Cazes-Mondenard

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Cazes-Mondenard
Cazes-Mondenard
Mairie.
Blason de Cazes-Mondenard
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Serres en Quercy
Maire
Mandat
Jean-Jacques Descouls
2020-2026
Code postal 82110
Code commune 82042
Démographie
Gentilé Cazéens
Population
municipale
1 214 hab. (2021 en augmentation de 1,59 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 13′ 40″ nord, 1° 12′ 11″ est
Altitude 143 m
Min. 93 m
Max. 253 m
Superficie 58,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Serres Sud-Quercy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Cazes-Mondenard est une commune française située dans le nord du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Barguelonne, la Lupte, le Lembous et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Cazes-Mondenard est une commune rurale qui compte 1 214 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 3 163 habitants en 1856. Ses habitants sont appelés les Cazéens ou Cazéennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située dans le Quercy blanc, sur la rivière Barguelonne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Cazes-Mondenard est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont Tréjouls, Durfort-Lacapelette, Lafrançaise, Lauzerte, Saint-Amans-de-Pellagal, Sauveterre et Vazerac.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée dans le hameau de Tissac.

La commune compte plusieurs hameaux, dont certains sont d'anciennes paroisses : Tissac, Mazères, Bruyères, Cazillac, Martissan, Saint-Quentin[2].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 5 823 hectares ; son altitude varie de 93 à 253 mètres[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Cazes-Mondenard.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par la Barguelonne, la Lupte, le Lembous, le ruisseau de Cantemerle, le ruisseau de Lacas, le ruisseau de la Galdonne, le ruisseau de la Mouline, le ruisseau de Lanet, le ruisseau de Longuecassagne, le ruisseau de Malepeyre, le ruisseau des Pescayrous et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 72 km de longueur totale[5],[Carte 1].

La Barguelonne, d'une longueur totale de 61,1 km, prend sa source dans la commune de Lhospitalet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le canal de Golfech à Lamagistère, après avoir traversé 24 communes[6].

La Lupte, d'une longueur totale de 27,1 km, prend sa source dans la commune de Pern et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le Lemboulas à Lafrançaise, après avoir traversé 7 communes[7].

Le Lembous, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de Vazerac et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Lemboulas à Lafrançaise, après avoir traversé 4 communes[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 832 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Durfort », sur la commune de Durfort-Lacapelette à 6 km à vol d'oiseau[11], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 759,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[16] :

  • la « butte de Haut-Castel et du Grés, pech de Cachou et de Coupet » (366 ha), couvrant 3 communes du département[17] ;
  • la « butte de Lauture et pech de Lon » (133 ha), couvrant 3 communes du département[18] ;
  • les « pelouse et fruticée du plat de la serre de Larnadio » (102 ha), couvrant 2 communes du département[19] ;

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cazes-Mondenard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[I 1],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (74,1 %), forêts (13,8 %), terres arables (7,4 %), prairies (2,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %), zones urbanisées (0,7 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Cazes-Mondenard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Barguelonne, la Lupte et le Lembous. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1996, 1999, 2007 et 2015[26],[23].

Cazes-Mondenard est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 4],[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cazes-Mondenard.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[28].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 672 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 613 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 2002, 2003, 2006, 2007, 2009, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Cazéens et Cazéennes.

Le toponyme est un nom composé de deux lieux :

Cazes[modifier | modifier le code]

C'est en 1096 dans 'les possessions de Moissac' (bulle d'Urbain II) qu'apparaît 'ecclesias Sancti Petri de Cazex'[réf. nécessaire]. En 1115 : 'Sancta Maria de Casegs'. 'Cazes de Mondenard '(Cassini)[réf. nécessaire]. Cet élément est dérivé de l'occitan casa (maison modeste), issu du latin casa (cabane, hutte).

Mondenard[modifier | modifier le code]

En 1042 : dans une donation : 'Guillaume de Montehenaldo'. En 1115 : le patronyme du seigneur 'Pontius de Montelanard' évolue en 'Poncius de Monte Lanardo' et en 1135 devient Pons de Montlanard qui sera cité comme témoin en 1155. Mondenard (Cassini). À l'origine du toponyme : 'il y a une motte castrale'[réf. nécessaire]. Les nombreuses attestations font penser que la famille de Montlanart est antérieure à la création du village de 'Cazes'[réf. nécessaire].

Autres lieux-dits[modifier | modifier le code]

Le lieu-dit Touffailloux tire son origine du peuple des Taïfales, établis en Gaule romaine au Ve siècle[32].

Histoire[modifier | modifier le code]

La seigneurie de Mondenard était très divisée au XIIIe siècle. Elle était partagée entre les Durfort, les Gourdon, les Montaigut, les Luzech et les Mondenard. En 1205, Arnaud de Durfort donna à Raymond VI, comte de Toulouse, tous ses droits sur les châteaux de Mondenard et de Durfort. Guiraud de Gourdon fit de même en 1230 avec ses droits sur les châteaux de Sauveterre et de Mondenard. Hugues Arnaud de Creyssac, baron de Luzech, fit hommage au comte de toutes ses possessions dans les paroisses de Mondenard et de Sauveterre le 9 novembre 1237. La famille seigneuriale de Montagut (Monte Acuto) et de Mondenard (Monte Lanardo) abandonnèrent au comte de Toulouse la tutelle du château et de la seigneurie de Mondenard par un acte établi le 20 avril 1246. Ils voulaient ainsi permettre la création de commerces et de services indépendants sur le site de Cazes. Ces donations (à l’exception de celle de la famille de Gourdon) n’ont conféré au comte que des droits de suzeraineté sur les terres de ces seigneurs[réf. nécessaire].

Le jeudi 3 mai 1246, le comte de Toulouse Raymond donnait une charte de coutumes aux actuels et futurs habitants de Montlanart, établissant pour eux certaines franchises (principalement économiques) et des garanties fiscales. Ceci entraîna la nomination d’un baile (représentant du comte), la création d’un marché, la nomination de prud’hommes, la mise en place d’un service de garde et de sécurité et d’une justice. Pour chaque transaction importante, un impôt devait être versé. Le baïlage de Monlanard comprenait Sauveterre, Saint-Amans de Pellagal, Canhac et Vazerac. Cette charte permit à la communauté de Cazes de s’établir et de se développer dès le XIIe siècle malgré la proximité et la concurrence de Lauzerte. Au XIVe siècle, tous les seigneurs précédemment cités ont disparu pour laisser la place aux descendants de Vital de Montaigut et d’Hermangarde de Mondenard. Ces derniers hésitèrent longtemps entre le nom de Montaigut et celui de Mondenard et finirent par opter pour de Mondenard[réf. nécessaire].

Cazes-Mondenard est aujourd’hui une commune de Tarn-et-Garonne recouvrant 5820 hectares. Elle appartient entièrement au Quercy Blanc. Sur les coteaux entourant le village, mûrit le chasselas de Moissac, un raisin de table très apprécié.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[33],[34].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes du Pays de Serres en Quercy et du canton du Pays de Serres Sud-Quercy (avant le redécoupage départemental de 2014, Cazes-Mondenard faisait partie du canton de Lauzerte).

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1793 Joseph Delfour    
1793 1795 Pierre Desbals    
1795 1797 Jean Combadazou    
1797 1798 Joseph Rouges    
1798 1825 Jean Guillaume Serrurier    
1825 1832 Jean Antoine François Fidèle de Laduguie    
1832 1837 Etienne Sebastia-Nougairede    
1837 1848 Jean Guillaume Louis Cros    
1848 1850 Etienne Sebastia-Nougairede    
1850 1860 François Combadazou    
1860 1867 Jean Lévinus Garrisson    
mars 1867 mai 1867 François Combadazou    
1867 1870 Louis Jules Cros    
1870 1871 Anatole Monmayou    
1871 1874 Jean Demeaux    
1874 1876 Etienne Resongles    
1876 1882 Jean Demeaux    
1882 1896 Marc Aurimond    
1896 1900 Victor Aurimond    
1900 1904 Antoine Marcelin Combadazou    
1904 1909 Victor Aurimond    
1909 1911 Eugène Brugel    
1911 1918 Jean Gayet    
1918 1919 Jean-Antoine Geynes    
1919 1944 Victor Aurimond    
1944 1944 Jean Pouget    
1944 1947 Justin Delmas    
1947 1977 Marcel Mazet Rad. puis MRG Conseiller général (1949-1977)
1977 1992 François Cauby    
1992 2014 Hervé Andrieu DVD Conseiller général (1992-2011)
mars 2014 mai 2020 Jean-Michel Guilloteau UDI  
mai 2020 En cours Jean-Jacques Descouls    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 1 214 habitants[Note 5], en augmentation de 1,59 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 4232 3202 7492 6712 8502 8913 0023 1083 126
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1633 0133 0272 7602 5732 4192 4032 3842 278
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1172 1282 0171 7811 8121 8471 8661 7421 799
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 7701 7061 5141 3421 3071 2371 1921 2271 183
2021 - - - - - - - -
1 214--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[39] 1975[39] 1982[39] 1990[39] 1999[39] 2006[40] 2009[41] 2013[42]
Rang de la commune dans le département 18 17 26 26 29 37 40 46
Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 520 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 1 190 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 340 [I 4] (20 140  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 5,7 % 8,6 % 7,7 %
Département[I 7] 8,4 % 10,2 % 10,3 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 650 personnes, parmi lesquelles on compte 73,6 % d'actifs (65,9 % ayant un emploi et 7,7 % de chômeurs) et 26,4 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 327 emplois en 2018, contre 301 en 2013 et 328 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 437, soit un indicateur de concentration d'emploi de 74,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,7 %[I 10].

Sur ces 437 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 220 travaillent dans la commune, soit 50 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 78 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 6,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

104 établissements[Note 8] sont implantés à Cazes-Mondenard au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 104
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
20 19,2 % (9,6 %)
Construction 10 9,6 % (14,9 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
33 31,7 % (29,7 %)
Activités financières et d'assurance 4 3,8 % (3,4 %)
Activités immobilières 5 4,8 % (3,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
14 13,5 % (14,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
10 9,6 % (13,6 %)
Autres activités de services 8 7,7 % (9,3 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,7 % du nombre total d'établissements de la commune (33 sur les 104 entreprises implantées à Cazes-Mondenard), contre 29,7 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[43] :

  • Ack International, conseil pour les affaires et autres conseils de gestion (693 k€)
  • Patrimoine Vie, activités des agents et courtiers d'assurances (239 k€)
  • EURL Champromis Expertises, analyses, essais et inspections techniques (182 k€)
  • Carrau Cedric SAS, réparation de machines et équipements mécaniques (154 k€)
  • SARL Bedouret Pere Et Fils, travaux d'installation d'eau et de gaz en tous locaux (139 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le « Bas-Quercy de Montpezat », une petite région agricole couvrant une bande nord du département de Tarn-et-Garonne[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 188 163 121 108
SAU[Note 11] (ha) 3 789 4 172 3 835 3 931

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 188 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 163 en 2000 puis à 121 en 2010[46] et enfin à 108 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 43 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[47],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 3 789 ha en 1988 à 3 931 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 20 à 36 ha[46].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre-de-Bruyères.
L'église Saint-Vincent de Tissac.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Cazes-Mondenard Blason
Écartelé : au premier et au quatrième d'argent à la tour d'or maçonnée de sable, ouverte du champ, au deuxième et au troisième d'azur à la grappe de raisin pamprée et feuillée d'une pièce d'or ; le tout sommé d'un chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Vie pratique[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

On trouve sur la commune un médecin, des infirmières et une pharmacie[57],

Enseignement[modifier | modifier le code]

Cazes-Mondenard fait partie de l'académie de Toulouse. La commune possède une école primaire publique et une école primaire privée[58].

Culture et festivités[modifier | modifier le code]

Sur la commune se trouve une médiathèque intercommunale[59], un musée du corbillard et de l'attelage[60], ainsi qu'un comité des fêtes.

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Chasse, pétanque, randonnées pédestres, tennis, yoga, karaté sont parmi les activités pratiquées sur la commune. En football, le club du Cazes Olympique a été créé en 1940 et évolue depuis la saison 1962.1963 en ligue. Actuellement en Régional 2 (Ligue Occitanie) depuis 2017, le club parvient difficilement à se maintenir à ce niveau.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Cazes-Mondenard » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Cazes-Mondenard » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Cazes-Mondenard » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
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  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Cazes-Mondenard » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
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  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Cazes-Mondenard » (consulté le ).
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Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. La Dépêche du Midi, « Cazes-Mondenard. Le village de Martissan en fête ce week-end », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Fiche communale de Cazes-Mondenard », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  6. Sandre, « la Barguelonne »
  7. Sandre, « la Lupte »
  8. Sandre, « le Lembous »
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Cazes-Mondenard et Durfort-Lacapelette », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  13. « Station Météo-France « Durfort », sur la commune de Durfort-Lacapelette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
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  56. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 378.
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  60. https://www.ouest-france.fr/insolite/dans-le-tarn-et-garonne-yvan-fait-visiter-son-musee-insolite-rempli-de-corbillards-5ec04066-2af2-11ee-8171-e75b52a705d4