Féneyrols

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Féneyrols
Féneyrols
Château de Féneyrols.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron
Maire
Mandat
Christian Galland
2020-2026
Code postal 82140
Code commune 82061
Démographie
Gentilé Féneyrolais, Féneyrolaise
Population
municipale
151 hab. (2021 en diminution de 1,31 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 07′ 54″ nord, 1° 49′ 14″ est
Altitude Min. 114 m
Max. 422 m
Superficie 14,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quercy-Rouergue
Législatives Première circonscription
Localisation
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Féneyrols
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Féneyrols
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Féneyrols
Liens
Site web feneyrols.fr

Féneyrols est une commune française située dans l'est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan géologique, historique et culturel, la commune est dans le causse de Caylus, au sud du causse de Limogne, occupant une situation de carrefour à la limite du Quercy et du Rouergue.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Aveyron, le ruisseau de Bonnan, le ruisseau de Lauger et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou » et la « forêt de Grésigne et environs »), un espace protégé (le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Féneyrols est une commune rurale qui compte 151 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 794 habitants en 1856. Ses habitants sont appelés les Féneyrolais ou Féneyrolaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Féneyrols se trouve dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Elle est située sur les derniers contreforts sud-ouest du Massif central. Son bourg, rive droite, est dans le Rouergue, tandis que la rive gauche est en Albigeois. C'est une commune limitrophe du département du Tarn.

Elle se situe à 47,5 km de Montauban, préfecture du département, et à 19,8 km de Septfonds, bureau centralisateur du canton de Quercy-Rouergue dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie de la Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Milhars, Montrosier, Roussayrolles, Saint-Michel-de-Vax, Espinas, Saint-Antonin-Noble-Val, Varen et Verfeil.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Carte géologique de la commune de Féneyrols.
  • 7 : Quaternaire récent à actuel. Remplissage des dépressions karstiques (limons) et cailloutis des vallées sèches suspendues (cailloutis à matrice argilo-sableuse)
  • 9 : Alluvions fluviatiles actuelles et récentes d'âge compris entre 11430 - 0 BP : sables micacés, argiles tourbeuses et silteuses grises (Holocène)
  • 12 : Alluvions würmiennes des terrasses inférieures des rivières et alluvions anciennes des rivières : graviers, galets siliceux, limons, sables grisâtres à fines passées argileuses grises et jaunes (Pléistocène supérieur)
  • 68 : Schistes carton, marnes et calcaires à Hildoceras (Formation de Penne) surmontés par des marnes et argiles noirâtres (Formation de Lexos)(Toarcien inférieur à moyen)
  • 69 : Calcaires à pectens : calcaires bioclastiques gris et roux. Formation de la "barre à Pecten" (Pliensbachien supérieur)
  • 70 : Argilites et marnes grises à noires à Gryphaea cymbium. (Pliensbachien supérieur)
  • 71 : Calcaires gréseux et marno-calcaires à brachiopodes et ammonites (zones à Jamesoni et Davoei) (Pliensbachien inférieur)
  • 73 : Calcaires lithographiques à joints marneux (Sinémurien)
  • 74 : Calcaires cargneulisés à la base, calcaires micritiques à microrythmes, calcaires oolitiques et calcaires gréseux au sommet. (Sinémurien-Lotharingien)
  • 75 : Brèches, cargneules, calcaires dolomitiques vacuolaires, dolomies marneuses litées. (Hettangien supérieur)

Paysages[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Féneyrols.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par l'Aveyron, le ruisseau de Bonnan, le ruisseau de Lauger, le Rieu Sec, le ruisseau de Canténac, le ruisseau de Caumont, le ruisseau de Coudiés, le ruisseau de Fon Lades, le ruisseau de la Bayolle, le ruisseau de la Jordio, le ruisseau de la nauque, le ruisseau de Rieucord, le ruisseau de Roziés et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[3],[Carte 1].

L'Aveyron, d'une longueur totale de 291 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir traversé 60 communes[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 849 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-antonin-teus », sur la commune de Saint-Antonin-Noble-Val à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 872,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].

Un espace protégé est présent sur la commune : le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3 ha[14].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[16] :

  • Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[17]

et un au titre de la directive oiseaux[16] :

  • la « forêt de Grésigne et environs », d'une superficie de 27 701 ha, un site où onze espèces de l'annexe 1 se reproduisent régulièrement sur le site, parmi lesquelles sept espèces de rapaces (dont le Faucon pèlerin et le Grand-Duc d'Europe)[18].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[19] :

  • la « rivière Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[20] ;
  • la « vallée de Bonnan, forêt de Grézelles et vallon de Bayolle » (729 ha), couvrant 5 communes dont quatre dans le Tarn et une dans le Tarn-et-Garonne[21] ;
  • le « vallon et hauts de versant de Laussière » (334 ha), couvrant 3 communes dont deux dans le Tarn et une dans le Tarn-et-Garonne[22] ;

et trois ZNIEFF de type 2[Note 4],[19] :

  • la « forêt de Grésigne et environs » (18 733 ha), couvrant 21 communes dont 17 dans le Tarn et quatre dans le Tarn-et-Garonne[23] ;
  • la « vallée de l' Aveyron » (14 644 ha), couvrant 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[24] ;
  • la « vallée de la Bonnette et vallée de la Seye » (6 289 ha), couvrant 12 communes du département[25].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Féneyrols est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[26],[I 1],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (33,1 %), terres arables (10,5 %), prairies (7,6 %)[28],[Carte 2].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Cette commune est composée de trois villages (présence d'une église et non d'une chapelle) : Carrendier, Féneyrols et Quergoale, et d'une multitude de hameaux, Nazons, Lauzeral, Le Raoussou...

Logement[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par trois voies routières départementales orientées ouest-est : au nord, la D114 ; au sud, la D958, rive droite, voie historique et la D115, rive gauche, reprenant le tracé de l'ancienne voie ferrée, enfin la D102 relie la D958 à la D115 en traversant le bourg et l'Aveyron.

Les voies communales[modifier | modifier le code]

- N°1 de Carrendier à Féneyrols - N°1ter dit emb sur la Raoussou - N°3 de Quergoale à Saint Antonin - N°6 de l'église à Féneyrols

Les chemins ruraux[modifier | modifier le code]

- de Féneyrols à Déroucat (rive droite, le long de la rivière)
- de Féneyrols à Arnac
- de Féneyrols à Bateau
- de Coudiés à Féneyrols
- de Varen à Féneyrols
- de Saint Antonin à Arnac
- d'Arnac à Vinayre
- de Quergoale à Coudiés
- de Quergoale à l'Espinasse
- de Raoussou à Favars et à Reygade
- de Raoussou à Coudiès
- des Amouroux à Féneyrols
- de Carrendier à Liversenc
- de Carrendier à Jammou
- de Carrendier à Féneyrols
- de Carrendier à Arnac, Varen et Verfeil
- de Cadourel à Carrendier
- de Nazons à Carrendier
- de Garrigues
- de Roulié à Rieucourd
- de Lauzeral à Favars

- N°1 de sol priou à Féneyrols
- N°2 de Raoussou
- N°5 de Féneyrols à Grezels-bas
- N°6 de Saint Antonin à Féneyrols
- N°7
- N°8 de Quergoale al Mouly del Rey

- dit de Bateau - dit de Blanqui - dit Boudet - dit de Canabal - dit de Cantelause - dit du château de Villette - dit de Combes - dit des Combes hautes - dit de Cordes - dit de Coudiès - dit de Coustaloux - dit de Falguières - dit de Gorse - dit du Goutal - dit de la Jouanade - dit de Lauzeral - dit de Margot - dit de Montatech - dit de Négo Porc - dit du Pech - dit de Pech des Mas - dit de Prat Pernou - dit de Raoussou - dit de Rieucord - dit de Roumégouse - dit de Ségalar.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Féneyrols est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aveyron. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[31]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2003 et 2021[32],[29].

Féneyrols est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire . Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6],[33].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Féneyrols.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[34].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 87,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 177 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 173 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[29].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].

La commune est en outre située en aval des barrages de Pareloup, de Pont-de-Salars et de Saint-Géraud, des ouvrages de classe A[Note 7] disposant d'une retenue de respectivement 169, 21 et 15 millions de mètres cubes[39],[40],[41]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[42].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune prend son nom de l'ancien français fenil signifiant foin, ou fenal signifiant faneur, donnant dans le Midi le diminutif fenayrol ou fenayroux.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Un site d'habitat de l'époque celtique est attesté entre le village et l'église.

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

En 818, l'église Sainte Marie de Quergoale est attaché à l'abbaye de Saint-Antonin.

Le lieu de Féneyrols est attesté dès 1259[43].

En 1281, la baronnie de Féneyrols est attribuée par le roi Philippe le Hardi à Géraud IV de Cazaubon, avec droits de pesade[44] ainsi que droit de haute et basse justice[45].

En 1282, la comtesse Anne de Cazaubon épouse Ratier II de Castelnau des Vaux, et lui apporte en dot la baronnie de Milhars.

Le 12 mars 1295, Géraud de Cazaubon mourut sans enfant, et sa succession échut à Raymond de Castelnau, petit-fils de Anne de Cazaubon.

Le 28 mai 1313, Raymond de Castelnau transige avec les consuls de Saint-Antonin, et établit de concert avec eux les limites des lieux de Carrendier, Cargoale et Fénayrols

En 1335, Hélipx de Castelnau, fille de Raymond de Castelnau et de Germaine de Fontanes épouse Guillalmon de Lafon et lui apporte en dot les terres de Cargoale et de Féneyrols, en paréage avec sa sœur Héléne.

En 1337, Hélène de Castelnau des Vaux dite La dame de Milhars, fille ainée de Raymond de Castelnau et de Germaine de Fontanes, épouse Arnaud IV de Bérail.

Durant la guerre de Cent Ans, Féneyrols est occupée par les Anglais de 1352 à 1354 puis en décembre 1358 et libérée en février 1359 par les Saint-Antoninois.

Le 28 mai 1359, les familles de Bérail et de Lafon transige la seigneurie de Féneyrols. La famille de Lafon gérera Féneyrols jusqu’en 1763.

En 1362, Jean I de Lafon, fils de Guillalmon, épouse Anne de Rabastens. Le 12 décembre, Fénayrols tombe au pouvoir des Anglais, pour trois mois seulement.

Jean II, Ratier, Olivier, Pons et Arnaud de Lafon se succèdent.

En 1450, Jean de Bérail, co-seigneur de Féneyrols et Quergoals décède sans postérité et lègue à Raymond de Cazillac, parent du côté maternel, son nom et ses armes [46]

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Fin XVIIe, Marie-Renée le Genevois, petite-fille de François II de Cazillac rachète la baronnie de Cazillac, qu'elle léguera à sa mort en 1721 à sa nièce Marie-Jeanne Voisin épouse de Chrétien François de Lamoignon de Basville, président du Parlement de Paris.

En 1766, Marie-Anne de Foucaud-Villars, veuve de Rey de Saint-Gery achète 360 000 livres à monsieur de Lamoignon, les terres et rentes d'une partie de Féneyrols, qu'elle revend un an plus tard à Antoine de Rous.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Féneyrols a disposé d'une gare, toujours visible[47], sur la ligne de Lexos à Montauban-Ville-Bourbon fermée en 1955 puis déferrée.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Élections municipales[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[48]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1842 1848 Joseph Palaprat    
1848 1852 Jean Bes    
1852 1858 Joseph Palaprat    
1858 1879 Jacques-Émile Rous    
1879 1884 Jean-Pierre Malroux    
1884 1887 Jacques-Émile Rous    
1887 1919 Germain Rous    
novembre 1919 1925 Victor Cézerac    
mai 1925 1953 Émile Rous de Feneyrols    
avril 1953 1965 Gaston Rivière    
mars 1965 1971 Gervais Laurent    
mars 1971 2004 Denis Denayrolles    
mars 2004 2020 Brigitte Audouard    
mars 2020 En cours Christian Galland    

Finances communales[modifier | modifier le code]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

Jumelage[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

En 2021, la commune comptait 151 habitants[Note 8], en diminution de 1,31 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
560601758759792773741734743
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
794755725685648653656627620
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
580569528442395375355342294
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
238185176136141166174175159
2017 2021 - - - - - - -
147151-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Vie associative[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 14,5 % 7,4 % 23,9 %
Département[I 5] 8,4 % 10,2 % 10,3 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 86 personnes, parmi lesquelles on compte 68,2 % d'actifs (44,3 % ayant un emploi et 23,9 % de chômeurs) et 31,8 % d'inactifs[Note 9],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 7]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 42 en 2013 et 51 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 39, soit un indicateur de concentration d'emploi de 101,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,2 %[I 8].

Sur ces 39 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 72,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 17,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

13 établissements[Note 10] sont implantés à Féneyrols au [I 11]. Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,1 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 13 entreprises implantées à Féneyrols), contre 9,3 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les Causses du Quercy, une petite région agricole située dans l'est du département de Tarn-et-Garonne[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 16 18 13 13
SAU[Note 12] (ha) 539 742 699 588

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 16 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 18 en 2000 puis à 13 en 2010[55] et enfin à 13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 19 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[56],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 539 ha en 1988 à 588 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 45 ha[55].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Fénayrols, seigneurs et consuls, par M. l'abbé Firmin Galabert 1894.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[38].
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[54].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Féneyrols » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Féneyrols » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Féneyrols » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Féneyrols » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Féneyrols », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  4. Sandre, « l'Aveyron (affluent du Tarn) »
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Féneyrols et Saint-Antonin-Noble-Val », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « St-antonin-teus », sur la commune de Saint-Antonin-Noble-Val - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « St-antonin-teus », sur la commune de Saint-Antonin-Noble-Val - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. « Les différents espaces protégés. », sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
  13. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  16. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Féneyrols », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « site Natura 2000 FR7301631 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « site Natura 2000 FR7312011 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Féneyrols », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  21. « ZNIEFF la « vallée de Bonnan, forêt de Grézelles et vallon de Bayolle » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « ZNIEFF le « vallon et hauts de versant de Laussière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF la « forêt de Grésigne et environs » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  55. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Féneyrols - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  57. « Château », notice no PA00095748, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. « Calvaire », notice no IA00065443, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. Dossier d’inventaire fondamental établi en 1979, 1989 par BONGIU AUREL, UFFLER ANNE MARIE
  60. a et b « Église paroissiale Saint-Julien », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).