Bras (Var)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bras
Bras (Var)
Vue générale de Bras.
Blason de Bras
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Provence Verte
Maire
Mandat
Franck Pero
2020-2026
Code postal 83149
Code commune 83021
Démographie
Gentilé Brassois
Population
municipale
2 632 hab. (2021 en diminution de 1,61 % par rapport à 2015)
Densité 75 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 23″ nord, 5° 57′ 16″ est
Altitude Min. 233 m
Max. 580 m
Superficie 34,93 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bras
(ville isolée)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bras
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bras
Géolocalisation sur la carte : Var
Voir sur la carte topographique du Var
Bras
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Bras
Liens
Site web mairie-bras.fr

Bras est une commune française située en Pays de la Provence verte dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située à 10 km de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume[1] et 14 de Brignoles.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le relief vallonné de la commune est traversé par plusieurs vallées de cours d'eau. Le point culminant de Bras se situe à l'est du village : la barre du Défens culmine à 544 m.

Hydrographie et eaux souterraines[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par[2] :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 840 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 2,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Maximin la Ste Baume », sur la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 765,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,2 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Il existe trois zones de sismicités dans le Var :

  • Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer.
  • Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel.
  • Zone Ib : Risque faible. Ce risque le plus élevé du département (qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale), concerne 21 communes du nord du département.

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • D28 par Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Le Val.
  • D34 vers Brue-Auriac et vers Tourves,

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Réseau de transport en commun de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Zou ![11].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Aurait vraisemblablement pour origine le nom celte de “brac” qui signifie “Trou d’eau”[12]. Bras en provençal.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

C’est sur la colline Saint-Pierre que Bras se développe au XIe siècle. Un castrum, habitat fortifié, enserre le château, l’église et les habitations. Au XIIIe siècle, les Templiers[13] s’installent à proximité du village dans des bâtiments dont le centre est constitué par la chapelle Notre-Dame-de-Bethléem. Ils vont alors participer à la croissance du bourg. Cette commanderie était en fait une exploitation agricole qui assurait le ravitaillement des établissements templiers d’Orient via le port de Marseille.

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Les Templiers s'installèrent à Bras au XIIe siècle grâce à une donation de Foulques de Bras, frère de l'ordre et commandeur de Richerenches de 1175 à 1179[14].

La chapelle Notre-Dame-de-Bethléem (chapelle romane de L'Hospital de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem) est le seul vestige de l’ancienne commanderie[15],[16] de Bras[17].

Lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple, la commanderie est devenue hospitalière.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

À la suite des pillages et de la peste entre le XIVe et le XVe siècle, le site de Saint-Pierre est abandonné au profit d’un nouveau village en contrebas de la colline. S’ensuit une période de prospérité durant laquelle la population croît rapidement pour atteindre 1 520 habitants au XIXe siècle.

Aujourd’hui, le village compte près de 2 900 habitants.

Généralités historiques[modifier | modifier le code]

Traces d'occupation préhistorique (silex taillés).

Ce fut une base d'opération, en , lors de la bataille de Pourrières.

Une enceinte protohistorique a été dégagée au sud du « Signal » ; on a trouvé un lieu de culte à l'extrémité de ce même massif (poteries, monnaies) ; sarcophage ; fragment de cippe.

Cité en 1015 Brachium ou Castrum de Braz Vel Bracio[18].

En 1241, Raimond Bérenger fit don du fief de Bras à l'évêque de Riez. Plus tard, il devint une seigneurie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem lors de le dévolution des biens de l'ordre du Temple.

Une légende assure que des villageois mécréants furent punis par le ciel et disparurent dans les eaux d'un lac creusé soudainement et qui sont les Gours Bénits actuels.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 1989 François Boschero[19] PS  
mars 1989 juin 1995 Jean-Louis Kieffer   Ingénieur opticien
juin 1995 mars 2008 Jean-Louis Giusti DVD  
mars 2008 mars 2014 Angélique Fromion SE  
mars 2014 En cours
(au 18 mai 2020)
Franck Péro SE Employé d'un grand groupe autoroutier
12e vice-président de la CA de la Provence Verte (2018 → 2020)
9e vice-président de la CA de la Provence Verte (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Bras est l'une des communes de la Communauté d'agglomération de la Provence Verte, issue de la fusion des trois communautés de communes Comté de Provence, Sainte-Baume Mont-Aurélien et du Val d'Issole.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[20],[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bras, une unité urbaine monocommunale[23] de 2 698 habitants en 2017, constituant une ville isolée[24],[25].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris[26]),[27].

Le plan d'occupation des sols (POS) qui était entré en application le 25 septembre 1997[28] a été remplacé par un plan local d'urbanisme[29] modifié en 2016[30].

La commune est intégrée dans le Schéma de cohérence territoriale (SCoT) Provence Verte Verdon, approuvé le 30 janvier 2020, qui est entré en application le 11 septembre 2020[31].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,4 %), cultures permanentes (22,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), zones urbanisées (2 %), terres arables (0,1 %), zones humides intérieures (0,1 %[32]). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune de Bras n'a pas d'accord de jumelage.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 2 632 habitants[Note 4], en diminution de 1,61 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1901 3351 2801 4891 4771 5371 5201 5031 453
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4131 5031 5331 4641 4451 2431 1441 0151 020
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 005967806760774754760707710
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
7046016386771 0561 2981 7841 9962 424
2014 2019 2021 - - - - - -
2 5912 6292 632------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Coopérative vinicole La Laborieuse, actuellement Cellier des Templiers[37].
  • Coopérative vinicole Les Travailleurs[38].
  • Production agricole, centre équestre[39].
  • Élevages de moutons.
  • Production de spiruline en brindille.
  • Production de safran[40].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Commerces et artisanat[modifier | modifier le code]

  • Artisanat d’art.
  • Commerces et services de proximité[43].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux

Autres lieux

  • Maison du Temple de Bras[49].
  • Bourg castral[50].
  • Pigeonnier.

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries de se blasonnent ainsi[54] :

Fascé d'or et de sable de six pièces

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Transports urbains[modifier | modifier le code]

Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou !. Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![55].

La commune est desservie par une ligne de bus régulière : La Verdière - Varages - Barjols - Saint-Maximin-la-Sainte-Baume[56]. Les élèves ont trois lignes de bus vers les collèges et lycées de Brignoles, Barjols et Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[57] :

  • Les jeunes élèves de Bras se rendent aux écoles maternelle et primaire de la Braque[58].
  • Le collège et le lycée les plus proches se situent à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

Sports[modifier | modifier le code]

Des associations locales proposent tout un éventail d'activités sportives[59].

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[60],[61] :

  • Un médecin généraliste est installée sur la commune.
  • Une pharmacie est installée au centre d'activités La Brasque, route de Brignoles.
  • Hôpitaux à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Brignoles

Vie locale[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Festivités[modifier | modifier le code]

  • BD en fête, chaque année, pendant le dernier week-end de septembre se tient un festival de la bande dessinée[63].

Politique[modifier | modifier le code]

Bras fait partie de la huitième circonscription électorale du Var.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances et itinéraires
  2. Cours d'eau sur la commune ou à son aval
  3. Fiche du Cauron sur le site du SANDRE
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Bras et Saint-Maximin-la-Sainte-Baume », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St Maximin la Ste Baume », sur la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « St Maximin la Ste Baume », sur la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. Réseau régional de transports en commun
  12. Bras, sur www.mhvprovence.com/
  13. La chapelle de Bras
  14. Commanderie des Templiers (ancienne), dite aussi chapelle des Templiers ou chapelle Notre-Dame de Bethléem sur le site Patrimages Drac Paca
  15. « Chapelle des Templiers », notice no PA00081550, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  16. Notice no PA00081550, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  17. Chapelle de Provence, de Serge Panarotto, page 119
  18. Historique de Bras
  19. Notice BOSCHERO François par Jacques Girault, version mise en ligne le 13 septembre 2020, dernière modification le 13 septembre 202
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Unité urbaine 2020 de Bras », sur insee.fr (consulté le ).
  24. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. POS de Bras
  29. Plan local d'urbanismes
  30. PLU sur Géoportail
  31. SCOT Provence Verte Verdon
  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « coopérative vinicole La Laborieuse, actuellement Cellier des Templiers », notice no IA83001310, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
  38. « coopérative vinicole Les Travailleurs », notice no IA83001309, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
  39. Agriculture, viticulture & élevages
  40. Agro-alimentaire
  41. Gîtes ruraux
  42. Via Aurelia Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. De Menton (Alpes-Maritimes) à Arles (Bouches-du-Rhône)
  43. Commerces et services de proximité
  44. L'église Notre-Dame-des-Agrenas
  45. Chapelle Saint-Étienne
  46. Chapelle Notre-Dame-d'Espérance
  47. Le patrimoine religieux de Bras, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  48. Monument aux morts près de la Mairie, Monument aux morts du cimetière, Plaque de rue
  49. Maison du Temple de Bras
  50. Bourg castral
  51. Bras la cascade du tombereau
  52. Cascade du Tombereau
  53. Les manuscrits arabes et persans du cardinal Mazarin conservés à la Bibliothèque nationale de France, par Julie Garel-Grislin, p. 38
  54. Sainte-Baume - Mont Aurélien : Bras, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  55. Réseau régional de transports en commun
  56. Lignes de bus à Bras
  57. Établissements d'enseignements
  58. école à Bras
  59. Activités sportives
  60. Professionnels et établissements de santé
  61. Personnels de santé
  62. Paroisse Notre Dame de l'Assomption
  63. Agenda des manifestations

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]