Brochon

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Brochon
Brochon
Le château de Brochon, représenté sur le papier à lettres de Stéphen Liégeard.
Blason de Brochon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Beaune
Intercommunalité CC de Gevrey-Chambertin et de Nuits-Saint-Georges
Maire
Mandat
Dominique Dupont
2020-2026
Code postal 21220
Code commune 21110
Démographie
Gentilé Brochonnais
Population
municipale
657 hab. (2021 en diminution de 3,95 % par rapport à 2015)
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 14′ 23″ nord, 4° 58′ 18″ est
Altitude Min. 228 m
Max. 546 m
Superficie 7,46 km2
Unité urbaine Gevrey-Chambertin
(banlieue)
Aire d'attraction Dijon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Longvic
Législatives 5e circonscription de la zone Côtes-d'Or
Localisation
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Brochon
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Brochon
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Brochon
Liens
Site web https://www.brochon.fr/

Brochon est une commune viticole française située dans le département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Ce village touristique et viticole, situé sur la route des Grands Crus le long de la côte de Nuits jouit d'une réputation mondiale de prestige grâce à ses vins de Bourgogne dont le plus célèbre Gevrey-Chambertin Les Evocelles.

Les habitants de Brochon se nomment les Brochonnais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Cette commune est située sur la Côte de Nuits et est desservie par l'ancienne route nationale 74 (actuelle RD 974) et la départementale 122 dite la route des Grands Crus.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Fixin, Chambœuf, Fénay, Gevrey-Chambertin, Valforêt et Clémencey.

Rose des vents Valforêt Fixin Rose des vents
Chambœuf N Fénay
O    Brochon    E
S
Gevrey-Chambertin

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 801 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marsannay la Cote », sur la commune de Marsannay-la-Côte à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 803,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

La côte et les combes sont classés dans la Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de la Côte dijonnaise et font partie du site Natura 2000 de l'Arrière côte de Dijon et de Beaune.

Les friches et la Combe de Brochon font partie de la réserve naturelle de la Combe Lavaux, classée au niveau national. Créée en 2004, c'est la première réserve naturelle de la Côte-d'Or.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Brochon est une commune urbaine[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gevrey-Chambertin, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[11] et 4 486 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dijon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 333 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45 %), terres arables (19,8 %), cultures permanentes (14,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %), zones urbanisées (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 342, alors qu'il était de 308 en 2015 et de 279 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 84,2 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 12,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 83,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 15,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Brochon en 2020 en comparaison avec celle de la Côte-d'Or et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,2 %) inférieure à celle du département (5,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (70,9 % en 2015), contre 59,9 % pour la Côte-d'Or et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Brochon en 2020.
Typologie Brochon[I 1] Côte-d'Or[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 84,2 85,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,2 5,6 9,7
Logements vacants (en %) 12,7 8,5 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme de Brochon tire son origine de la Villa Briscona (878). On trouve dans des écrits de 1190 le nom de Brochun avant que ne s'impose la forme définitive de Brochon (1550)[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Une nécropole mérovingienne découverte au XIXe siècle au Clos Dubard et au Pré Maley sur l'emplacement d'un cimetière gallo-romain, témoigne d'une présence humaine ancienne sur le territoire de Brochon[17].

Brochon apparaît dans les chartes en 878 et vers 890 "in villa Briscona", dans le cadre d'échange de biens liés à l'évêché de Langres puis à l'abbaye de Bèze[17].

Un hôpital -Maison-Dieu ou hospice- aurait été fondé sous Charlemagne[18], tenu par des moines hospitaliers, et placés sous la protection du pae en 1200. En 1300, cet hôpital est uni à l'abbaye saint Etienne de Dijon. Elle disparait progressivement entre le XIVe et le XVe siècle, faute des guerres et de malversations. Elle semble ruinée et déserte vers 1650[17].

Au Moyen Âge, le village est placé sous l'autorité de plusieurs seigneurs et ordres religieux successifs, dont le chapitre de la cathédrale de Langres, les familles Lamarche, Vienne, Saulx-Tavannnes, Vergy, et les religieux des Chartreux, ce qui conduisit à la remise d'une seigneurie partielle de Brochon à la Chartreuse de Champmol créée par le duc de Bourgogne Philippe le Hardi[17].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Brochon subit plusieurs ravages et incendies entre la fin du XVIe et le début du XVIIe siècles, notamment les Croates de Gallas[17].

La culture de la vigne continue de se développer au XVIIe siècle, en dépit d'années désastreuses (grêle de 1704, famine de 1709)[17].

Lors de la Révolution française, les seigneuries sont celles de l'abbaye saint Etienne de Dijon, des Chartreux et de manière plus restreinte de l'abbaye de Cîteaux[17].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

L'église ayant été relativement préservée pendant la Terreur, l'abbé Pinot sera nommé à Brochon de 1802 à 1832, y étant très actif, et dont la mémoire resta longtemps vive[19].

Le château de Brochon de style néo-Renaissance est construit par la famille Liégeard entre 1896 et 1902[20].

Dans la deuxième moitié du XXe siècle, la religieuse franciscaine sœur Claire installe une communauté religieuse en fondant la maison Saint-François et en y créant par la suite un foyer pour personnes âgées, nommé la Croix-Violette[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Dijon du département de la Côte-d'Or.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Gevrey-Chambertin[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Longvic

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Côte-d'Or.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Brochon était membre de la communauté de communes de Gevrey-Chambertin, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes de Gevrey-Chambertin et de Nuits-Saint-Georges, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1959 1977 Paul Fournier   Officier en retraite
mars 1977 2001 Robert Jeannin[24]   Fonctionnaire aux PTT
mars 2001 mars 2008 Jean-Claude Bouchard   Chef d'entreprise
Vice-président de la CC de Gevrey-Chambertin[Quand ?]
mars 2008 mars 2019[25] Claude Rémy   Démissionne en mars 2019 puis redevient conseiller municipal
mai 2019[26] En cours
(au 31 août 2023)
Dominique Dupont   conducteur de bus Transco
Réélu pour le mandat 2020-2026[27]

Jumelage[modifier | modifier le code]

Drapeau de l'Allemagne Weinolsheim (Allemagne) depuis 1972[28],[29]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Vue panoramique du lycée.

Santé et solidarité[modifier | modifier le code]

La maison de retraite La Croix-Violette, créée en 1981 à l'initiative notamment de sœur Claire, supérieure de la Fraternité et du maire de l'époque Robert Jeannin, accueille les personnes âgées de la Côte[32].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 657 habitants[Note 3], en diminution de 3,95 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
417412418419444433432444461
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
436454444404418455436437448
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
401394375323326316307349392
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
442550633609591691659644678
2018 2021 - - - - - - -
625657-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'éolienne, parfois appelée « le moulin », a été construite juste avant 1900 par Stéphen Liégeard pour permettre l'alimentation en eau courante du château. Elle surmonte un réservoir sur lequel, selon certains dires, on pouvait autrefois circuler en barque.
    Il s'agit d'une Éolienne Bollée (type 1) inventée par le Sarthois Ernest-Sylvain Bollée (1814-1891), qui servait au pompage de l'eau. Ces machines sont produites en France de 1872 à 1933, à environ 350 exemplaires, qui sont installés principalement en France, dans quarante-quatre départements. Environ 80 sont encore visibles. Ernest Sylvain Bollée a utilisé le mot « éolienne » pour la première fois (1885) comme nom commun et non plus comme un adjectif (énergie éolienne). Le mot se retrouve dans le Larousse quelques années plus tard en 1907. L'éolienne de Brochon est inscrite à l'inventaire des Monuments historiques depuis 1984[37].
  • Les inscriptions : certaines maisons du village[38] portent de curieuses inscriptions : « Memento Mori », « plus de bien que de vie »...
  • L'église Saint-Symphorien : construite au XIe siècle sur les bases de la chapelle primitive Sainte-Trinité, il ne reste de l'édifice roman que la base du clocher voûtée d'arêtes. Le chœur avec ses deux travées date du XVe siècle. Des restaurations ont eu lieu aux XIVe et XVIIe siècles. Quant à la partie supérieure du clocher, elle est du XVIIIe siècle.

Vignoble et gastronomie[modifier | modifier le code]

Le vignoble de Brochon est un des plus prestigieux de Bourgogne, entre Fixin et Gevrey-Chambertin ses vignes sont divisées en trois au sud avec 51 hectares dans l'appellation AOC Gevrey-Chambertin, au nord avec 42 hectares dans l'appellation AOC Côte de Nuits Villages sans oublier le 1er Crus Clos de la Perriére 1hectare environ en appellation Fixin sur la commune de Brochon, et enfin dans le bas du village se trouvent les appellations régionale Bourgogne blanc ou rouge au-dessus de la route nationale.

Gevrey-Chambertin le nom Brochon le Bon.

  • Gevrey-Chambertin Les Evocelles,
  • Gevrey-Chambertin : Meix Bas, Champ,les journaux
  • Côte de Nuits Villages vignes Marie, Queue de Hareng
  • Côte de Nuits Villages La Croix Violette,Les Créoles la perriere
  • Bourgogne Blanc
  • Bourgogne Rouge Moutier

Le vignoble de la commune de Brochon bénéficie de nombreux climats d'Appellation communale & villages Gevrey-Chambertin.

Les vins de l'AOC Gevrey-Chambertin sont des vins de longue garde (10 à 20 ans et plus pour les exceptions) très colorés, puissants, aux arômes et saveurs intenses évoquant entre autres le cassis, cerise, musc, réglisse...

La puissance des vins s'associe avec une cuisine corsée et élaborée : viande rouge grillée, gigot de mouton, bœuf bourguignon, civet de lapin, coq au vin,

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Brochon Blason
D'azur à l'aigle d'or tenant un lis des jardins d'argent (au naturel) dans son bec.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Albert Colombet, Brochon : le passé d'un village de la Côte, Paris, Impr. F. Massebeuf,
  • Abbé François Lacoste, Notice historique sur Brochon, Paris, Le Livre d'histoire, 2006, (ISBN 2-84373939-X)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Brochon » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Brochon - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Brochon - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Côte-d'Or » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Mairie de Brochon », sur brochon (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Brochon et Marsannay-la-Côte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Marsannay la Cote », sur la commune de Marsannay-la-Côte - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Marsannay la Cote », sur la commune de Marsannay-la-Côte - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Gevrey-Chambertin », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b c d e f et g Albert Colombet, Brochon, le passé d'un village de la Côte, à compte d'auteur
  18. Notice historique sur Brochon par M. l’abbé François Lacoste curé, Dijon, Darantiere, 1892, p. 74-85.
  19. a et b Abbé François Lacoste, Notice historique sur Brochon, Paris, Le livre d'histoire, (ISBN 2-84373-939-X)
  20. Association des amis du château Stephen Liégeard de Brochon, « L'histoire du château ».
  21. Marie-France Vouilloz Burnier, Sœur Claire, femme d'exception. De la Providence à la clinique Sainte-Claire, et de Sierre à Brochon, une vie au service des plus démunis, Sion, Archives de l'État du Valais, , 312 p. (ISBN 978-2-9700636-6-7)
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. « Les maires de Brochon », sur francegenweb.org (consulté le ).
  24. « Avis de décès de M. Robert Jeannin », sur libramemoria.com, (consulté le ).
  25. « Brochon : un maire par intérim et des élections au mois de mai : Lors de la cérémonie des vœux, au mois de janvier, Claude Rémy avait annoncé qu’il céderait sa place de maire de Brochon, tout en restant élu municipal. C’est dans ce contexte que le conseil municipal s’est réuni, mercredi soir, le premier sous l’égide du maire intérimaire, Dominique Dupont », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Dominique Dupont, nouveau maire de Brochon », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  28. « Un pacte d’amitié de 40 ans : En 1972, Brochon était jumelée avec Weinolsheim. Pour fêter les quarante ans d’amitié qui lient ces deux communes, une délégation allemande a été reçue à Brochon », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Weinolsheim
  30. Valérie Asensio, « Les anciens troisièmes ont reçu leur diplôme du brevet : La promotion exceptionnelle d’élèves de 3e de l’année scolaire passée au collège de Brochon est revenue chercher son diplôme du brevet. 94 % l’ont obtenu, un excellent taux de réussite », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Valérie Asensio, « Lycée de Brochon : « Une rentrée très sécurisante pour les élèves » : Le lycée Stephen-Liégeard de Brochon accueille cette année 775 élèves. Cette rentrée scolaire voit, notamment, l’arrivée d’une nouvelle proviseure adjointe et d’un nouveau professeur d’éco-gestion », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « La Croix-Violette fête ses trente ans », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Emma Bossand, « Les visites ont repris au château Stephen-Liégeard », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Château Stéphen-Liégeard », notice no PA00112162, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Place Jolyot de Crébillon notamment.
  39. Philippe Jobert, « Hugues Darcy » (§ 5 de l’ouvrage), pages 47-51 in Philippe Jobert (sous la direction de), Les Patrons du Second Empire, volume 2 (Bourgogne), éditions Picard et éditions Cénomane, 259 pages, achevé d’imprimer en septembre 1991, (ISBN 2-70840428-8) (Picard) et (ISBN 2-90559641-4) (Cénomane), page 48.