Champagnac-la-Rivière

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Champagnac-la-Rivière
Champagnac-la-Rivière
Château de Brie.
Blason de Champagnac-la-Rivière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Ouest Limousin
Maire
Mandat
Joël Vilard
2020-2026
Code postal 87150
Code commune 87034
Démographie
Population
municipale
578 hab. (2021 en augmentation de 1,05 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 38″ nord, 0° 54′ 47″ est
Altitude Min. 278 m
Max. 473 m
Superficie 24,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rochechouart
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Champagnac-la-Rivière

Champagnac-la-Rivière (Champanhac en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Champagnac-la-Rivière en Haute-Vienne.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 114 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1986 à 2020 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records CHAMPAGNAC LA R (87) - alt : 340 m 45° 41′ 36″ N, 0° 54′ 00″ E
Statistiques établies sur la période 1986-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1986 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,8 0,9 2,6 4,3 7,8 10,5 12 11,8 9 7,6 3,4 1,4 6
Température moyenne (°C) 4,3 5,1 7,8 9,8 13,9 16,7 18,7 18,8 15,4 12,4 7,3 4,9 11,3
Température maximale moyenne (°C) 7,8 9,4 13 15,2 20 23 25,3 25,8 21,7 17,2 11,2 8,4 16,5
Record de froid (°C)
date du record
−20
17.01.87
−17,2
09.02.12
−14
01.03.05
−5,1
20.04.17
−2,4
06.05.19
0,7
01.06.11
4
17.07.00
2,1
30.08.86
−1
25.09.02
−5
26.10.03
−10,9
21.11.93
−13,2
29.12.96
−20
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
17,8
05.01.99
24,5
27.02.19
26,6
14.03.12
28,5
30.04.05
31
30.05.01
37,5
27.06.19
39,1
25.07.19
38,5
07.08.20
34,5
19.09.87
29
01.10.97
23
07.11.15
19
15.12.98
39,1
2019
Précipitations (mm) 119,3 95,3 95,3 106 100,7 81,8 65,7 80,7 84,3 114,4 122,2 124,6 1 190,3
Source : « Fiche 87034001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Champagnac-la-Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,6 %), zones agricoles hétérogènes (31,2 %), prairies (25,1 %), terres arables (2 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Champagnac-la-Rivière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champagnac-la-Rivière.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 24,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Champagnac-la-Rivière est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Une villa mérovingienne apparait sous le nom de Campaniaco au VIe ou VIIe siècle, en tant qu'atelier de métallurgie monétaire. Des sous en or sont frappés par Baudegiselo, le plus ancien champagnacois identifié[20].

Passé ferroviaire du village[modifier | modifier le code]

Carte postale de la gare d'Oradour-sur-Vayres vers 1910.
L'ancienne gare de Champagnac de nos jours de venue une habitation.
Horaire de la ligne en 1956.

De 1880 à 1996, la commune de Champagnac-la-Rivière a été traversée par la ligne de chemin de fer de Saillat-sur-Vienne à Bussière-Galant, qui, venant d' Oradour-sur-Vayres se dirigeait ensuite vers la gare de Champsac.
A l' époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
Avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en aux voyageurs en 1940. Le trafic de marchandises a continué jusqu'en 1996 date à laquelle la ligne a été déclassée. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours utilisés comme sentier de randonnée et surtout par le Vélorail de Bussière-Galant à Châlus.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Jean-Jacques Farnier    
mars 2008 En cours Joël Vilard[22] DVG Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 578 habitants[Note 7], en augmentation de 1,05 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4431 6821 4791 6701 7211 8001 9022 0561 997
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9141 8401 9801 8021 7621 7981 8541 8171 826
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8681 7931 7071 5861 5711 4651 3281 1271 008
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
855801678662576557550549564
2017 2021 - - - - - - -
577578-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Étape[modifier | modifier le code]

Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune. Il est commun avec le GR 654, chemin de Saint-Jacques (Voie de Vézelay).

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Espaces protégés et gérés[modifier | modifier le code]

Champagnac-la-Rivière est entièrement inclus dans la « zone tampon  » de la vaste « réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », un espace protégé et géré Natura 2000[29] (5 070,0106 km²).

Elle fait également partie du parc naturel régional « Périgord-Limousin »[30].

ZNIEFF[modifier | modifier le code]

Bruyère à balais
(Erica scoparia).
Sonneur à ventre jaune
(Bombina variegata).
Busard Saint-Martin
(Circus cyaneus).

Champagnac-la-Rivière est concerné par quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :

La ZNIEFF continentale de type 1 du « bois des Essarts »[31], soit 702,41 hectares, concerne Châlus, Champagnac-la-Rivière, La Chapelle-Montbrandeix, Cussac et Dournazac. Elle comprend l'étang de Masselièvre à l'ouest (sur La Chapelle) et le ruisseau de Brie à l'est (sur Champagnac). Entre les deux, une châtaigneraie intéressante pour les insectes saproxyliques qu'elle abrite (le pique-prune (Osmoderma eremita), grosse cétoine noire protégée en France, Gnorimus variabilis (Gnorimus octopunctatus), autre cétoine peu commune.
La ZNIEFF continentale de type 1 de la « lande des Jarosses »[32], soit 31,53 hectares, concerne Champagnac-la-Rivière et Saint-Laurent-sur-Gorre et vise la lande à bruyère à balais (Erica scoparia), appelée Brande dans le Poitou et très rare en Limousin.
La ZNIEFF continentale de type 1 de la « lande de la Martinie (vallée de la Tardoire)  »[33], soit 32,17 hectares, concerne Châlus, Champagnac-la-Rivière et Champsac et vise un affleurement de serpentine, roche très basique, entre Châlus et Cussac. Cet affleurement, contrairement aux affleurements de serpentine habituels de Haute-Vienne, n'est accompagné ni de pelouse sèche ni d'affleurement rocheux. Il abrite la gentiane pneumonanthe (Gentiana pneumonanthe, protégée en Limousin) et la bruyère à balais ou Brande du Poitou. On y trouve régulièrement le busard Saint-Martin (Circus cyaneus) qui y a établi des dortoirs ; les mares et ornières de la lande humide hébergent le sonneur à ventre jaune (Bombina variegata), petit crapaud protégé en France. Cette ZNIEFF est entièrement incluse dans la ZNIEFF de la « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) ».
La ZNIEFF continentale de type 2 de la « vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) »[34], soit 2 130,31 hectares, concerne dix communes[Note 8] dont Champagnac.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Antoine Morange est un soldat fusillé pour l'exemple. Il est né le à Champagnac. Ce caporal au 63e RI, 5e Cie, a été fusillé pour l'exemple le à Flirey, à la suite du refus collectif de sa compagnie de remonter à l'assaut, le 19 avril, de la crête de Mort-Mare (600 morts en trois jours). Il a été réhabilité en 1934 avec ses compagnons de malheur dont Félix Baudy.

Les fusillés pour l'exemple de Flirey s'ajoutent à ceux de Vingré, Fontenoy, Fleury, Mouilly, Montauville... En quatre ans, 2 400 poilus auront été condamnés à mort et 600 exécutés, les autres voyant leur peine commuée en travaux forcés.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Champagnac-la-Rivière Blason
Parti: au 1er d'or au lion d'azur, lampassé et couronné de gueules et à la champagne de sinople, au 2e d'azur semé de billettes d'or au lion du même, brochant; le tout sommé d'un chef d'azur à la feuille de châtaignier d'or posée en fasce, le pétiole à dextre.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Les dix communes de la ZNIEFF de la « Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat) » sont : Châlus, Champagnac-la-Rivière, Champsac, Chéronnac, Cussac, Maisonnais-sur-Tardoire, Oradour-sur-Vayres, Saint-Bazile, Saint-Mathieu et Les Salles-Lavauguyon.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Source : Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 87034001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Champagnac-la-Rivière », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  20. Étude des monnaies mérovingiennes limousines de la société numismatique limousine en ligne
  21. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  22. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. La voie verte sur Véloroutes et voies vertes
  28. « Château de Brie », notice no PA00100273, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne, zone tampon » - FR6400011. Fiche et cartographie espace protégé Natura 2000.
  30. « Parc naturel régional Périgord-Limousin » - FR8000035. Fiche et cartographie espace protégé Natura 2000.
  31. « Bois des Essarts » - 740008249. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  32. « Lande des Jarosses » - 740120155. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  33. « Lande de la Martinie (vallée de la Tardoire) » - 740120049. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  34. « vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat). » - 740000072. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.