Castéra-Bouzet

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Castéra-Bouzet
Castéra-Bouzet
Église Saint-Barthélemy à Castéra-Bouzet.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes de la Lomagne tarn-et-garonnaise
Maire
Mandat
Jean-Luc Colonna
2020-2026
Code postal 82120
Code commune 82034
Démographie
Population
municipale
114 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 6,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 00′ 05″ nord, 0° 55′ 12″ est
Altitude 217 m
Min. 95 m
Max. 215 m
Superficie 17,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Garonne-Lomagne-Brulhois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Castéra-Bouzet
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Castéra-Bouzet
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Castéra-Bouzet

Castéra-Bouzet est une commune française située dans l'ouest du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Ayroux, le ruisseau de Cameson, le ruisseau d'Asques, le ruisseau du Paradis et par divers autres petits cours d'eau.

Castéra-Bouzet est une commune rurale qui compte 114 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 570 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Castouzetois ou Castouzetoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Asques, Bardigues, Lavit, Mansonville, Puygaillard-de-Lomagne, Saint-Jean-du-Bouzet et Saint-Michel.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Castéra-Bouzet.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par l'Ayroux, le ruisseau de Cameson, le ruisseau d'Asques, le ruisseau du Paradis, la Hage, le ruisseau de Bernadous, le ruisseau de Perbende et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[3],[Carte 1].

L'Ayroux, d'une longueur totale de 26,1 km, prend sa source dans la commune de Montgaillard et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Espalais, après avoir traversé 10 communes[4].

Le ruisseau de Cameson, d'une longueur totale de 23,1 km, prend sa source dans la commune de Castéron et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ayroux à Saint-Michel, après avoir traversé 13 communes[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 742 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sérignac », sur la commune de Sérignac à 12 km à vol d'oiseau[8], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,9 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Castéra-Bouzet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[I 1],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,8 %), forêts (14,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Castéra-Bouzet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Ayroux et le ruisseau de Cameson. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[21]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2007[22],[19].

Castéra-Bouzet est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 3],[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Castéra-Bouzet.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 74 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 74 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1998, 2003 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].

En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre de sûreté de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 4]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d'iode[Note 5],[28],[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1808 1809 Gabriel Fontaine    
1809 1815 Guillaume Duffour    
1815 1817 Gabriel Fontaine    
1817 1823 Jean Antoine Duffis    
1823 1826 Antoine Duffis    
1826 1832 Guillaume Duffour Roch    
1832 1834 Jean Mathieu Tardin    
1834 1835 Pierre Cadeot    
1835 1854 Antoine Duffis    
octobre 1854 1854 Antoine Blanc    
1854 1869 Jean Duffis    
1869 1884 Prosper ou Pierre Duffour    
1884 1888 Jean Duffis    
1888 1890 Frédéric Duffis    
1890 1908 Hippolyte Lespiau    
1908 1935 Pierre Delassus    
1935 1945 Marius Maynard    
1945 1977 Osmin Serbat    
1977 2001 Marcel Truilhe    
mars 2001 En cours
(au 16 juillet 2014[30])
Jean-Luc Colonna    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 114 habitants[Note 6], en stagnation par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
510522528557570548529523505
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
465455443432434405400378348
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
364353330266269242230214198
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
212217189147153131118116115
2017 2021 - - - - - - -
109114-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 2,7 % 11,1 % 9,2 %
Département[I 5] 8,4 % 10,2 % 10,3 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 64 personnes, parmi lesquelles on compte 80 % d'actifs (70,8 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 20 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 7]. Elle compte 37 emplois en 2018, contre 39 en 2013 et 42 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 49, soit un indicateur de concentration d'emploi de 75,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,3 %[I 8].

Sur ces 49 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 49 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 69,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 30,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

11 établissements[Note 8] sont implantés à Castéra-Bouzet au [I 11]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 45,5 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 11 entreprises implantées à Castéra-Bouzet), contre 9,6 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans la Lomagne, une petite région agricole située dans le sud-ouest du département de Tarn-et-Garonne[35]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 36 25 21 21
SAU[Note 10] (ha) 1 356 1 659 1 272 1 473

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 36 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 25 en 2000 puis à 21 en 2010[37] et enfin à 21 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 42 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[38],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 356 ha en 1988 à 1 473 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 38 à 70 ha[37].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  4. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  5. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[36].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Castéra-Bouzet » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Castéra-Bouzet » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Castéra-Bouzet » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Castéra-Bouzet » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Castéra-Bouzet », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  4. Sandre, « l'Ayroux »
  5. Sandre, « le Ruisseau de Cameson »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Castéra-Bouzet et Sérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Sérignac », sur la commune de Sérignac - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Sérignac », sur la commune de Sérignac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Castéra-Bouzet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Castéra-Bouzet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Castéra-Bouzet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Castéra-Bouzet », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  23. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Castéra-Bouzet », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  28. EDF, « Plaquette « les bons réflexes en cas d’accident à la centrale nucléaire de Golfech. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur edf.fr (consulté le ).
  29. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  30. Tableau des électeurs pour les élections sénatoriales, Préfecture de Tarn-et-Garonne, 16 juillet 2014, [lire en ligne], p. 14.
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  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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