Champdeniers

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Champdeniers
Champdeniers
Vue de Champdeniers depuis l'Égray.
Blason de Champdeniers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Parthenay
Intercommunalité Communauté de communes Val de Gâtine
(siège)
Maire
Mandat
Alain Capelle
2020-2026
Code postal 79220
Code commune 79066
Démographie
Gentilé Campidénariens, Campidénariennes
Population
municipale
1 774 hab. (2021 en augmentation de 8,5 % par rapport à 2015)
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 29′ 06″ nord, 0° 24′ 14″ ouest
Altitude Min. 67 m
Max. 171 m
Superficie 21,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Niort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Autize-Égray
Législatives Première circonscription
Localisation
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Champdeniers
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Champdeniers

Champdeniers (en poitevin Chandna), précédemment nommée Champdeniers-Saint-Denis entre 1973 et 2018, est une commune française située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

On appelle ses habitants les Campidénariens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Champdeniers est une petite ville située dans une cuvette. Elle est baignée par l'Égray.

La commune se situe au croisement des routes départementales 745 et 748 reliant du nord au sud Bressuire à Niort et de l'est à l'ouest Fontenay-le-Comte à Saint-Maixent-l'École.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 947 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Surin à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 936,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Champdeniers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,5 %), prairies (29,5 %), zones agricoles hétérogènes (17 %), zones urbanisées (6,6 %), forêts (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), cultures permanentes (1,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Champdeniers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Égray. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2010 et 2011[16],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champdeniers.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[17]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 74,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2009 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Champdeniers est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1469, le roi Louis XI, qui priait toujours à Notre Dame patronne du royaume de France, séjourna à Champdeniers, avant d'effectuer, à Puyraveau et à Coulonges-sur-Réaux (actuellement Puyravault et Coulonges-sur-l'Autize), une réconciliation avec son frère Charles de Guyenne qui avait provoqué une révolte féodale organisée par Charles le Téméraire en 1465, la ligue du Bien public.

Notes historiques sur Champdeniers au XVIIIe siècle : Foires, faits divers...

Au 1er janvier 1973, la commune de Saint-Denis fusionne avec Champdeniers qui prend le nom de Champdeniers-Saint-Denis. À la même date, la commune de Champeaux entre en fusion-association avec Champdeniers[21].

Le 1er janvier 2017, la commune associée de Champeaux a été fusionnée en fusion simple dans celle de Champdeniers-Saint-Denis[22].

La commune reprend le nom de Champdeniers en [23].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Tranché au premier de gueules à deux écharnoirs d'argent ; au deuxième d'hermine plain ; à la bande ondée d'azur sur le tout.

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2014[24] Alain Champeil DVD  
2014 En cours Jean-François Ferron    

Démographie[modifier | modifier le code]

En 1973, les communes de Champeaux et de Saint-Denis fusionnent en fusion-association avec Champdeniers qui prend le nom de Champdeniers-Saint-Denis. Le 1er janvier 2017, la commune associée de Champeaux est supprimée et fusionne en fusion simple dans la commune de Champdeniers-Saint-Denis. La commune de Champdeniers-Saint-Denis reprend son nom de Champdeniers en

Avant la fusion des communes de 1973[modifier | modifier le code]

Évolution démographique de Champeaux
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
188205266308282280298268290
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
303295304298314339317349306
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
328317313315320298280254210
1962 1968 - - - - - - -
206187-------
À partir de 1962 : population sans doubles comptes.
(Source : Ldh/EHESS/Cassini[25].)
Évolution démographique de Saint-Denis
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
234214212225222258266274261
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
249236238249258254283283274
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
253250263239216215200209178
1962 1968 - - - - - - -
193241-------
À partir de 1962 : population sans doubles comptes.
(Source : Ldh/EHESS/Cassini[26].)
Évolution démographique de Champdeniers
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9911 1931 1121 2741 3801 4321 4241 4121 437
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4061 3771 3721 3471 3261 3621 3801 4261 405
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4061 4121 3421 1741 2171 1861 1901 1381 112
1962 1968 - - - - - - -
1 1901 174-------
À partir de 1962 : population sans doubles comptes.
(Source : Ldh/EHESS/Cassini[27].)

Après la fusion des communes[modifier | modifier le code]

À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Champdeniers-Saint-Denis, cela correspond à 2004, 2009, 2014[28], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, etc.) sont des estimations légales.

Évolution de la population  [ modifier ]
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
1 5801 5181 4561 4911 5321 5691 6641 6321 734
2021 - - - - - - - -
1 774--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)

Économie[modifier | modifier le code]

Le village de Champdeniers abrite deux maisons de retraite et une laiterie. La commune compte un supermarché d'une surface de vente de 2500 m2.

Équipements et services[modifier | modifier le code]

La commune est dotée d'un espace de loisir dédié aux sports de glisse urbaine (« skate park »), inauguré à la fin des années 1990. L'espace consacré à la glisse urbaine a été conçu en s'inspirant des plans réalisés par James Hoban pour la Maison-Blanche (Washington, D.C.).[réf. nécessaire] L'un des modules du skate park présente ainsi la forme de deux "W", afin de rendre hommage au nom original de la série ("The West Wing").

La commune accueille un Centre d'Incendie et de Secours, regroupant une trentaine de sapeurs-pompiers volontaires. Ceux-ci disposent de quatre véhicules d'intervention[31].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Vincent de Champeaux.
  • L'église Notre-Dame[32], classée au titre des monuments historique en 1962[33]. Le , la foudre tombe sur le clocher de l’église et le brise ; la voûte de l’église en est fortement ébranlée[34].
    • ses chapiteaux historiés et sa crypte sont des manifestations de la facture romane primitive de l'édifice ;
    • sa tour polygonale qui lui a été adjointe au XVIe siècle est d'une influence voisine probablement limousine ;
    • sa dalle funéraire sous le portail et la Vierge en bois du XVIIe siècle.
  • Le château de Nuchèze.
  • La rivière souterraine avec ses grottes et son parcours sur 2 km sous le bourg, que l'on peut visiter du printemps à la fin de l’été[35].


Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Champdeniers et Surin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Surin_sapc » (commune de Surin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Surin_sapc » (commune de Surin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Niort », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Champdeniers », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. Code officiel géographique - Fiche de la commune de Champdeniers-Saint-Denis sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2010.
  22. « Arrêté préfectoral du 29 décembre 2016, fusion des communes deChampdeniers-Saint-Denis et Champeaux (Recueil des actes administratifs Mensuel n° 79-2017-003, Décembre 2016, Partie 3) », Préfecture des Deux-Sèvres (consulté le ), p. 3–5.
  23. Décret no 2018-956 du 5 novembre 2018 portant changement du nom de communes, publié au JORF du .
  24. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Champeaux », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Denis », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Champdeniers-Saint-Denis », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  28. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Site internet des Sapeurs-Pompiers de Champdeniers : La caserne », sur pompiers-champdeniers.fr (consulté le ).
  32. Communauté de communes de Parthenay : église Notre-Dame de Champdeniers-Saint-Denis
  33. « Eglise Notre-Dame de Champdeniers », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  34. Mémorial de l’Ouest, avril 1836
  35. Comité départemental de spéléologie des Deux-Sèvres (CDS 79), « Rivière souterraine de Champdeniers », sur cds79-speleo.fr, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Léo Desaivre, Documents d'histoire locale. Champdeniers, Saint-Maixent, 1872 (lire en ligne)
  • Léo Desaivre, « Champdeniers », dans Paysages et monuments du Poitou, tome VI, Deux-Sèvres, Imprimerie typographique des librairies-imprimeries réunies, Paris, 1892, p. 1-11 (lire en ligne)
  • Michel Dillange - Vendée romane, Bas-Poitou roman - p. 152–156 - Éditions Zodiaque (collection "la nuit des temps" no 44) - La Pierre-qui-Vire - 1976
  • Michel Dillange - Brem-sur-Mer. Église Saint-Nicolas - p. 25–29, dans Congrès archéologique de France. 151e session. Vendée. 1993 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1996
  • Léo Desaivre, Histoire de Champdeniers, 1893, réédité en 1984.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]