Centrale nucléaire de Penly

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Centrale nucléaire de Penly
Administration
Pays
Région
Département
Commune
Coordonnées
Opérateur
Construction

1982 (tranche 1)

1984 (tranche 2)
Mise en service

1990 (tranche 1)

1992 (tranche 2)
Statut
En service
Direction
Stéphane Rivas (au 1er septembre 2019)
Réacteurs
Fournisseurs
Type
Réacteurs actifs
2 × 1 330 MW
Puissance nominale
2 660 MW
Production d’électricité
Production annuelle
16,66 TWh (2019)[1],[2]
Facteur de charge
73,1% (en 2019)
83,3 % (jusqu'en 2019)[3]
Production moyenne
17,95 TWh (2015 à 2019)
Production totale
504,84 TWh (fin 2019)

Source froide
Site web
Carte

La centrale nucléaire de Penly est située dans la commune de Petit-Caux sur la côte de la Manche, entre Le Tréport (situé à 20 km au nord-est de la centrale) et Dieppe (situé à 15 km au sud-ouest de la centrale), et à 70 km de Rouen, en Seine-Maritime. Le début de la construction date de 1982 et 1984 (respectivement pour les tranches 1 et 2) par EDF, qui est autorisée à l'exploiter depuis 1990 et 1992[4].

Caractéristiques du site[modifier | modifier le code]

Le site de la centrale de Penly occupe une superficie de 230 ha dont 70 ha gagnés sur la mer, au bord de la Manche, où la centrale puise l'eau pour son refroidissement[5]. Le site avait été initialement préparé pour quatre unités de production, mais seuls deux emplacements sont utilisés[6],[7].

La centrale est construite au débouché de la valleuse de Penly[8]. Les bâtiments de la centrale sont construits au pied de falaises en craie datant du Turonien[9]. Selon EDF, la zone a été choisie pour ses caractéristiques géologiques favorables[5]. Encaissé en bordure du littoral du Talou, le site nucléaire a un impact relativement limité sur le paysage car les bâtiments sont peu visibles depuis la terre[réf. nécessaire].

Caractéristiques des réacteurs[modifier | modifier le code]

Ce site a été retenu pour l'implantation de l'EPR2 de EDF. Les études ont démarré fin 2023.

Actuellement, le site est doté de deux réacteurs à eau pressurisée de 1 330 MW chacun, appartenant au palier P'4, mis en service en 1990 et 1992[10]. Ils sont refroidis par l'eau de la Manche.

Penly emploie environ 750 salariés d'EDF et 170 salariés d'entreprises prestataires.

Les caractéristiques des réacteurs en service sont les suivantes :

Nom du réacteur Modèle Capacité [MW] Exploitant Constructeur Début constr. Raccord. au réseau Mise en service comm.
Thermique (MWt) Brute (MWe) Nette (MWe)
Penly-1[1] P'4 REP 1 300 3 817 1 382 1 330   EDF Framatome septembre 1982 mai 1990 décembre 1990
Penly-2[2] P'4 REP 1 300 3 817 1 382 1 330   EDF Framatome août 1984 février 1992 novembre 1992

Incidents[modifier | modifier le code]

Clôture de la centrale, franchie par des militants de Greenpeace en décembre 2003, avant de monter sur le bâtiment réacteur et sur des cheminées de la centrale[11]
En bas de cette photo, on aperçoit les bâtiments et les digues du canal d'amenée de la centrale

Le , des rejets faiblement radioactifs ont été déversés en mer en raison d'une fuite au niveau d'un des réservoirs de collecte du circuit secondaire des réacteurs[12].

Le , un agent d’une entreprise prestataire a été contaminé au niveau du visage[13].

2012 : incendie et fuite d'eau du circuit primaire au réacteur no 2[modifier | modifier le code]

Le , à 12 h 20, un incendie se produit sur le réacteur numéro 2 et conduit à l'arrêt automatique du réacteur[14],[15],[16]. À 13 h 15, soixante pompiers interviennent sur le site avec une dizaine de véhicules d'intervention et maîtrisent l'incendie[17],[18]. Dans l'après-midi, une fuite d’eau est diagnostiquée au niveau du joint de l'une des quatre pompes de refroidissement du circuit primaire du réacteur no 2, probablement en lien avec l'incendie[19],[20]. En réduisant la pression d’eau dans le circuit primaire, le débit de la fuite passe de 2,3 m3/h en début de soirée à 0,1 m3/h plus tard dans la soirée[21]. Vers h 30, la situation est stabilisée[15] et EDF attend un refroidissement complet du réacteur avant d'intervenir[22].

Le , l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) réalise une inspection sur le site pour analyser les causes de l'incident[23]. Selon Jean-Christophe Niel, directeur général de l'ASN, une personne a été légèrement brûlée pendant l'intervention dans le bâtiment réacteur et aucune contamination radioactive n'a été décelée sur les vingt-neuf personnes qui sont entrées dans le bâtiment réacteur pour éteindre les départs de feu. Il a également indiqué que l'eau radioactive a été récupérée dans des bacs prévus à cet effet et que l'incident n'a eu aucun impact sur l'environnement[24],[25].

L'Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest (ACRO), un laboratoire indépendant en matière de contrôle nucléaire, a indiqué avoir effectué trois prélèvements d'air à deux kilomètres de la centrale pour vérifier l'absence de rejets radioactifs[26]. Selon l’ACRO[27], « aussitôt l'incident à la centrale de Penly connu, des préleveurs volontaires de l'ACRO ont effectué trois prélèvements d'herbe sous les vents dominants de la centrale. Les résultats d'analyse n'ont pas mis en évidence de contamination artificielle à deux kilomètres de la centrale. Nous regrettons que nos préleveurs n'aient pas eu le droit de prélever plus près. »

Lors de la réunion plénière de la CLIN (commission locale d'information sur le nucléaire Paluel-Penly) du mercredi à Saint-Martin-en-Campagne (près de Penly), Alban Verbecke, le directeur du site, déclare que 1 200 litres d'huile ont été répandus au pied de la pompe primaire et que les flammes mesuraient de 15 à 50 centimètres de haut au plus fort du sinistre. Il présente plusieurs images sur lesquelles on peut voir que des chemins de câbles avec des câbles de couleurs verte et bleue ont été touchés par le début d'incendie. Il déclare également que l'arrêt coûte de un million et demi à deux millions d'euros chaque jour.

Lors d'une réunion publique de la CLIN, le à Dieppe, on apprend que la véritable origine du sinistre est due à une erreur humaine commise le à h 41 par un opérateur d'EDF ; en effet, treize secondes avant d'arrêter effectivement un ventilateur, ce pour quoi il intervenait, il a mis en marche, par erreur, une pompe de graissage haute pression qui fonctionnera plus de 30 heures[28]. Un joint mal monté (serrage insuffisant) fuira et l'huile coulera sur les canalisations du circuit primaire avec les conséquences connues le 5 avril[29]. Le directeur de la centrale confirmera cette information lors de la séance plénière de la CLIN du [30].

En juillet 2016, l'ASN et l'IRSN présentent leurs conclusions sur l'analyse de l'incident qui est classé au niveau 1 de l'échelle INES par l'Autorité de sûreté nucléaire[31].

2023 : phénomène de corrosion sous contrainte[modifier | modifier le code]

En , sont détectés sur le réacteur n°1 de la centrale nucléaire de Civaux des micro-fissures au niveau des soudures des circuits RRA (refroidissement du réacteur à l’arrêt), et des circuit RIS (circuit d'injection de sécurité permettant l'injection d'eau borée en cas de brèche du circuit primaire). Ces fissures sont liée à un phénomène de corrosion sous contrainte (CSC) générique atteignant potentiellement plusieurs réacteurs du parc français. EDF procède en et en à l'inspection des circuits RRA et RIS de ses réacteurs potentiellement atteints, c'est-à-dire les plus récents appartenant au palier P4/P'4 et au palier N4.

Le , EDF signale par une information réglementaire la détection d'une fissure en lien avec de la CSC sur la « branche chaude » du circuit d'injection de sécurité (circuit RIS) du réacteur numéro 1 de Penly[32]. Cette fissure d'une longueur de 155 mm (soit environ le quart de la circonférence de la tuyauterie), et d'une profondeur maximale de 23 mm (pour une épaisseur de tuyauterie de 27 mm), est bien plus importante que les autres micro-fissures en lien avec le phénomène de CSC retrouvé sur le reste du parc (au maximum 6 millimètres à Civaux). La particularité de cette soudure est d'avoir été doublement réparée lors de la construction du réacteur. L'incident est classé au niveau 2 sur l'échelle INES[33],[34].

Le , après complément d'information transmis par EDF le , l'ASN demande à EDF « de réviser sa stratégie pour tenir compte de ces nouvelles informations ».

Funiculaire[modifier | modifier le code]

Le site a la particularité d'abriter le seul funiculaire à usage industriel en France encore en état de fonctionnement. Il permet l'accès rapide aux installations depuis l'entrée du site située en haut de falaise. Son dénivelé est de 100 mètres pour 30,7 % et sa ligne forme une grande courbe avec un croisement au centre.

Il a une longueur de 287 m, a été construit par la société Skirail en 1991[35] et fut inauguré en 1992. Sa vitesse est de 8 m/s (environ 29 km/h) et il transporte 55 personnes en 55 secondes. Son fonctionnement est entièrement automatisé et il est ouvert 24 h/24. Si le vent dépasse 31 m/s (environ 112 km/h), les cabines sont immobilisées dès leur arrivée en station jusqu'à ce que le vent chute au-dessous de cette valeur pendant plus de trois minutes. Le départ est géré par un programme aux heures de pointe et par appel aux heures creuses. Les deux cabines roulent sur un viaduc métallique qui culmine jusqu'à 11 mètres sur le talus[36].

Projets Penly 3 et Penly 4[modifier | modifier le code]

Premier projet d'un troisième réacteur type EPR (2008-2012)[modifier | modifier le code]

Un troisième réacteur EPR a été en projet à la centrale de Penly.

Le , alors que les conseillers municipaux de Dieppe procèdent au vote à main levée de la motion sur l'EPR, un groupe de militants du mouvement antinucléaire s'interpose et manifeste son mécontentement. Le maire, Sébastien Jumel, doit à plusieurs reprises suspendre le conseil municipal, qui adoptera finalement la motion pour le projet EPR[37].

Le , le président Nicolas Sarkozy retient le site de Penly pour accueillir le deuxième réacteur EPR français. EDF serait alors investisseur et opérateur majoritaire[38].

Le à Dieppe, commence la première des treize réunions publiques qui se sont tenues pendant trois mois et demi, la dernière se déroulant à Saint-Martin-en-Campagne. Elles étaient retransmises en direct sur Internet, ont toutes été enregistrées en vidéo et sont disponibles avec leurs verbatims, dans certaines bibliothèques universitaires[39]. Ces treize interventions ont donné lieu à la réalisation de trente-trois cahiers d'acteurs.

Le à Caen, des perturbateurs non identifiés rendent le débat impossible malgré la médiation de certains opposants au projet qui tenaient à assister à ce débat. Parmi les associations du mouvement antinucléaire, le collectif « Stop EPR, ni à Penly, ni ailleurs » de Haute-Normandie a appelé à participer au débat tandis que son homologue bas-normand a appelé à manifester, mais en dehors de la salle[40].

Le , les collectifs « Stop EPR, ni à Penly, ni ailleurs » et « Sortir du nucléaire » déposent un recours auprès du tribunal administratif de Rouen[41].

En mai 2011, Christophe de Margerie, PDG de Total et investisseur du projet Penly III, a annoncé peu de temps après la catastrophe de Fukushima que « la réflexion sur le projet a été apparemment stoppée »[42]. Stéphane Beaufils, secrétaire général de la CGT de Dieppe a annoncé le 1er juin qu'il « faut attendre le retour d’information de l’accident de Fukushima et cela prendra le temps que cela prendra. »[43].

L'enquête publique sur ce projet de réacteur nucléaire EPR, qui devait débuter en juin 2011, a été reportée une première fois à octobre 2011, puis à la demande d'EDF jusqu'à une date indéterminée en 2012[44],[45].

Pendant la campagne présidentielle 2012, François Hollande se prononce contre la construction au cours du mandat 2012-2017, mais n'indique pas avoir décidé un arrêt définitif[46]. En , la ministre de l'écologie Delphine Batho annonce ne pas vouloir construire d'EPR à Penly[47].

Deuxième projet d'une paire d'EPR 2[modifier | modifier le code]

Le projet est relancé en 2019, EDF cherchant des sites pour la construction d'éventuelles nouvelles paires de réacteurs de type EPR2.

Le , le site de Penly est retenu et proposé par la direction d'EDF pour accueillir deux nouveaux réacteurs de type EPR2, en cas de décision favorable par l'État de poursuivre le programme EPR[48],[49].

Lors du discours de Belfort du , le président de la République Emmanuel Macron annonce la construction de six nouveaux réacteurs nucléaires de type EPR2 en France, répartis en trois paires sur des centrales existantes (avec études pour la réalisation de huit EPR2 supplémentaires)[50]. Le lendemain, le président d'EDF Jean-Bernard Lévy confirme que la centrale de Penly est le premier site sélectionné[51].

Le , EDF saisit la Commission nationale du débat public afin d'organiser le débat public sur cette paire d'EPR 2 à Penly[52]. La présidence en est confiée à Michel Badré, ancien président de l'Autorité environnementale[53], et co-auteur en février 2022 dans Le Monde d'une tribune critique des annonces d'Emmanuel Macron sur la relance du nucléaire[54]. Le débat se tient du au [55].

Le 22 juin 2023 est adoptée une loi permettant l'accélération des procédures administratives pour la construction de nouveaux réacteurs sur des sites nucléaires déjà existants[56]. Cette dernière ne se substitue pas aux processus de participation du publique, ni à l'avis de l'ASN[57]. Elle permet essentiellement une accélération des procédures en amont du chantier : non-inclusion dans les objectifs de Zéro artificialisation nette de la commune, présomption de raison impérative d'intérêt public majeur (RIIPM), etc. De plus, cette loi permet l'engagement des travaux préparatoires sur le site (terrassement, constructions d'annexes, parkings, logements, etc.) avant l'obtention du DAC, mais après l'obtention d'un avis favorable de l'Autorité environnementale[56],[57]. En , l'Autorité environnementale appelle EDF à revoir l'étude d'impact environnemental[58],[59] ; en réponse, EDF doit présenter un mémoire avant le lancement de l’enquête publique, prévue au premier trimestre 2024[59].

Le , le conseil d'administration d'EDF valide le dossier de demande d'autorisation de création des deux nouveaux EPR2 qui doivent être construits à Penly. Ce dossier est remis au ministère de la Transition énergétique, qui le transmet à l'ASN. Le processus d'instruction de cette demande devrait durer plus de trois ans, pour aboutir fin-2026 à la délivrance du « décret d'autorisation de création » ou DAC. EDF estime la durée de construction des EPR2 de Penly entre huit et neuf ans, et vise une entrée en service en 2035-2036[60].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Nuclear Power Reactor Details - PENLY-1 », sur pris.iaea.org (consulté le )
  2. a et b « Nuclear Power Reactor Details - PENLY-1 », sur pris.iaea.org (consulté le )
  3. moyennes des valeurs sur PRIS AIEA pour chaque réacteur du site
  4. EDF, « Penly » (consulté le )
  5. a et b Débat public de Penly 3 : Dossier du maître d'ouvrage [PDF], Commission nationale du débat public.
  6. Réponse de EDF du 1er avril 2010 lors du Débat Public Penly 3, Commission nationale du débat public.
  7. Débat public projet Penly 3 - page 6, cpdp.debatpublic, 22 avril 2010
  8. La gestion du trait de côte p. 72 - Ministère de l'écologie - Éditions Quæ, 2010
  9. IFREMER - Février 1976 : Étude écologique d'avant projet sur le site de Penly
  10. ASN, « Centrale nucléaire de Penly » (consulté le )
  11. Nouvel Obs - 5/12/2003 : Greenpeace investit une centrale
  12. ASN - 31/08/2004 : Rejets faiblement radioactifs en mer
  13. ASN - 24/10/2011 : Contamination externe au visage d’un agent lors d’une intervention
  14. Michel Alberganti, « Incidents radioactifs: que s'est-il passé à Penly? », sur le site de Slate.fr, (consulté le )
  15. a et b Morgane Bertrand, « La centrale nucléaire de Penly ? R.A.S. », sur le site du Nouvel Observateur, (consulté le )
  16. ASN - 5 avril 2012 : Départ de feu à la centrale nucléaire de Penly
  17. Le Parisien - 5/04/2012 : Incendie: la centrale de Penly à l'arrêt
  18. Centrale nucléaire de Penly: un incendie en cours, Huffingtonpost du 5 avril 2012
  19. RTL.be - 6/04/2012 : Fuite à Penly: l'eau n'a jamais quitté le "circuit primaire" du réacteur
  20. La chaudière des réacteurs à eau sous pression : 7.3.2. Système d'étanchéité d'arbre
  21. Penly: le réacteur 2 en cours de refroidissement malgré une fuite d'eau sur Le Point.fr. Publié le 5 avril 2012.
  22. AFP, « Penly : pas d'intervention sur le réacteur ce week-end », sur le site de Romandie.com, (consulté le )
  23. L’ASN fait le point sur les investigations menées à la suite de l’incident survenu le 5 avril 2012 sur le réacteur n°2 de la centrale nucléaire de Penly, asn.fr, 25 avril 2012
  24. AFP, « Centrale nucléaire de Penly: "il n'y a plus de fuite" depuis 4H00 », sur le site de orange.fr, (consulté le )
  25. AFP, « Centrale nucléaire de Penly: EDF annonce un "retour à la normale" sur le refroidissement du réacteur », sur le site de orange.fr, (consulté le )
  26. « Retour à la normale à la centrale nucléaire de Penly », sur le site du Monde, (consulté le )
  27. « Accueil - ACRO - Association pour le Contrôle de la Radioactivité dans l'Ouest », sur ACRO - Association pour le Contrôle de la Radioactivité dans l'Ouest (consulté le ).
  28. NUCLEAIRE Incident de PENLY- Dieppe - 5 avril 2012 Une erreur humaine à 150 millions d’euros
  29. [PDF] « Rapport du HCTISN », sur hctisn.fr,
  30. http://www.clin76.fr/wp-content/uploads/2014/02/Compte-rendu_CLIN-du-3-octobre-2013_FINAL-3.pdf (page 34 du document bas de page)
  31. « Nucléaire : Incendie du 5 avril 2012 à Penly: des hommes et des joints », sur Le Courrier picard, (consulté le ).
  32. Contrôles complémentaires de recherche de corrosion sous contrainte, edf, 24 février 2023
  33. « Corrosion sous contrainte : présence d’une fissure de profondeur importante sur le réacteur 1 de la centrale de Penly », sur asn.fr,
  34. Adrien Pécout et Perrine Mouterde, « L’importante fissure découverte à la centrale nucléaire de Penly complique encore plus la situation d’EDF », sur Le Monde, (consulté le )
  35. « Le funicualaire de Penly », sur Association des funiculaires de France (consulté le )
  36. Jean Gennesseaux, Funiculaires et crémaillères de France, La vie du rail et des transports, Paris, 1992, 232 p. (ISBN 2-902808-42-9)
  37. Reportage vidéo de France 3 Haute-Normandie : Dieppe et le nucléaire, attention sujet sous haute tension
  38. EDF construira son réacteur nucléaire de nouvelle génération à Penly Le Figaro Jacques-Olivier Martin et Frédéric de Monicault 29/01/2009
  39. catalogue SUDOC
  40. AFP - 18 mai 2010 : Une réunion sur l’EPR de Penly annulée à Caen en raison d’une manifestation
  41. Stop-EPR - 26 mai 2011 : Un recours devant le tribunal
  42. Challenges - 4/05/2011 : Margerie : La réflexion sur Penly apparemment stoppée
  43. Journal Télévisé du 19-20 sur France 3 Haute-normandie - 1er juin 2011
  44. EPR Penly : l'enquête publique est reportée à 2012 Le Monde/AFP 04/10/2011
  45. L'Expansion - 5/10/2011 : Le projet nucléaire EPR de Penly encore repoussé
  46. Mediapart - 15 février 2012 : Nucléaire : recul de François Hollande sur l’EPR de Penly
  47. Le réacteur EPR à Penly est-il un mirage ?, France 3 Haute Normandie, 13 juillet 2012
  48. « Nucléaire : EDF choisit le site de Penly pour construire deux EPR », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  49. « Réacteurs nucléaires nouvelle génération : Tricastin ou Bugey ? », sur France Bleu,
  50. « Reprendre en main notre destin énergétique ! », sur elysee.fr, (consulté le )
  51. Nucléaire. Le site de Penly près de Dieppe choisi pour accueillir le premier des nouveaux EPR français
  52. « Programme nouveaux réacteurs nucléaires et première paire de réacteurs EPR2 à Penly », sur Commission nationale du débat public, (consulté le )
  53. « Désignation de Michel Badré suite à la plénière du 6 avril 2022 », sur Commission nationale du débat public, (consulté le )
  54. Michel Badré et Alain Grandjean, « La politique énergétique doit faire l’objet d’un débat ouvert », sur Le Monde,
  55. CNDP, « CNDP 7 sept 2022 »
  56. a et b « Loi du 22 juin 2023 relative à l’accélération des procédures liées à la construction de nouvelles installations nucléaires à proximité de sites nucléaires existants et au fonctionnement des installations existantes », sur www.vie-publique.fr (consulté le )
  57. a et b « Les cinq points à retenir du projet de loi d’accélération du nucléaire », sur Sfen (consulté le )
  58. Nouveaux réacteurs nucléaires : l'Autorité environnementale appelle EDF à revoir sa copie sur le site de Penly
  59. a et b « EPR2 Penly, l’Autorité environnementale rend son avis », sur Sfen (consulté le )
  60. Nucléaire : top départ pour les deux futurs EPR de Penly, Les Échos, 30 juin 2023.