Chalagnac

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Chalagnac
Chalagnac
Le village de Chalagnac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Dominique Chansard
2021-2026
Code postal 24380
Code commune 24094
Démographie
Gentilé Chalagnacois
Population
municipale
442 hab. (2021 en augmentation de 3,03 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 32″ nord, 0° 40′ 38″ est
Altitude Min. 124 m
Max. 238 m
Superficie 14,15 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord central
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Chalagnac
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Chalagnac
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Liens
Site web chalagnac.fr

Chalagnac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Incluse dans l'aire d'attraction de Périgueux, la commune de Chalagnac se situe au centre du département de la Dordogne, dans la partie sud-ouest du Périgord central.

Le territoire communal est desservi par la route nationale 21 et par la route départementale (RD) 44.

Le petit bourg de Chalagnac se trouve sur les hauteurs entre les vallées du Serre et du ruisseau de Chantebrune, 200 mètres au sud de la RD 44. Il se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres au nord-nord-ouest de Vergt et onze kilomètres au sud-sud-ouest de Périgueux.

Entre Sanilhac et Creyssensac-et-Pissot, le sentier de grande randonnée GR 654 traverse le territoire communal du nord au sud sur près de quatre kilomètres.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Chalagnac et des communes avoisinantes en 2016.

Chalagnac est limitrophe de six autres communes.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Chalagnac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5b, date du Campanien 2, des calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux à glauconie. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 782 - Mussidan » et « no 783 - Thenon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de Chalagnac.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

La vallée du Serre en limites de Creyssensac-et-Pissot au premier plan, et Chalagnac au-delà du rideau d'arbres dans la prairie.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 124 m[6] au sud-ouest, au nord du lieu-dit Chatenet, là où le Serre quitte la commune et entre sur celle de Saint-Paul-de-Serre, et 238 m[6] au sud, au nord-ouest du lieu-dit les Quatre Routes, en limite de la commune de Creyssensac-et-Pissot[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 14,15 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 14,55 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Chalagnac.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Serre et le Rosier (également appelé ruisseau de Chantebrune), qui constituent un réseau hydrographique de plus de 5 km de longueur totale[15],[Carte 1].

Affluent de rive droite du Vern, le Serre marque la limite communale au sud-ouest sur plus de deux kilomètres face à Creyssensac-et-Pissot.

Son affluent de rive droite le Rosier prend sa source dans le nord de la commune qu'il arrose en direction de l'ouest sur plus de trois kilomètres.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 964 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coulounieix-Chamiers à 10 km à vol d'oiseau[20], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chalagnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[24],[25],[26].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[27],[28].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,1 %), zones agricoles hétérogènes (32,1 %), prairies (16,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %), terres arables (0,3 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre le bourg de Chalagnac proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[30] :

  • Bas Combin
  • Beau-Soleil
  • les Bitarelles
  • Biternat
  • le Boudan
  • le Boutet
  • le Chabranle
  • Chalusset
  • Champlebout
  • les Chanteloubes
  • les Combettes
  • Combin
  • Côte Juquée
  • Courbe
  • le Cros
  • Eyvirat
  • les Gadaux
  • Grand Bost
  • les Granges
  • Labrousse
  • Lascaud
  • Lavaure
  • Maison-Neuve
  • les Marbilies
  • le Menaudou
  • la Merle
  • Monmaye
  • les Planches
  • le Puy
  • Puychicout
  • les Quatre Routes
  • Rossignol
  • Sabloux
  • la Séguinie
  • les Vignauds.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Chalagnac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Chalagnac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[33]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[34],[35].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chalagnac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[36]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 99,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[38].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1992, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[31].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village provient d'un nom de personnage gallo-roman Calanus ou Calanius auquel le suffixe -acum a été apposé, indiquant le « domaine de Calanus ou de Calanius »[39].

En occitan, la commune porte le nom de Chalanhac[40].

Histoire[modifier | modifier le code]

La première mention écrite connue du nom du village apparaît au XIIIe siècle sous la forme latine Chalapnacum qui devient Chalanhacum au XVe siècle[39].

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Chalaignac[41].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de Chalagnac a été rattachée au canton de Vergt qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton, qui prend un temps le nom de canton de Saint-Jean-de-Vergt, est rattaché à l'arrondissement de Périgueux[6].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[42]. La commune est alors rattachée au canton du Périgord central, dont le territoire est partagé entre les arrondissements de Périgueux et de Bergerac.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fin 2001, Chalagnac intègre dès sa création la communauté de communes du Pays vernois. Celle-ci est dissoute le et remplacée au par la communauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe. Elle est elle-même dissoute le et ses communes sont intégrées à la communauté d'agglomération Le Grand Périgueux le .

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[43],[44].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs[45]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1885 1904 Jean Dupérier    
1904 1929 Pierre Chancogne    
1929 1945 Jean-Baptiste Rudeaux    
1945 1956 Louis Dumonteil    
1956 1972 Raoul Lagrange[Note 6]    
1972 1989 Michel Colin    
1989 2001 Gisèle Verger    
2001 août 2003 Maxime Dubost[Note 7]    
août 2003 mars 2014 Jean Manein SE[46] Retraité
mars 2014[47] mai 2020 Jean-Paul Garrigue SE Retraité
mai 2020 février 2021 Charles Farge[Note 7]    
mars 2021[48] En cours Dominique Chansard    

Jumelages[modifier | modifier le code]

Les communes du Pays vernois sont jumelées avec la ville canadienne de Saint-Jacques de Montcalm depuis 1996[49].

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Chalagnac relève[50] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Chalagnac se nomment les Chalagnacois[51].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[53].

En 2021, la commune comptait 442 habitants[Note 8], en augmentation de 3,03 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
596569741584628566696647652
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
620650593609574540533511503
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
438447408381318314324298243
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
257237222281338338377383404
2017 2021 - - - - - - -
435442-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[55], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 214 personnes, soit 49,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-cinq) a augmenté par rapport à 2010 (seize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,5 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte 41 établissements[56], dont 21 au niveau des commerces, transports ou services, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quatre dans la construction, et trois dans l'industrie[57].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Décédé en fonctions.
  7. a et b Démissionnaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Chalagnac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Carte géologique de Chalagnac » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Chalagnac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 783 - Thenon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Chalagnac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Chalagnac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  17. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  23. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  30. « Chalagnac » sur Géoportail (consulté le 24 février 2015)..
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