval. Les archives du musée sont constituées de 200 bijoux, de 19 800 factures originales[52], de 80 000 dessins, de 2 500 diadèmes et de répliques de diadèmes en maillechort - dont certaines ont été créées dès 1780[53]. Le musée n'est pas ouvert au public mais organise régulièrement des évènements ou des expositions autour de ses collections.

Liste des expositions organisées par le musée Chaumet

"Paris, deux siècles de création"

Du 28 mars au 28 juin 1998 a eu lieu la première exposition organisée par Chaumet, au musée Carnavalet à Paris. Cette exposition nommée "Paris, deux siècles de création", a mis en scène les créations de Chaumet depuis l'époque de Marie-Étienne Nitot. Des tableaux, photographies, manuscrits ont fait écho aux bijoux présentés[54].

"Napoléon Amoureux, Bijoux de l'Empire des Aigles et du Cœur"

En septembre 2004, le musée Chaumet accueille l'exposition "Napoléon Amoureux, Bijoux de l'Empire des Aigles et du Cœur". Cette exposition, fêtant le bicentenaire du sacre de Napoléon, dévoilait des bijoux de Napoléon, ainsi que ceux de Joséphine et de Marie-Louise. Environ cent objets provenant du musée et de prêteurs ont été exposés[55].

"Le Grand Frisson, bijoux de sentiment de la Renaissance à nos jours"

Le musée Chaumet a également abrité l'exposition "Le Grand Frisson, bijoux de sentiments de la Renaissance à nos jours" d'octobre à novembre 2008. 150 bijoux du musée et de collections privées ont été réunis autour du thème de l'amour, de l'amitié et du libertinage[56].

"200 ans de création horlogère"

En juillet 2011, la maison Chaumet a célébré les 200 ans de la création de sa première paire de montres bracelets ayant appartenu à Eugène de Beauharnais[57]. À cette occasion, la maison a organisé l'exposition "200 ans de créations horlogères" rassemblant 30 pièces et 300 dessins[58],[59].

Journées Particulières, édition 2011

Les Journées Particulières organisées les 15 et 16 octobre 2011 se sont déroulées dans l'atelier, les grands salons et également le musée Chaumet[60]. Ces journées ont été l'occasion de présenter les bijoux provenant du fonds Chaumet[61].

Journées Particulières, édition 2013

À l'occasion de la deuxième édition des Journées Particulières qui ont lieu le 15 et 16 juin 2013[62], Chaumet a ouvert ses portes au grand public. L'histoire de la maison, son siège historique, et ses collections emblématiques ont été présentés dans ses salons. Des rencontres avec le chef d'atelier et les artisans ont été organisées, afin de montrer les différentes étapes de la fabrication d'une pièce de haute-joaillerie[63].

Égéries Chaumet

Au mois de mai 2008, Lou Doillon est choisie comme égérie par la maison de joaillerie pour la réédition de la bague « Liens ».

En octobre de la même année, l’actrice Sophie Marceau devient l’égérie de Chaumet. Lionel Giraud, Jannis Tsipoulanis et René Habermacher signent la campagne “L’Empire des Sentiments”, mettant en scène l’actrice Française dans l’hôtel particulier de Le Rochefoucauld-Doudeauville[64].

Par ailleurs, Chaumet est depuis 2005 partenaire officiel de l’Académie des César. Chaque année, pour la présentation des nominés dans la catégorie meilleur espoir, la maison accueille une exposition de photographies. Chaumet a ainsi collaboré avec les photographes Kate Barry, Emanuele Scorcelletti, Stéphane Sednaoui, Zoe Cassavetes et Jean-Baptiste Mondino.

Annexes

Références

  1. Sirene, (base de données)Voir et modifier les données sur Wikidata
  2. La renaissance de l'émail sous la Monarchie de Juillet
  3. L'Officiel de la mode no 801
  4. The Chaumet dynasty
  5. La saga Breguet
  6. Chronologie de Chaumet
  7. La Banqueroute de la maison Chaumet
  8. Dépêche AFP
  9. Les échos
  10. Dépêche AP, Braquage Chaumet : butin de 1,9 M€, Le Figaro, 18 novembre 2009 lire en ligne
  11. [1]
  12. Site de LVMH
  13. « nos boutiques », sur chaumet.fr
  14. « Le joaillier Chaumet veut doper ses ventes de montres », sur bourse.lesechos.fr,
  15. « Chaumet nous fait revisiter son atelier », sur parisbijoux.fr,
  16. a et b « L'atelier Chaumet, le travail en héritage », sur lefigaro.fr,
  17. a et b « Petites mains place vendôme », sur lemonde.fr,
  18. a et b « les riches heures de Chaumet », sur valeursactuelles.com/, Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « Virginie Jacoberger-Lavoué » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  19. « Mains et Merveilles Portraits d'artisans amoureux de la matière », sur tv5.org,
  20. « Chaumet, la place Vendôme et les tiares », sur lejournaldesfemmes.com,
  21. « 12 Vendôme, adresse et nouvelle collection de Chaumet », sur lofficielmode.com,
  22. « Des diamants, des opales et la nature en majesté », sur lemonde.fr,
  23. « Les plus belles parures de la Biennale des Antiquaires 2012 », sur vogue.fr
  24. Le bonheur est dans la haute joaillerie, Le Figaro et vous, 7 juillet 2012, p. 32
  25. Série Limitée Les Echos, septembre 2012, p. 42
  26. La montre joaillière française
  27. Les riches heures de Chaumet, Valeurs Actuelles, du 7 au 13 juillet 2011, p. 68-69
  28. Vincent Meylan, "L’heure de l’histoire", Point de vue, du 13 au 19 juillet 2011, p. 48
  29. Le nouveau calibre exclusif de Chaumet
  30. « Une complication créative signée Chaumet », sur argusdesmontres.com,
  31. CHAUMET - Attrape-moi... si tu m'aimes - Montres précieuses
  32. Fabienne Reybaud, Chaumet lance des fleurs place Vendôme, 26 septembre 2013
  33. Katya Foreman, Première collection Chaumet par Claire Dévé-Rakoff, 8 octobre 2013
  34. Les liens du cœur par Chaumet, 13 novembre 2012
  35. Retour sur 30 ans d'histoire du lien mythique, 26 novembre 2011
  36. Lou Doillon, nouvelle égérie pour les bijoux Chaumet
  37. Chaumet sous l'empire de Joséphine, Carine Bizet, 3 mai 2010
  38. Chaumet célèbre ses 230 printemps avec une ligne de bijoux dédiée à l'impératrice Joséphine, 25 mai 2010
  39. La nouvelle parure Bee My Love en or rose du joaillier Chaumet, 6 novembre 2012
  40. myprestigium.com
  41. Collection Be My Love de Chaumet
  42. To Bee or...to Bee, Claire Mabrut, 16 juin 2011
  43. "Attrape moi si tu m'aimes" de Chaumet, feminimix.com
  44. Chaumet, Attrape-moi..., Si tu m'aimes!, 13 décembre 2012
  45. Chaumet fête les dix ans de la Class One , 20 novembre 2008
  46. Éditions limitées: Chaumet et Class One Tourbillon: des montres parées de diamants et saphirs ou rubis, 7 juin 2012
  47. a et b Chaumet lance sa nouvelle collection Dandy, 27 juin 2012
  48. Dandy
  49. Dans l'Air du temps
  50. Les montres bijoux de Chaumet, 22 juillet 2011
  51. Khésis puissance 2
  52. Chaumet, entre passé et futur, 20 février 2008
  53. Chaumet: ses diamants sont éternels, janvier 2014
  54. Les diamants sont toujours éternels, Philippe Broad, 23 mars 1998
  55. Chaumet expose les bijoux de l'Empire, lejournaldesfemmes.com, 22 septembre 2004
  56. Exposition "le bijou de sentiment" de Chaumet, 5 novembre 2008
  57. L'heure Chaumet, 10 juin 2011
  58. Chaumet célèbre ses 200 ans de création horlogère du 8 au 29 juillet 2011
  59. [cote-Nice magazine, 20 juin 2011, p. 59
  60. la maison Chaumet dévoile ses salons historiques ce week end, 12 octobre 2011
  61. les journées particulières de Chaumet
  62. Journées Particulières LVMH: Chaumet
  63. Journées Particulières: Le lien Chaumet, 14 juin 2013
  64. Sophie Marceau goûte aux heures Chaumet

Voir aussi

Article connexe

Liens externes