Champniers (Vienne)

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Champniers
Champniers (Vienne)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Jean-Olivier Geoffroy
2020-2026
Code postal 86400
Code commune 86054
Démographie
Gentilé Camponégriens
Population
municipale
352 hab. (2021 en augmentation de 1,15 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 13′ 07″ nord, 0° 20′ 16″ est
Altitude Min. 124 m
Max. 157 m
Superficie 20,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Champniers
Géolocalisation sur la carte : France
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Champniers
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Champniers
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Champniers

Champniers est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Camponégriens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Champniers est située à 40 km au sud-est de Poitiers.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Champniers
Romagne
Blanzay Champniers Saint-Romain
Savigné La Chapelle-Bâton

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La région de Champniers présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées. Le terroir se compose[2]

  • pour 78 % de Terres Rouges plus ou moins profondes situées sur les plateaux. Ce sont des sols acajou, siliceux, dérivés d’argiles ferrugineuses à silex provenant d’épandages superficiels du Massif Central,
  • pour 17 % de terres de brandes sur les plateaux du Seuil du Poitou,
  • pour 4 % de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) situées aussi sur les plateaux du seuil du Poitou,
  • pour 1 % de groies profondes dans les plaines. Les groies sont des terres du Sud-Ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière.

La lande est, ici, de type atlantique: elle est souvent dominée par la Bruyère arborescente et l’Ajonc d’Europe qui constituent un couvert difficilement pénétrable pouvant atteindre 3 m de hauteur. Dans ce cas, la lande prend le nom régional de « brandes ». C’est un espace issu de la dégradation et de l’exploitation intensive de la forêt originelle. La lande couvrait jusqu’à la fin du XIXe siècle plusieurs dizaines de milliers d’hectares (90 000 hectares pour le département de la Vienne vers 1877). Cette terre a été largement mise en culture à la suite de défrichements ou boisées avec du Pin maritime. Il s’agit maintenant d’espaces marginaux et menacés car considérés comme « improductifs ». Pourtant, la lande joue un rôle majeur pour une biodiversité qui s’est adaptée et a survécu en leur sein et il s’agit également d’un espace refuge pour de nombreuses espèces de mammifères.

En 2006, 88,8 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 9,2 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 1,7 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Aucun cours d’eau n'a été recensé sur le territoire de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 822 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Civray à 8,43 km à vol d'oiseau[7], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 841,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Les gares et les haltes ferroviaires proches de la commune :

Les aéroports les plus proches de Champniers sont :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Champniers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,7 %), forêts (9,3 %), zones urbanisées (1,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Champniers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champniers.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[19]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[20]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[21]. 98,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2010 et 2017, par la sécheresse en 2015 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du bourg avant 1801 était Champiner.

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Depuis 2015, Champniers est dans le canton de Civray (no 6) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Champniers était dans le canton no 5 de Civray dans la 3e circonscription.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours Jean-Olivier Geoffroy LR Conseiller départemental du Canton de Civray
Président de la Communauté de communes

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 352 habitants[Note 3], en augmentation de 1,15 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
636620631672704707796776825
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
822804857777816830870876864
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
893889845798750732684712658
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
606502400398400348364369357
2014 2019 2021 - - - - - -
348352352------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, la densité de population de la commune était de 18 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

La population s'est accrue entre 1999 et 2004 de 6,6 %.

Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Champniers ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie de Champniers administre une population totale de 367 personnes. À cela, il faut soustraire les résidences secondaires (10 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 357 habitants.

Selon l'Insee, La répartition par sexe de la population est la suivante :

  • en 1999 : 51,7 % d'hommes et 48,3 % de femmes.
  • en 2004 : le nombre d'hommes était de 50,3 % et le nombre de femmes de 49,7 %.
  • en 2010 : 49,4 % d'hommes pour 50,6 % de femmes.

En 2004 :

  • Le nombre de célibataires était de : 24,9 % dans la population,
  • Les couples mariés représentaient 58,2 % de la population et les divorcés 3,4 %,
  • Le nombre de veuves et veufs était de 13,5 %.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de Champniers dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et son école primaire publique dépend de l'inspection académique de la Vienne. Les communes de Blanzay et Champniers ont mis en place un regroupement pédagogique intercommunal. La commune de Blanzay accueille trois classes (maternelle et primaire) et la 4e classe (primaire) du regroupement pédagogique est située à Champniers.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Cultures près d'Erveux, au nord de la commune

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 24 exploitations agricoles en 2010 contre 31 en 2000[28].

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 2 078 hectares en 2000 à 1 902 hectares en 2010. 55 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre,orges et maïs), 30 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 11 % pour le fourrage et moins de 1 % reste en herbes[28].

Six exploitations en 2010 (contre 10 en 2000) abritent un élevage de bovins (385 têtes en 2010 contre 440 têtes en 2000). 5 exploitations en 2010 (contre 11 en 2000) abritent un élevage d'ovins (182 têtes en 2010 contre 399 têtes en 2000). L'élevage de chèvres est dominant: 840 têtes en 2000 répartis sur 6 fermes contre 1 101 têtes en 2010 répartis sur 3 fermes. C’est un des troupeaux importants de caprins du département de la Vienne (74 500 têtes en 2011) qui est le deuxième département pour l’élevage des chèvres derrière le département des Deux-Sèvres[29]. La vocation laitière du troupeau est très forte. Moins de 2 % des élevages caprins sont non laitiers en 2000. La quasi-totalité de la production laitière, en constante augmentation (de 2000 à 2011 : + 44 %[30]) est livrée à l’industrie agro-alimentaire soit 96 % des 485 000 hectolitres récoltés dans l’ensemble du département de la Vienne en 2004. La production de fromage à la ferme reste très marginale et ne représente que 1 % de la production de lait et 6 % des fermes. 75 % des élevages sont basés sur un système de production de type hors sol, la surface agricole étant destinée essentiellement dans ce cas, à la production de fourrage. 75 % de ces exploitations n’élèvent que des chèvres[31].

L'élevage de volailles a disparu en 2010 (292 têtes sur 17 fermes en 2000)[28]

La transformation de la production agricole est de qualité et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :

  • Chabichou du Poitou (AOC)
  • Beurre Charente-Poitou (AOC)
  • Beurre des Charente (AOC)
  • Beurre des Deux-Sèvres (AOC)
  • Veau du Limousin (IGP)
  • Agneau du Poitou-Charentes (IGP)
  • Porc du Limousin (IGP)
  • Jambon de Bayonne (IGP)

Commerce et service[modifier | modifier le code]

En 2012, il ne reste plus qu'un seul commerce à savoir une boulangerie.

Les marchés les plus proches sont organisés un à Chaunay, le lundi matin, place du Marché (30 exposants) et deux à Civray (Vienne), place Leclerc : l'un a lieu le mardi matin (75 exposants), et l'autre le vendredi matin (25 exposants).

Activité et emplois[modifier | modifier le code]

Le taux d'activité était de 60,7 % en 2004 et 63,7 % en 1999.

Le taux de chômage était :

  • en 1999 : 7,8 %,
  • en 2004 : 8,5 %,
  • en 2011 : 7,5 %.

Les retraités et les pré-retraités représentaient 40,4 % de la population en 2004 et 34,8 % en 1999.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La place des Tilleuls et le monument aux morts.
La croix hosannière du cimetière.
  • Le musée rural du Vieux Cormenier. Il propose de remonter le temps et de plonger dans la vie rurale d'autrefois au travers de seize scènes : de la naissance à la dernière moisson, au début du XXe siècle. Le musée présente une belle collection d'outils et de nombreuses machines agricoles anciennes dont des tracteurs aux roues en fer, un pressoir de 1741, un vieil alambic. Toutes ces machines sont en état de fonctionnement. De nombreuses animations y sont organisées permettant de voir les anciennes machines agricoles en action, de déguster du pain sortant d'un ancien four...
  • Belle croix hosannière au cimetière. C'est une croix supportée par un fut constitué d'un faisceau de quatre colonnes cylindriques engagées dans un noyau central. Chacune de ces colonnes repose sur une base circulaire moulurée, qui a pour assise une base carrée. La croix hosannière tire son nom de l'hébreu Hosanna, premier mot d'un hymne chantée le jour des Rameaux. Les villageois se rendaient en procession jusqu'au cimetière ce jour-là. Une fois arrivés au pied de la croix, ils entonnaient l'Hosanna.
  • Souterrain-refuge[33].
  • Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[34], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un marronnier d'Inde situé au lieu-dit Chez Bernardeau.
  • Quelques forêts à visiter proches de Champniers :
* Bois de Charroux à 16,9 km ;
* Forêt de Ruffec à 20,8 km ;
* Bois de Coussières à 17 km ;
* Bois des Cartes à 22,5 km ;
* Forêt de Saint-Sauvant à 22,7 km.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
  2. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
  3. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Champniers et Civray », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Civray » (commune de Civray) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Civray » (commune de Civray) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Champniers », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Champniers », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  23. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  29. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
  30. Panorama de l’Agriculture en Vienne – juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
  31. Agreste – Bulletin no 11 de décembre 2005
  32. « Église Saint-Martin », notice no PA00132883, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 32.
  34. Poitou-Charentes Nature, 2000