Caraman

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Caraman
Caraman
Vue du nord.
Blason de Caraman
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Terres du Lauragais
Maire
Mandat
Jean Clément Cassan
2020-2026
Code postal 31460
Code commune 31106
Démographie
Gentilé Caramanais, Caramanaises
Population
municipale
2 506 hab. (2021 en augmentation de 2,58 % par rapport à 2015)
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 31′ 52″ nord, 1° 45′ 30″ est
Altitude Min. 175 m
Max. 294 m
Superficie 30,19 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Caraman
(ville isolée)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Revel
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Caraman
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Caraman
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Caraman
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Caraman
Liens
Site web Site officiel

Caraman (en occitan : Caramanh) est une commune française du Sud-Ouest de la France, située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne, en région d'Occitanie, historiquement en Languedoc. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ».

Exposée à un climat océanique dégradé à influence méditerranéenne, elle est drainée par la Saune, la Seillonne, le Dagour, le ruisseau de Dourdou, le ruisseau de Gouffrense et par divers autres petits cours d'eau.

Caraman est une commune rurale qui compte 2 506 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Caraman et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Caramanais ou Caramanaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'hôtel de Malbos, inscrit en 1992, et le château du Croisillat, inscrit en 1995.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Caraman se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Sur le plan historique et culturel, Caraman fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au sud-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »[1].

Elle se situe à 27 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 21 km de Revel[3], bureau centralisateur du canton de Revel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Caraman[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Mascarville (2,7 km), Albiac (3,1 km), La Salvetat-Lauragais (3,4 km), Maureville (4,6 km), Ségreville (4,6 km), Prunet (4,8 km), Loubens-Lauragais (5,4 km), Cambiac (5,4 km).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Caraman est limitrophe de douze autres communes.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 3 019 hectares ; son altitude varie de 175 à 294 mètres[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Caraman.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Saune, la Seillonne, le Dagour, le ruisseau de Dourdou, le ruisseau de Gouffrense, la Garrigue, le ruisseau de Borde, le ruisseau de Dagaus, le ruisseau de Fillandres, le ruisseau de Latarge, le ruisseau d'en Danis, le ruisseau d'en Serny et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 40 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La Saune, d'une longueur totale de 31,8 km, prend sa source dans la commune de Vaux et s'écoule vers le sud-est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Toulouse, après avoir traversé 18 communes[9].

La Seillonne, d'une longueur totale de 24,1 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Sausse à L'Union, après avoir traversé 11 communes[10].

Le Dagour, d'une longueur totale de 10,2 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Girou à Verfeil, après avoir traversé 6 communes[11].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 829 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ségreville à 5 km à vol d'oiseau[14], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18],[19],[20].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Caraman est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[21],[I 2],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Caraman, une unité urbaine monocommunale[I 3] de 2 506 habitants en 2021, constituant une ville isolée[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,9 %), zones agricoles hétérogènes (11,7 %), zones urbanisées (4 %), forêts (0,4 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne 356 du réseau Arc-en-Ciel en direction de l'agglomération toulousaine et de la gare routière de Toulouse.

Caraman se trouve sur la route départementale 1 et est accessible par l'autoroute des Deux Mers (A61), sortie Sortie 20.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Caraman est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Seillonne et le Dagour. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1996, 1999 et 2009[26],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Caraman.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 018 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 008 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2002, 2003, 2011, 2012 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Cara signifie la face ou le visage tandis que man signifie main. Le visage et la main sont présents sur le blason de Caraman.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les vestiges d'une dizaine de villas datant du Ier siècle av. J.-C. attestent de la présence des Romains à cet endroit.

En 1005, il est attesté que les seigneurs Donat de Caraman contrôlent le territoire dont fait partie Caraman, et ce jusqu'aux murs de Toulouse. L'importance des lieux grandit grâce aux revenus tirés des droits de péage prélevés sur la route du sel reliant Béziers à Toulouse et la spiritualité s'y ancre: des figures phares de l'époque vinrent y prêcher, Bernard de Clairvaux en 1147, et Dominique de Guzmán en 1206 alors que s'y installe l'hérésie cathare. Raymond VII de Toulouse qui soutient l'hérésie, achète en 1246 une moitié du château de Caraman. Le bourg devient chef-lieu de bailli, donc partie du domaine royal à partir de 1271.

On le retrouve érigé en vicomté de la famille de Lautrec puis de la famille Duèze, Charles VIII l'érige en comté pour Jean de Foix-Carmaing (†1511), 1er comte de Carmaing, en 1483. C'est de 1460 à 1562 que Caraman connaît l'âge d'or du pastel qui fait la fortune du Lauragais. La ville devient capitale du pays de cocagne (la cocagne désigant les boules de pastel séchées pour le transport).

En 1568, subissant les guerres de Religion, Caraman est incendiée par les Réformés qui prennent la ville en 1570, puis détruite par Henri de Navarre en 1579. Reprise par les troupes de Louis XIII en 1622, le comté est vendu en 1670 au créateur du canal du Midi, Pierre-Paul Riquet. Son temple fut détruit en 1682 sur ordre de Louis XIV.

En août 1799, les royalistes s’en emparent dans leur tentative de prendre Toulouse.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Caraman Blason
Coupé : au 1er d'or au visage de carnation, au 2e d'azur à la main dextre appaumée d'argent posée en pal.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de dix neuf[29],[30].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Commune faisait partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne jusqu'en 2012 puis de la dixième circonscription de la Haute-Garonne ainsi que de la communauté de communes des Terres du Lauragais et du canton de Revel (avant le redécoupage départemental de 2014, Caraman était le chef-lieu de l'ex-canton de Caraman) et avant le 1er janvier 2017 elle faisait partie de la communauté de communes Cœur Lauragais.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Isidore Sirven   Restaurateur

(décès)
Xavier de Woillemont RGR Colonel
Conseiller général de Caraman (1951 → 1967)
Eugène Boyer SFIO
puis PS
Vétérinaire
Sénateur de la Haute-Garonne (1988 → 1989)
Conseiller général de Caraman (1967 → 1994)
Conseiller régional de Midi-Pyrénées (1978 → 1988)

(décès)
Marie-Denise Xerri[31],[32] UDF-FD
puis UMP
Professeure de collège puis conseillère à l'inspection académique
Suppléante du député Jean-Pierre Bastiani (1993 → 1997)
[33] En cours Jean-Clément Cassan DVD Chirurgien-dentiste, ancien premier adjoint
Réélu pour le mandat 2020-2026

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Présidentielle[modifier | modifier le code]

En 1995, au premier tour Lionel Jospin arrive en tête avec 40,45 % des suffrages, arrive ensuite Jacques Chirac (16,22 %), Edouard Balladur (14,72 %), Jean-Marie Le Pen (10,88 %), Robert Hue (5,97 %) et Arlette Laguiller (4,95 %), aucun candidat ne dépasse ensuite les 4 %. Au second tour, contrairement au vote national, Lionel Jospin arrive en tête avec 61,16 % des suffrages contre 38,84 % pour Jacques Chirac.

En 2002, au premier tour Lionel Jospin arrive en première position avec 23,90 % des votes, en seconde position c'est Jean-Marie Le Pen avec 17,59 % puis Jacques Chirac 14,5% et Jean-Pierre Chevenement 16,18% en 3e position, Arlette Laguiller 7,30 % et Jean Saint-Josse 5,64 %. Au second tour, Jacques Chirac obtient 81,46 % et Jean-Marie le Pen 18,54 %

En 2007, au premier tour Ségolène Royal obtient 30,84 % des votes, Nicolas Sarkozy obtient lui 27,73 %, François Bayrou 17,87 % et Jean-Marie Le Pen 9,86 %. Au second tour, Ségolène Royal obtient 53,32 % des suffrages, Nicolas Sarkozy 46,68 %.

En 2012, au premier tour François Hollande obtient 34,44 %, Nicolas Sarkozy 23,12 %, Jean-Luc Mélenchon 15,91 %, Marine Le Pen 10,91 %. Au second tour, François Hollande obtient 62,54 % et Nicolas Sarkozy 37,46 %.

En 2017, au premier tour Marine Le Pen arrive en tête avec 23,79 %, Emmanuel Macron arrive deuxième avec 22,6 %, Jean-Luc Mélenchon arrive en 3e position avec 21,85 %, puis François Fillon avec 14,65 %, Benoît Hamon avec 6,57 % et Nicolas Dupont-Aignan avec 4,7 %. Au second tour, c'est Emmanuel Macron qui l'emporte avec 60,21 % des suffrages contre 39,79 % pour Marine Le Pen.

Législatives[modifier | modifier le code]

En 2002, Patrick Lemasle (PS) obtient 35,43 % des votes, Jean-Pierre Bastiani (UMP) quant à lui en obtient 34,63 %, tandis que la candidate du FN Françoise Moreau obtient 11,34 %. Au second tour, Patrick Lemasle est vainqueur avec 53,32 %. contre 46,68 % pour Jean-Pierre Bastiani.

En 2007, Patrick Lemasle (PS) obtient 35,97 % des votes, Jean-Pierre Bastiani (UMP) quant à lui en obtient 34,61 %. Éric Gautier le candidat du MoDem 7,06 %, tandis que le candidat FN Armand Delamare obtient 4,59 %. Au second tour, Patrick Lemasle et Jean-Pierre Bastiani sont à égalité parfaite avec vainqueur 46,42 %.

En 2012, au premier tour Gilbert Hébrard (DVG) obtient 46,74 % des votes, en seconde position Dominique Faure (PR-UMP) 20,53 %, tandis que Kader Arif (PS) n'obtient que 11,02 %, Marie Lopau du Front National obtient 10,06 % des votes et Christian Picquet du Front de Gauche 4,1 %. Au second tour, Dominique Faure est vainqueur avec 51,33 % contre 48,67 % pour Kader Arif

En 2017, c'est Sébastien Nadot (MUP) qui arrive en tête avec 34,99 %, suivi de Matthieu Lachuries pour le FN avec 14,78 %, Monique Fabre pour la France Insoumise avec 10,92 %, et Dominique Faure (UDI) avec 10,96 %, Arnaud Lafon (LR) avec 8,74 %, vient ensuite le député sortant Kader Arif (PS) avec 5,34 %.

Au second tour, Sébastien Nadot est élu, il obtient 55,4 % contre 44,6 % pour Monique Fabre.

Européenne[modifier | modifier le code]

Cantonales[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 2 506 habitants[Note 4], en augmentation de 2,58 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2962 3692 2782 3892 2802 5322 5722 7082 645
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 5502 5772 2772 3032 1831 9951 9601 9131 818
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7681 6971 7271 5081 5731 5391 5431 3951 426
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 5281 7171 6211 6421 7651 9442 2302 3522 490
2021 - - - - - - - -
2 506--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[38] 1975[38] 1982[38] 1990[38] 1999[38] 2006[39] 2009[40] 2013[41]
Rang de la commune dans le département 43 57 70 80 80 86 87 90
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement[modifier | modifier le code]

Caraman est située dans l'académie de Toulouse.

Caraman possède : une crèche « Le jardin des malices », une école maternelle du Petit Bois, une école élémentaire Pierre-Paul-Riquet et un collège François-Mitterrand.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Les Fêtes de Caraman[modifier | modifier le code]

Chaque année, les fêtes de Caraman se déroulent autour du weekeed du 15 Aout durant 5 jours. De nombreuses animations sont proposées (Feux d'artifice, concerts, bandas, courses landaises, manèges, ...)

Salon Caramanga[modifier | modifier le code]

Né en 2016, Caramanga est le premier salon "GEEK" du Lauragais réunissant au mois de Mars des passionnés de Manga, BD, COMICS, COSPLAY et Jeux Vidéos. Salon organisé par l'association Caramanga qui propose durant deux jours de nombreux stands et animations. Chaque année, de nombreuses personnalités sont invités au salon comme: Brigitte Lecordier, Philippe Ariotti, Lilly Caruso, Patrick Borg et Yohan Borg.

Spéctacles et Théatres[modifier | modifier le code]

Le centre culturel Antoine-de-Saint Exupéry accueille chaque mois des représentations théâtrale, comique, mais aussi des cabarets.

De nombreuses personnalités se sont présentés sur la scene caramanaise comme Olivier de Benoist, Gérémy Crédeville, Anne Roumanoff, Vincent Moscato, Laura Laune, Elodie Poux, Jean-Pierre Castaldi, Nadau et bien d'autres

Activité musicale[modifier | modifier le code]

école de musique (solfège inclus) et une chorale.

Marché[modifier | modifier le code]

Marché du village tous les jeudis matin, et l'hiver un marché de Noël est ouvert.

Santé[modifier | modifier le code]

Caraman possède plusieurs cabinets médicaux et para-médicaux, ainsi que plusieurs pharmacies[42].

Sports[modifier | modifier le code]

Rugby[modifier | modifier le code]

Crée en 1969, la Jeunesse sportive caramanaise (JSC) évolue en Régionale 1 depuis la saison 2023/2024.

La JSC est affiliée à la Fédération française de rugby.

Le club possède deux équipes séniors composées de 60 licenciés et une école de rugby en entente avec le Football Club villefranchois et Villenouvelle

le 26/06/2022, la JSC est rentrée dans la cour des grands d'ovalie en décrochant au Stade de l'Aiguille de Limoux devant 3000 personnes le titre suprême de Champion de France de 2e série face à Millas.

Lors de la saison 2021/2022, Les joueurs de la Jeunesse sportive caramanaise (90% des joueurs issus du canton de Caraman) ont signé un triplé historique en décrochant trois titres majeurs de 2e série (Champion du Terroir de Haute-Garonne, Champion d'Occitanie et Champion de France de 2e série).

Basket-ball[modifier | modifier le code]

Équipe de Caraman de basket en 1956.

Le Caraman Basket Club, à par le passé (entre 1952 et 1958), évolué durant cinq ans en première division du championnat de France de basket-ball comptant dans ses rangs plusieurs internationaux français dont Louis Bertorelle. Aujourd’hui l'Equipe senior masculine 1 évoluant en Régionale 1 après une rétrogradation en Pré-Nationale.

l'Equipe senior féminine 1 quant à elle évolue toujours en Pré-Nationale pour la saison 2017-2018. Par le passé (entre 1952 et 1958), la Jeunesse sportive caramanaise a évolué durant cinq ans en première division du championnat de France de basket-ball comptant dans ses rangs plusieurs internationaux français dont Louis Bertorelle.

Autres associations sportives[modifier | modifier le code]

Tennis: Caraman Tennis Club crée en 1972; karaté: Karate Club Caramanais (karaté et karaté contact); Boxe: Savate Caramanaise; Gymnastique Les Zebulons - Club de Gymnastique; volley-ball; pêche à la ligne, Chasse, randonnée, danse, de hip-hop, La Boule Caramanaise - Petanque, ...

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Cœur Lauragais[43].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 074 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 2 588 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 410 [I 8] (23 140  dans le département[I 9]). 48 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 6] (55,3 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 10] 6,4 % 5,8 % 7,4 %
Département[I 11] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 559 personnes, parmi lesquelles on compte 79,8 % d'actifs (72,4 % ayant un emploi et 7,4 % de chômeurs) et 20,2 % d'inactifs[Note 7],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 743 emplois en 2018, contre 690 en 2013 et 710 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 151, soit un indicateur de concentration d'emploi de 64,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 63,6 %[I 14].

Sur ces 1 151 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 300 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 86,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3 % les transports en commun, 6,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

251 établissements[Note 8] sont implantés à Caraman au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 17].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 251 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
16 6,4 % (5,7 %)
Construction 35 13,9 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
58 23,1 % (25,9 %)
Information et communication 12 4,8 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 7 2,8 % (3,8 %)
Activités immobilières 13 5,2 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
39 15,5 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
49 19,5 % (16,6 %)
Autres activités de services 22 8,8 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,1 % du nombre total d'établissements de la commune (58 sur les 251 entreprises implantées à Caraman), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[44] :

  • Igrec, activités des agences de recouvrement de factures et des sociétés d'information financière sur la clientèle (3 513 k€)
  • SARL Ambulances Du Lauragais, ambulances (1 390 k€)
  • Salvy, fabrication de meubles de cuisine (587 k€)
  • Toulouvin, commerce de détail de boissons en magasin spécialisé (566 k€)
  • GPA, travaux d'installation électrique dans tous locaux (235 k€)

L'agriculture basée sur la culture de céréales (tournesol, blé…) y tient une place importante.

Le commerces et artisans y sont bien représentés : garagistes, fleuriste, supermarchés, restaurants, etc., ainsi que de nombreux corps de métiers.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[45]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 65 39 42 30
SAU[Note 11] (ha) 2 333 2 599 2 707 2 299

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 65 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 39 en 2000 puis à 42 en 2010[47] et enfin à 30 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[48],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 333 ha en 1988 à 2 299 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 36 à 77 ha[47].

Projet de centrale solaire[modifier | modifier le code]

En 2021, est lancé le projet de centrale solaire au niveau du stade Roger Bourgarel[49]. Le chantier est finalement construit au printemps 2023 et prévoit d'installer 8 100 m2 d'ombrières photovoltaiques qui permettront d'assurer l'alimentation en électricité à 1 700 habitants, soit près de 70 % de la population de la ville[50].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Pays de Cocagne[modifier | modifier le code]

Le XVIe siècle a fait de Caraman la capitale du pays de Cocagne au centre du "triangle Bleu" constitué par Albi, Toulouse et Carcassonne. A cette période, la cité connait l'âge d'or du Pastel.

Gastronomie[modifier | modifier le code]

Le Cassoulet: plat traditionnel du Lauragais

Les Curbelets

Langue occitane[modifier | modifier le code]

L'occitan languedocien est la langue vernaculaire du Lauragais. C'était la langue principale jusqu'à la première moitié du XXe siècle.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le Patrimoine des Communes de la Haute-Garonne. Flohic Editions, volume 1, Paris 2000, (ISBN 2-84234-081-7), p. 452–461.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Caraman » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Caraman » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Caraman » (consulté le ).
  4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Caraman » (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  10. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Caraman » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Caraman » (consulté le ).
  15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Caraman » (consulté le ).
  18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 327-328.
  2. Stephan Georg, « Distance entre Caraman et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Caraman et Revel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Caraman », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Caraman », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. Sandre, « la Saune »
  10. Sandre, « la Seillonne »
  11. Sandre, « le Dagour »
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  14. « Orthodromie entre Caraman et Ségreville », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  16. « Station Météo-France « Ségreville » (commune de Ségreville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Caraman », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Caraman », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des espaces protégés sur la commune de Caraman », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  30. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Le décès de Marie-Denise Xerri maire de Caraman », La Dépêche,‎ (lire en ligne).
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  38. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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  44. « Entreprises à Caraman », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  45. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  46. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  47. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Caraman - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  48. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de la Haute-Garonne » (consulté le ).
  49. « Caraman. La centrale photovoltaïque au programme du conseil », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  50. « Centrale photovoltaïque au stade de Caraman : combien ça va rapporter à la commune ? », sur actu.fr, (consulté le ).
  51. Christian de Seauve, Caraman 1581-1858 : Chronique d’une maison l’hôtel de Malbos, son environnement catholique et protestant, Caraman, Les collectionneurs amateurs, .
  52. Source : 2 familles du pays vaurais à l'âge d'or du pastel : les Trantoul et les Delmas par Jean-François Delmas publié dans la revue du Tarn N°210