Caulières

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Caulières
Caulières
La mairie.
Blason de Caulières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Pierre Robitaille
2020-2026
Code postal 80290
Code commune 80179
Démographie
Gentilé Caulièrois
Population
municipale
219 hab. (2021 en augmentation de 8,96 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 46′ 51″ nord, 1° 53′ 25″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 193 m
Superficie 5,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Poix-de-Picardie
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Caulières
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Caulières
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Caulières

Caulières est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village de Caulières est situé à l'intersection de la « route de Normandie », l'ex-RN 29 (actuelle D 1029) et de la route départementale 92.

En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 861 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 17 km à vol d'oiseau[4], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Caulières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,3 %), prairies (13,2 %), zones urbanisées (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village était connu sous le nom de Cauetières en 1169, Caolier en 1197, Caoutières en 1260, Quenlier en 1270[14].

Du latin caulis (« chou »), *cauletum (« plantation de chou ») ; il serait alors apparenté à Cholet (Maine-et-Loire) et Caullery (Nord).

La commune, instituée par la Révolution française sous le nom de Caulière, a pris ultérieurement son S final et l'orthographe actuelle de Caulières[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1846, on a découvert entre Caulières.et Lamaronde, près du chemin flamand, un vase en terre noire contenant un grand nombre de médailles de bronze du Bas-Empire, à l'efligie de Postume et de Gallien[14].

Dès 1146, l'abbaye de Selincourt possédait la moitié de la dîme et les droits d'autel comprenant les oblations et des bénéfices religieux divers. Une fraction inféodée[pas clair] était encore perçue par le seigneur en 1789. Au XIIe siècle, l'abbaye fonda sur le territoire de Caulières, une « cour », dite « cour de Saint-Nicolas de Caulières qui devint le village de Lamaronde[14].

La seigneurie de Caulières a appartenu à la famille de Caulières jusqu'à Charlotte de Caulières, mariée en 1580 avec Christophe de Riencourt, puis en 1598, avec Moïse des Forges, seigneur de Chateaufort. La famille des Forges de Caulières l'a conservée ensuite jusqu'à la Révolution française.

Une autre partie de la seigneurie appartenait au XVIe siècle à la famille de Bigant, dont les armoiries figuraient sur l'église.

La résidence seigneuriale de la famille des Forges se trouvait contre l'église. Elle apparaît encore sur le plan cadastral de 1835[16], mais n'existait déjà plus à la fin du XIXe siècle.

Circonscriptions d'Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Le village relevait de la prévôté royale de Beauvaisis à Grandvilliers, du bailliage d'Amiens, de l'élection d'Amiens, intendance de Picardie, grenier à sel de Grandvilliers, puis d'Aumale[14],

La paroisse Sainte-Marie-Madeleine etSaint-Saturnin dépendait du doyenné de Poix, archidiaconé et diocèse d'Amiens[14].

Le curé était nommé par l'abbé de Selincourt. La dîme était perçue par l'abbaye de Selincourt, le chapitre de la cathédrale d'Amiens et le curé[14].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Plaque du monument aux morts érigée en 1980 et commémorant le sacrifice du 49e BCA lors de la bataille de France.

Lors de la bataille de France, les 6 et , pendant l'invasion allemande, le 49e Bataillon de Chasseurs Alpins (49e BCA) qui tenait les villages de Caulières et de Marlers s'est sacrifié pour tenter de s'opposer au passage des chars allemands. La rue principale du village porte le nom de « Rue du 49e BCA » en mémoire de ce sacrifice.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Poix-de-Picardie[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, où la commune reste intégrée, est modifié et agrandi.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois (CCSOA), créée en 2004.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[17],[18]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[19], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[20].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [21].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Robert Herbet    
mars 2001 2014 Claudine Carpentier[22]    
2014[23] En cours
(au 13 juillet 2020)
Pierre Robitaille   Vice-président de la CC Somme Sud-Ouest (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[24],[25]

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

Un parc éolien a été implanté à Caulières. Les travaux ont débuté en 2017. Son extension est engagée fin 2017 par la mise en place d'un financement participatif[26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 219 habitants[Note 3], en augmentation de 8,96 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
325304325334292304286291302
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
307301283251286286276267267
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
257247237197194201192141188
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
209214212177188186189205214
2014 2019 2021 - - - - - -
202219219------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La principale entreprise de la commune est le fabricant de remorques agricoles Dangreville. La commercialisation est effectuée localement, nationalement et au niveau international (Allemagne, Belgique, Angleterre, Russie…)[30].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Sainte-Marie-Madeleine-et-Saint-Saturnin[31],[32].
Le chœur a été construit en pierre au XVIe siècle, sur d'amples proportions. La nef, plus basse, a été reconstruite en 1766, en brique avec de rares insertions de pierre et de silex, en motifs décoratifs.
  • Monument aux morts, dont l'emplacement a été modifié récemment. À l'origine au milieu du cimetière, il se trouve désormais sur la petite place, derrière l'église.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Caulières Blason
D'argent à la bande de sable accompagnée de six merlettes du même ordonnées en orle[33].
Détails
Armes de la famille de Caulières.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • G. Beaurain (pour le chapitre consacré au canton de Poix), Société des antiquaires de Picardie, Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, t. III : Arrondissement d'Amiens : cantons d'Oisemont, Picquigny, Poix et Villers-Bocage, Amiens, Yvert & Tellier, , 721 p. (lire en ligne), p. 379-385, lire en ligne sur Gallica, réimpression : Éditions Culture et Civilisation, Bruxelles, 1979

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Trans80, Hauts-de-France »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur trans80.hautsdefrance.fr.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Caulières et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c d e et f Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, op. cit. en bibliographie.
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Archives départementales de la Somme, 3P1582/3
  17. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  18. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  19. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  20. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  21. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  22. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le Réveil du 27 mars 2008
  23. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  24. « À Caulières, des projets pour l’année », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Caulières 80290 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
  26. « Un projet d’extension bien lancé », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Monique Biéri, « L’entreprise familiale a su préserver ses valeurs : Depuis quatre générations, l’entreprise Dangreville, installée à Caulières, met son savoir-faire au service des agriculteurs, dans le respect des valeurs de son fondateur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Porte latérale de l'église de Caullières [Caulières], d'après nature, 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  32. Oswald Macqueron, « A) Piscine dans l'église de Caullières [Caulières], d'après nature, 1877 B) Caulières. Amiens - Imp. Yvert et Tellier », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  33. « 80179 Caulières (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).