Chélan

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Chélan
Chélan
Entrée de Chélan sur la route D228.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Val de Gers
Maire
Mandat
Carmen Saint-Martin
2020-2026
Code postal 32140
Code commune 32103
Démographie
Population
municipale
171 hab. (2021 en diminution de 5 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 46″ nord, 0° 32′ 57″ est
Altitude 236 m
Min. 222 m
Max. 341 m
Superficie 13,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Astarac-Gimone
Législatives Première circonscription
Localisation
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Chélan
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Chélan
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Chélan
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Chélan

Chélan (Shelan en gascon) est une commune française située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Gers, la Gèze, le ruisseau de l'Arriouat et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Chélan est une commune rurale qui compte 171 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 568 habitants en 1841. Ses habitants sont appelés les Chélanais ou Chélanaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Chélan est une commune de Gascogne située dans l'Astarac sur le Gers et sur l'ancienne route nationale 129 entre Masseube et La Barthe-de-Neste. La commune est limitrophe avec le département des Hautes-Pyrénées par le sud.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Castelnau-Magnoac, Peyret-Saint-André, Sariac-Magnoac, Arrouède, Aujan-Mournède, Monlaur-Bernet, Mont-d'Astarac, Panassac et Samaran.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Chélan se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Chélan.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Gers, la Gèze, le ruisseau de l'Arriouat, le ruisseau de l'Escalé, le ruisseau d'en Bertrand, le ruisseau d'en Calabre, le ruisseau de Pey Crabé, le ruisseau des aygues vives, le ruisseau des Tourrenquets, le ruisseau du Bois de Monlaur, le ruisseau du Boudous, le ruisseau du Cabiro, le ruisseau du Hauret, le ruisseau du Pin et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 29 km de longueur totale[4],[Carte 1].

Le Gers, d'une longueur totale de 175,4 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Layrac, après avoir traversé 47 communes[5].

La Gèze, d'une longueur totale de 11,7 km, prend sa source dans la commune de Cizos et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans le Gers à Sariac-Magnoac, après avoir traversé 7 communes[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 876 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sadeillan à 17 km à vol d'oiseau[9], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 900,9 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[13] : les « bois et landes des Argudes, Téchéné et les Lannes » (147 ha), couvrant 4 communes dont deux dans le Gers et deux dans les Hautes-Pyrénées[14] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[13] : les « coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch » (13 191 ha), couvrant 31 communes dont 28 dans le Gers et trois dans les Hautes-Pyrénées[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chélan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[I 1],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,2 %), forêts (12,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), zones urbanisées (2,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Chélan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gers et la Gèze. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[21]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1999 et 2009[22],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chélan.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 101 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 101 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993 et 1995 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie installée dans l'ancienne école.
Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1958 Alban Eugène Dattas    
1958 1959 Léon Loubeau    
1959 1965 François Dubosc    
1965 1971 Urbain Bajon    
mars 1971 mai 1997 Joseph Lamothe PCF Cultivateur, conseiller général du canton de Masseube (1967-1997)
juin 1997 mars 2014 Julien Collongues[26] PCF  
mars 2014 En cours Carmen Saint-Martin DVG Fonctionnaire

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 171 habitants[Note 4], en diminution de 5 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
471422439462536568525500519
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
531537534510503514508442421
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
420397337351337319302285287
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
238218219192185190189175171
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas d'école à Chélan. La plus proche est située à Panassac[31].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La salle des fêtes.
  • Fête : 1er dimanche de juin[32].

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 70 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 168 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 110 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 7,7 % 4,7 % 13,3 %
Département[I 7] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 88 personnes, parmi lesquelles on compte 68,9 % d'actifs (55,6 % ayant un emploi et 13,3 % de chômeurs) et 31,1 % d'inactifs[Note 6],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 21 emplois en 2018, contre 26 en 2013 et 30 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 51, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 40,5 %[I 10].

Sur ces 51 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 84,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

14 établissements[Note 7] sont implantés à Chélan au [I 13]. Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 14 entreprises implantées à Chélan), contre 8,3 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du départementle centre-nord du département du Gers, un quart de sa superficie, et correspond au pied de lʼéventail gascon[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 25 19 15 14
SAU[Note 9] (ha) 835 662 810 781

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 25 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 19 en 2000 puis à 15 en 2010[35] et enfin à 14 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 44 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[36],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 835 ha en 1988 à 781 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 33 à 56 ha[35].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Sainte-Gemme.
L'ancien château.
  • Château de Chélan[32]. Mentionné comme château sur la carte de Cassini et sur la carte IGN de 1950[37], les deux bâtiments prolongés par un enclos fossoyé sur le plan cadastral de 1828[38] sont aujourd'hui le centre d'une exploitation agricole ;
  • Station de traitement d’eau potable au sud du village.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Chélan » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Chélan » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Chélan » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Chélan » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Chélan » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Chélan », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « le Gers »
  6. Sandre, « la Gèze »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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  11. « Station Météo-France « Sadeillan » (commune de Sadeillan) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Chélan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF les « bois et landes des Argudes, Téchéné et les Lannes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF les « coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Chélan », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chélan », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Les maires de Chélan », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  26. Site de la préfecture - fiche de Chélan
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école de Panassac
  32. a et b Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
  33. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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