Châtenoy-le-Royal

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Chatenoy-le-Royal)

Châtenoy-le-Royal
Châtenoy-le-Royal
Pont de la Thalie conçu par Thomas Dumorey et réalisé par Émiland Gauthey.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Le Grand Chalon
Maire
Mandat
Vincent Bergeret
2020-2026
Code postal 71880
Code commune 71118
Démographie
Gentilé Châtenoyens
Population
municipale
6 145 hab. (2021 en diminution de 1,35 % par rapport à 2015)
Densité 490 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 47′ 42″ nord, 4° 49′ 02″ est
Altitude Min. 172 m
Max. 206 m
Superficie 12,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chalon-sur-Saône
(banlieue)
Aire d'attraction Chalon-sur-Saône
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Chalon-sur-Saône-3
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Châtenoy-le-Royal
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Châtenoy-le-Royal
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Voir sur la carte topographique de Saône-et-Loire
Châtenoy-le-Royal
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Châtenoy-le-Royal
Liens
Site web chatenoyleroyal.fr

Châtenoy-le-Royal est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Accès et transports[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 255 hectares ; son altitude varie de 172 à 206 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Thalie passe dans la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 828 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,6 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Statistiques 1991-2020 et records CHALON-CHAMPFO (71) - alt : 187m, lat : 46°49'37"N, lon : 4°49'32"E
Records établis sur la période du 01-09-1991 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,2 0 2 4,5 8,4 12 13,8 13,3 9,9 7 2,9 0,5 6,2
Température moyenne (°C) 3 4,1 7,5 10,6 14,6 18,3 20,2 19,9 16 11,8 6,6 3,6 11,4
Température maximale moyenne (°C) 6,2 8,2 12,9 16,7 20,8 24,6 26,7 26,5 22 16,6 10,3 6,7 16,5
Record de froid (°C)
date du record
−13,5
04.01.1993
−13,7
05.02.12
−12,4
01.03.05
−6,2
08.04.21
−1,5
15.05.1995
1,6
04.06.01
4,8
03.07.1996
3,6
30.08.1998
−1,1
30.09.1995
−7,6
31.10.1997
−10,4
23.11.1993
−17,6
20.12.09
−17,6
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
17,9
01.01.23
20,4
25.02.21
24,5
31.03.21
27,9
24.04.07
32,3
20.05.22
37
27.06.19
39
24.07.19
39,7
12.08.03
34,3
10.09.23
28,9
09.10.23
21,5
12.11.18
17,7
05.12.06
39,7
2003
Précipitations (mm) 53,6 43 44 58,4 73,4 58,3 67,5 57,9 63,7 77,8 79,6 59,3 736,5
Source : « Fiche 71081001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
6,2
−0,2
53,6
 
 
 
8,2
0
43
 
 
 
12,9
2
44
 
 
 
16,7
4,5
58,4
 
 
 
20,8
8,4
73,4
 
 
 
24,6
12
58,3
 
 
 
26,7
13,8
67,5
 
 
 
26,5
13,3
57,9
 
 
 
22
9,9
63,7
 
 
 
16,6
7
77,8
 
 
 
10,3
2,9
79,6
 
 
 
6,7
0,5
59,3
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Châtenoy-le-Royal est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chalon-sur-Saône, une agglomération intra-départementale regroupant 13 communes[12] et 79 506 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,5 %), zones urbanisées (22,4 %), forêts (13,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), prairies (9,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Sous la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Châtenoy-le-National[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les Gallo-Romains ont laissé de nombreuses traces de leur présence sur la commune, qui était notamment traversée par une Voie Romaine reliant Cabillonum (Chalon sur Saône) à Augustodunum (Autun).

Une borne milliaire romaine, dite de Corcelle, a été trouvée au bord de cette Voie, au fond du parc du château de Corcelle. (cf. l'article wikipédia)

Anciennement Castenetum, le village dépendait de la châtellenie de Germolles[19].

Châtenoy-le-Royal disposa durant toute la première moitié du XIXe siècle d'une station (ou poste télégraphique aérien) du télégraphe Chappe implantée le long de l'« embranchement » reliant Chalon-sur-Saône à la ligne Paris-Toulon, installation qui cessa de fonctionner en 1853, quand elle fut remplacée par la télégraphie électrique[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[21].

Listes des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? Benoît Raffin    
Claudius Theveniaut    
André Savoy SE Professeur de lycée
Bernard Dondon PS Enseignant
Bernard Andriot PS  
Marie Mercier[22] RPR puis
UMP-LR
Médecin
Sénatrice de Saône-et-Loire (2015 → )
Conseillère régionale de Bourgogne (2004 → 2010)
1re vice-présidente du Grand Chalon (2014 → 2017)
En cours
(au 23 octobre 2017)
Vincent Bergeret[23],[24] LR Responsable commercial
Conseiller départemental du canton de Chalon-sur-Saône-3 (2015 → )

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Du point de vue administratif, la commune fait partie de l'arrondissement de Chalon-sur-Saône, dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté et, avant la réforme territoriale de 2014, faisait partie du canton de Chalon-sur-Saône-Ouest[25],[26]. La commune est l'une des communes de la communauté d'agglomération Chalon - Val de Bourgogne, communément appelée Le Grand Chalon.

Du point de vue électoral, la commune fait partie de la cinquième circonscription de Saône-et-Loire depuis le redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010 et, depuis la réforme territoriale de 2014, elle fait partie du canton de Chalon-sur-Saône-3.

Canton et intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du Grand Chalon.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune a obtenu le niveau quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris.

Instance judiciaire et administrative[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

La ville est jumelée avec la ville de Benigànim, dans la région de Valence, Espagne[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 6 145 habitants[Note 4], en diminution de 1,35 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
323544508592605684728758767
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
784703730751755788791750781
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7757168069049661 0981 1711 1601 214
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 3703 7794 9095 7675 6895 9385 9775 9876 152
2018 2021 - - - - - - -
6 1536 145-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramides des âges[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Châtenoy-le-Royal est située dans l'académie de Dijon.

Elle administre trois groupes scolaires, chacun constitué d'une école maternelle et d'une école élémentaire communales pour un total de 506 élèves en 2015-2016[31],[32],[33],[34],[35]. L'école de Cruzille possède une classe ULIS pour enfants handicapés[36].

Le département gère un collège : le collège Louis-Aragon[37], bâti vers 1980[38].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Depuis le 12 octobre 2017[39], la ville est équipée d'une maison de santé pluridisciplinaire[40].

Elle est offre un large panel de soins[41] :

  • une équipe médicale ;
  • des cabinets infirmiers ;
  • une équipe paramédicale ;
  • des médecines complémentaires.

Sports[modifier | modifier le code]

Il y a un gymnase, deux complexes sportifs avec terrains de football et rugby. Les deux clubs de la commune qui jouent au meilleur niveau sont :

Le club a été fondé en 1964 sous l'impulsion de Emile Guénot. Les équipes évoluent au complexe sportif du Treffort qui possède un terrain synthétique pour les matchs officiels. Le club n'a cessé d'évoluer dans les championnats régionaux depuis sa création avec pour plus grande performance une saison en Régional 1 durant la saison 1998-1999 et de 2011 à 2013. Au niveau de la formation, l'ASCR bénéficie d'une section sportive en partenariat avec le collège Louis-Aragon. Parmi les joueurs emblématiques de l'AS Châtenoy Le Royal figure le capitaine Charly Sarre né en 1991 et fidèle au club depuis l'âge de 5 ans[42].

  • le club de Rugby (Châtenoy Rugby Club), qui évolue en 1re série au niveau régional en Bourgogne-Franche-Comté.

La ville est très dynamique avec 66 associations, dont 18 sportives et 8 culturelles. La commune est lauréate du challenge 2013 de la commune la plus sportive dans la catégorie de 3 000 à 8 999 habitants. Cette récompense est décernée par le comité départemental olympique et sportif (CDOS)[43].

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monuments historiques[modifier | modifier le code]

Pont de la Thalie conçu par Thomas Dumorey et réalisé par Émiland Gauthey.
  • Le pont de la Thalie, situé au hameau de Corcelle, a été construit en 1766. Il est classé à l'inventaire des monuments historiques depuis 1931[47]. Le projet initial de 1759 a été dessiné par Thomas Dumorey, ingénieur en chef des ponts et chaussées des États de Bourgogne. Le projet est modifié en 1766. Il est exécuté entre 1766 et 1770 sous la direction d'Émiland Gauthey, sous-ingénieur des États de Bourgogne en résidence à Chalon-sur-Saône.

Autres monuments[modifier | modifier le code]

  • Lavoir du XIXe siècle[48].
  • Château de Corcelle, situé au hameau de Corcelle. Construit vers 1738 par Charles Gautier, écuyer et seigneur de la Tournelle.
  • La borne milliaire gallo-romaine dite de Corcelle est exposée au musée Denon, à Chalon-sur-Saône

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Châtenoy-le-Royal et Champforgeuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Chalon-sur-Saône », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d'habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Châtenoy-le-Royal », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  19. « CHÂTENOY-LE-ROYAL, °, 1777-1851 • Les dossiers • Cercle Généalogique de Saône-et-Loire », sur cgsl.fr (consulté le ).
  20. « Le télégraphe Chappe en Saône-et-Loire (1799-1853) », article de Pierre Laffont paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 84 (hiver 1990-1991), pages 17 à 24.
  21. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  22. Le Journal de Saône-et-Loire, édition du 17 octobre 2017, p.  12
  23. Jean-Claude Reynaud, « Vincent Bergeret élu maire de Châtenoy-le-Royal », sur info-chalon.com, (consulté le ).
  24. Le Journal de Saône-et-Loire, 24 octobre 2017, Actu Chalonnais, Chatenoy-le-Royal (Politique) : Vincent Bergeret devient maire, p.  15.
  25. [PDF] « Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2013 (Arrondissements - cantons - communes) » (consulté le ).
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Site du Comité de jumelage avec Beniganim
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « École primaire publique Berlioz »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  32. « École élémentaire publique Cruzille »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  33. « École maternelle publique Cruzille »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  34. « École élémentaire publique Jean Rostand »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  35. « École maternelle publique Jean Rostand »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  36. « Saône-et-Loire (71), Châtenoy-le-Royal, collège », sur le site de la mairie (consulté le ).
  37. « Les établissements scolaires de la commune »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  38. Avec le concours dans son élaboration, aux côtés du conseil général, de la municipalité et de la société d'équipement, des architectes du CAUE (Conseil de l'architecture, de l'urbanisme et de l'environnement) de Saône-et-Loire. Source : « Plaidoyer pour une architecture d'ici et d'aujourd'hui », article de Marc Dauber (directeur du CAUE de Saône-et-Loire) paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 50 (été 1982), pages 21 à 31.
  39. « Inauguration de la Maison de Santé – Maison de santé Pluridisciplinaire » (consulté le ).
  40. « Maison de santé Pluridisciplinaire – de Chatenoy le Royal » (consulté le ).
  41. « L’EQUIPE – Maison de santé Pluridisciplinaire » (consulté le ).
  42. Site du Journal de Saône-et-Loire, Sports, Châtenoy-le-Royal : Charly Sarre n'a jamais changé
  43. « Site de la mairie de Chatenoy le royal », sur chatenoyleroyal.fr.
  44. « L'église de Châtenoy-le-Royal », article de Marie-Thérèse Suhard paru dans la revue Images de Saône-et-Loire n° 158 de mars 2009 (pages 2 à 5).
  45. Notice no PA71000009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « La chapelle de Cruzilles », article de Marie-Thérèse Suhard paru dans la revue Images de Saône-et-Loire n° 159 de septembre 2009 (pages 18 et 19).
  47. Notice no PA00113209, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. Notice no IA71000675, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.