Celles (Dordogne)

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Celles
Celles (Dordogne)
L'église de Celles.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Jean-Didier Andrieux
2020-2026
Code postal 24600
Code commune 24090
Démographie
Gentilé Cellois
Population
municipale
602 hab. (2021 en augmentation de 5,24 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 17′ 51″ nord, 0° 24′ 47″ est
Altitude Min. 61 m
Max. 213 m
Superficie 27,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ribérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ribérac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Celles
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Celles
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Celles
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Celles
Liens
Site web www.celles24.fr

Celles est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Localisée en Ribéracois, au nord-ouest du département de la Dordogne, la commune de Celles est limitée au sud par la Dronne et arrosée par le Jalley, le Tournevalude et son affluent le Meyré, trois ruisseaux de son bassin versant.

Établi dans le vallon du Tournevalude et desservi par les routes départementales (RD) 93 et 99, le bourg de Celles est situé, en distances orthodromiques, huit kilomètres au nord-est de Ribérac et autant au nord-ouest de Tocane-Saint-Apre.

La commune est également desservie en limite nord par la RD 1 et au sud par les RD 104 et 104E.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Celles et des communes avoisinantes.

Celles est limitrophe de sept autres communes. Au sud-ouest, le territoire de Ribérac est distant de 650 mètres.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Celles est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4b-c, date du Santonien moyen à supérieur, composée de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac), faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Celles.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 61 m[5] au sud-ouest, là ou la Dronne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint-Méard-de-Drône et Villetoureix, et 213 m[5] au nord-ouest, au nord du lieu-dit Pauliac[6], en limite de la commune de Coutures.

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne[9],[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 27,83 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 27,93 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Dronne, le Bournet, le Jalley, le Meyré, le Tournevalude et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 27 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — à Coutras en Gironde, au lieu-dit la Fourchée, face à la commune de Sablons[16],[17]. Elle borde la commune au sud sur près de deux kilomètres et demi, face à Saint-Méard-de-Drône.

Affluent de rive droite de la Dronne, le Tournevalude traverse le territoire communal sur plus de huit kilomètres du nord-est au sud-ouest, en passant par le bourg, servant de limite naturelle au sud-ouest sur un kilomètre et demi face à Villetoureix.

Son affluent de rive droite le Meyré arrose l'ouest de la commune du nord au sud sur plus de six kilomètres dont deux kilomètres et demi, en trois tronçons, en limite de Coutures et de Villetoureix.

Deux autres affluents de rive droit de la Dronne bordent le territoire communal : à l'est le Jalley sur 1,2 kilomètre face à Grand-Brassac et Saint-Victor, et à l'ouest le Bournet sur 900 mètres face à Bertric-Burée et Villetoureix.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 918 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Fressengeas à 8 km à vol d'oiseau[23], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 050,4 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Celles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[27],[28],[29].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (46,4 %), terres arables (26,2 %), forêts (23,9 %), prairies (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2014 pour la Dronne — qui borde la commune au sud  — à Celles, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant dépasser 700 mètres au sud du lieu-dit la Garenne, ainsi que la partie aval de son affluent le Tournevalude (les 1 200 derniers mètres)[33],[34].

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

  • Bas Repaire
  • Bauby
  • Bélair
  • Belord
  • Blanchardie
  • Bois de Lalande
  • Bois du Cluzeau
  • Bony
  • Bost du Pont
  • Cadran
  • Chapelle Saint-Jean
  • Chemisac
  • Chez Cheynaud
  • Chez Dufray
  • Chez Givry
  • Chez Jeannot
  • Chez Picot
  • Chez Poëte
  • Côte
  • Fieux Bas
  • Fieux Haut
  • Flayac
  • Gaudignac
  • Guillonnet
  • Haut Repaire
  • Jaures
  • Joubertias
  • Joumarias
  • la Barrière du Cluzeau
  • la Borie
  • la Chauvelie
  • la Croix Courteaud
  • la Croix de Bauby
  • la Croix de Jaures
  • la Farge
  • la Féronie
  • la Forêt
  • la Garderie
  • la Garenne
  • la Leyterie
  • la Ligerie
  • la Pauze
  • la Planèze
  • la Prairie
  • la Valade Basse
  • la Valade Haute
  • la Veyssière
  • Lafaye
  • Lamon
  • Lapouge
  • Lasfayas
  • le Boisset
  • le Breuilh
  • le Cadeix
  • le Chatain
  • le Cluzeau
  • le Maine
  • le Meyré
  • le Moulin de Belord
  • le Moulin Gayou
  • le Petit Cluzeau
  • le Petit Lamon
  • le Plantou
  • le Pré des Filles
  • le Tournevalude
  • le Vignoble
  • le Volveix
  • Léparre
  • les Brégeries
  • les Brousses
  • les Manufactures
  • les Martres
  • les Tubes
  • l'Hôpital
  • Margnac
  • Monaco
  • Monrepos
  • Pauliac
  • Payement
  • Péniquet
  • Peynou
  • Peyrillault
  • Philippet
  • Plumentie
  • Puy des Garennes
  • Puyagût
  • Puyssonier
  • Réjouy
  • Vaudou

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune tire son nom du latin cella (cellule).

En occitan, la commune porte le nom de Cela[35].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1481, la paroisse de Celles dépend de la châtellenie de Bourdeilles[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[37],[38].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  prairial an VIII Jean Baptiste Dujarrie   Notaire public
prairial an VIII janvier 1813 Mathurin Labonne    
janvier 1813 mai 1815 Alexandre de Foucauld    
juin 1815 février 1821 Jacques Barthélémy Bardy Fourtou    
février 1821 avril 1848 Pierre Pradier    
avril 1848 avril 1892[39] Augustin Bellisle    
juin 1892 mai 1886 Paul Monceyron    
mai 1886 15 mars 1900[39] Antoine Constant    
15 mars 1900 mai 1900 Pierre Lacour   Adjoint faisant fonctions de maire
juin 1900 ? Durieu de Maisonneuve    
         
1947 1959 Louis Fourgeaud    
1959 1971 Yves Labeau    
1971 1983 Élie Placide    
1983 1995 Philippe André Doyen    
juin 1995[40]
(réélu en mai 2020)
En cours Jean-Didier Andrieux SE[41] puis UMP Agriculteur

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

À la rentrée scolaire de , les communes de Grand-Brassac et Celles sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI). Celles accueille les élèves de cours élémentaire (CE1 et CE2) et de cours moyen (CM1 et CM2) et Grand-Brassac, ceux de maternelle et de cours préparatoire (CP)[42].

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Celles relève[43] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Celles se nomment les Cellois[44].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].

En 2021, la commune comptait 602 habitants[Note 5], en augmentation de 5,24 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7981 5931 6241 6801 6511 5571 6781 6011 557
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5621 5021 5441 4181 4861 4401 4651 3181 271
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1921 1831 1641 009961908929907853
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
761675582600597552555555563
2017 2021 - - - - - - -
587602-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[48], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 261 personnes, soit 45,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix-huit) a très fortement diminué par rapport à 2010 (trente-quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 6,7 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte cinquante-deux établissements[49], dont vingt au niveau des commerces, transports ou services, dix-neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et deux dans l'industrie[50].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Bordée par la Dronne, la commune représente un grand intérêt pour la faune et la flore locales. Des zones de protection y sont donc délimitées.

Au sud de la commune, la Dronne et sa vallée représentent une zone Natura 2000 : la « vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle ». La rivière s'écoule dans un milieu principalement composé de prairies humides et de terres cultivées avec des zones de bocage. On y rencontre plusieurs espèces de poissons menacées ainsi que des écrevisses à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) et des visons (Mustela lutreola)[56].

Toujours en relation avec la Dronne, la commune présente une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II. La vallée de la Dronne est une zone bocagère protégée pour sa faune et sa flore spécifiques[57],[58].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Celles » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Celles » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Celles », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Repères géographiques du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Celles », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Celles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « Confluence Dronne-Isle à la Fourchée » sur Géoportail (consulté le 25 juillet 2022)..
  17. Sandre, « la Dronne »
  18. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  22. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  30. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  33. PPR inondation - 24DDT20120001 - Dronne, DREAL Aquitaine, consulté le 13 avril 2019.
  34. [PDF] Rivière la Dronne - Celles – Plan de prévention du risque inondation, p. 3, DREAL Aquitaine, consulté le 13 avril 2019.
  35. Le nom occitan des communes du Périgord - Cela sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 29 septembre 2021.
  36. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 127-128.
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  39. a et b Décédé en fonctions.
  40. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 15 août 2014.
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  42. Philippe Christophe, « L'école pousse les murs », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16.
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