Champagné-le-Sec

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Champagné-le-Sec
Champagné-le-Sec
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Michaël Ecalle
2020-2026
Code postal 86510
Code commune 86051
Démographie
Gentilé Champenois
Population
municipale
208 hab. (2021 en diminution de 0,48 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 11′ 28″ nord, 0° 11′ 32″ est
Altitude Min. 126 m
Max. 144 m
Superficie 7,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Champagné-le-Sec
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Champagné-le-Sec
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Champagné-le-Sec

Champagné-le-Sec est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Champenois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village est situé à deux kilomètres au nord de Chaunay

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Champagné-le-Sec
Chaunay
Champagné-le-Sec Blanzay
Linazay Saint-Pierre-d'Exideuil
(en un quadripoint)

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La région de Champagné-le-Sec présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées. Le terroir se compose[2] :

  • pour 20 % de Terres Rouges peu profondes (ce sont des sols acajou, siliceux, dérivés d’argiles ferrugineuses à silex provenant d’épandages superficiels du Massif Central) sur les plateaux,
  • pour 80 % de groie moyenne de la Saintonge boisée et de groies profondes dans les plaines. Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière.

En 2006, 80,6 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 15,9 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 3,7 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[3]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides … constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 872 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brux à 4,94 km à vol d'oiseau[7], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 765,0 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Les gares et les haltes ferroviaires proches de la commune :

Les aéroports les plus proches de Champagné-le-Sec sont :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Champagné-le-Sec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65 %), forêts (15,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,5 %), zones urbanisées (3,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Champagné-le-Sec est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champagné-le-Sec.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[19]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village proviendrait de l'appellation latine Terra Campaniacus, du nom des parents de saint Junien. Cet anthroponyme gallo-romain avec le suffixe latin de propriété -acum signifiant «domaine de" est devenu avec le temps « -ec » puis « -é ». Le suffixe "Le Sec" qualifie l'absence d'eau sur le territoire de la commune. Il n'y a pas, en effet, de fontaines, de sources ou de rivières[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Depuis 2015, Champagné-le-Sec est dans le canton de Civray (no 6) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Champagné-le-Sec était dans le canton no 5 de Civray dans la 3e circonscription.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Hubert Massonneau    
2014 En cours Jean Rocher    

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 208 habitants[Note 3], en diminution de 0,48 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
455386546517525538538554550
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
510504508472475447426382389
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
380348381319307303329330289
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
315284226228208201204221203
2021 - - - - - - - -
208--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, la densité de population de la commune était de 26 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Champagné-le-Sec a connu une hausse de 10,5 % de sa population de 1999 à 2006.

Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie de Champagné-le-Sec administre une population totale de 214 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (1 personne) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 213 habitants.

La répartition de la population par sexe est la suivante :

  • en 1999: 49,5% d'hommes et 50,5% de femmes.
  • en 2006: 52,5% d'hommes et 47,5% de femmes.
  • en 2010: 57,7 % d'hommes pour 42,3 % de femmes.

En 2006 :

  • Le nombre de célibataires était de : 21,5 % dans la population.
  • Les couples mariés représentaient 65,7 % de la population et les divorcés 4,7 %.
  • Le nombre de veuves et veufs était de 8,1 %.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 12 exploitations agricoles en 2010 contre 16 en 2000[28].

Les surfaces agricoles utilisées ont légèrement augmenté et sont passées de 1 154 hectares en 2000 à 1 212 hectares en 2010[28].

65 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre, orges et maïs), 21 % pour les oléagineux (colza et tournesol) et 8 % pour le fourrage[28].

Les élevages de chèvres (428 têtes en 2000) et de bovins (257 têtes en 2000) ont disparu en 2010[28].

La transformation de la production agricole est de qualité et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :

  • Chabichou du Poitou (AOC)
  • Beurre Charente-Poitou (AOC)
  • Beurre des Charente (AOC)
  • Beurre des Deux-Sèvres (AOC)
  • Veau du Limousin (IGP)
  • Agneau du Poitou-Charentes (IGP)
  • Porc du Limousin (IGP)
  • Jambon de Bayonne (IGP)

Activité et emploi[modifier | modifier le code]

Le taux d'activité était de 66,4 % en 2006 et 63,1 % en 1999.

Le taux de chômage en 2006 était de 7,2 % et en 1999 il était de 16,9 %.

Les retraités et les pré-retraités représentaient 37,3 % de la population en 2006 et 25,5 % en 1999.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Léger de Champagné-le-Sec. Elle est de style roman. Elle date du XIIe siècle. Elle a une curieuse couverture en pierres plates et une belle ornementation. Une corniche ornée entoure l'abside et le chevet. Le clocher en pierre s'élève à la jonction du chœur et de la nef. Elle possède de belles peintures du XIIIe, XVe et XVIe siècles. Elles ont été restaurées entre 2000 et 2004. Elle est classée comme monument historique depuis 1985[29]. La place devant l'église occupe l'emplacement de l'ancien cimetière. Elle est plantée de six tilleuls. Elle est limitée par un mur surmonté de pierres tombales des XVIIe et XVIIIe siècles. Deux tombes sont disposées le long de l'allée qui conduit à la porte de l'église.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Saint Junien y est né. Fils de noble, il vit en ermite à Chaunay avant de recevoir une terre de la part du roi Clotaire, époux de Radegonde (devenue ultérieurement une sainte). Sur cette terre, il bâtit un monastère sur le lieu dénommé de nos jours Mairé-l'Escaut où il est enterré le 13 août 587. Ses restes furent ensuite translatés à l'abbaye Saint-Junien de Nouaillé-Maupertuis.
  • Roger Auvin (1908-2019), doyen des Français, y est né

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
  2. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
  3. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Champagné-le-Sec et Brux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Brux_sapc » (commune de Brux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Brux_sapc » (commune de Brux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Champagné-le-Sec », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  23. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. a b c et d Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  29. « Eglise Saint-Léger », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).