Boullay-les-Troux

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Boullay-les-Troux
Boullay-les-Troux
L’hôtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Palaiseau
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Limours
Maire
Mandat
Hugues-Alexandre Rousseau
2020-2026
Code postal 91470
Code commune 91093
Démographie
Gentilé Boullaisiens
Population
municipale
639 hab. (2021 en augmentation de 1,27 % par rapport à 2015)
Densité 133 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 42″ nord, 2° 02′ 59″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 177 m
Superficie 4,8 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gif-sur-Yvette
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Boullay-les-Troux
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Boullay-les-Troux
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Boullay-les-Troux
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Boullay-les-Troux

Boullay-les-Troux[1] (prononcé [bulɛ lɛʁu] Écouter) est une commune française située à trente kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Ses habitants se nomment les Boullaisiens[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Position de Boullay-les-Troux en Essonne.
Occupation des sols.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 8,9 % 43,35
Espace urbain non construit 2,6 % 12,43
Espace rural 88,5 % 429,55
Source : Iaurif[3]

Boullay-les-Troux est située à trente kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[4], point zéro des routes de France, vingt-neuf kilomètres au nord-ouest d'Évry[5], quatorze kilomètres au sud-ouest de Palaiseau[6], dix-sept kilomètres au nord-est de Dourdan[7], dix-sept kilomètres au nord-ouest de Montlhéry[8], dix-huit kilomètres au nord-ouest d'Arpajon[9], vingt-neuf kilomètres au nord-ouest d'Étampes[10], trente et un kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais[11], trente-deux kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes[12], quarante-trois kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[13].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Deux cours d'eau prennent leur source sur la commune : le Montabé, qui donne son nom à un des hameaux du village, et le Moulecrotte. Tous deux sont affluents de l'Yvette, dans la vallée de Chevreuse. Ces deux cours d'eau délimitent un espace protégé, abritant notamment des écrevisses à pattes blanches, espèce protégée.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Commune de Boullay-les-Troux, vue depuis les champs alentour.

Le point le plus bas de la commune est situé à quatre-vingt-dix-neuf mètres d'altitude et le point culminant à cent soixante dix-sept mètres[14].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 684 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Choisel à 2 km à vol d'oiseau[17], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Statistiques 1991-2020 et records CHOISEL (78) - alt : 176m, lat : 48°41'04"N, lon : 2°00'01"E
Records établis sur la période du 01-01-1974 au 31-08-2019
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1 3,1 5 8,4 11,4 13,2 13 10,1 7,4 4,1 1,6 6,6
Température moyenne (°C) 4 4,4 7,5 10,1 13,8 17 19,2 19 15,4 11,6 7,2 4,2 11,1
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,7 11,9 15,3 19,2 22,6 25,1 25 20,8 15,8 10,4 6,9 15,6
Record de froid (°C)
date du record
−14,2
14.01.1979
−13,5
07.02.1991
−10,4
13.03.13
−4,5
15.04.19
−1
07.05.1997
2,2
04.06.1991
4,9
19.07.1974
4,3
21.08.14
1,8
30.09.12
−4
30.10.1997
−9,5
24.11.1998
−10,6
29.12.1996
−14,2
1979
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
27.01.03
18,5
24.02.1990
24
29.03.1989
28
21.04.18
31,6
28.05.17
36,4
27.06.11
37,5
01.07.15
39,5
06.08.03
33
05.09.13
28,5
03.10.11
21
08.11.15
16,5
07.12.00
39,5
2003
Précipitations (mm) 61,4 51,7 51,5 48,9 67,8 61,5 52,4 56,3 51,6 65,8 64,7 75,5 709,1
Source : « Fiche 78162001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Lieux-dits, écarts et quartiers[modifier | modifier le code]

Panneau de Boullay-les-Troux Gare.

Avant la Seconde Guerre mondiale, le tronçon Saint-Rémy-lès-Chevreuse-Limours de la ligne de Sceaux desservait la commune de Boullay-les-Troux, au lieu-dit qui est toujours appelé la gare de Boullay.

Un autre lieu-dit de la commune se situant dans la forêt entre Boullay-les-Troux et Saint-Rémy-lès-Chevreuse est le petit hameau de Montabé.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Boullay-les-Troux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[21],[22],[23].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Troux[réf. nécessaire], Trous vers 1265[26], E. de Trociis au XVe siècle, E. de Trocis, Tros au XVIe siècle, Trocs, Les Toues en 1621[27].

À Boullay-les-Trous, où sont signalés des carrières de pierre meulière, les « trous » indiquent-ils les excavations provoquées par l'extraction des pierres[26] ?

La mention de Boullay fut ajoutée en 1864[28].

Boullay de l'ancien français boul « bouleau » (issu du latin d'origine gauloise betul(l)a) suivi du suffixe d'ancien français -ay (issu du gallo-roman -ETU) servant à désigner « un ensemble d'arbre appartenant à la même espèce », moderne -aie, d'où le sens global de « lieu planté de bouleaux »[26].

En 1793, la commune fut créée sous le nom de Les Trous, l'orthographe fut régularisée en 1801 dans le bulletin des lois.

Histoire[modifier | modifier le code]

Vestiges de l'ancienne gare de Boullay-les-Troux.

Vers la fin du XIIe siècle, Les terres du Boullay (Booleium ; Le Bouelois) deviennent la propriété des templiers. Elles sont dévolues ensuite aux hospitaliers[29].

Vers 1490, honorable homme et saige Guillaume Basin, docteur, régent en la faculté de médecine de Paris, seigneur du fief des Troux lez Chevreuse.

Le , le noble homme Nicolas Le Grant, seigneur des Troux, médecin ordinaire du roi, constitue une rente.

En 1644, Anne Hennequin, veuve du seigneur de Marly, se faisant fort d'Alexandre Legrand, échange la terre et seigneurie des Troux avec Anne Desault, veuve du vicomte de Corbeil, contre des rentes. Cette dernière la revendra à Guillaume Dugué en 1650.

Le village fut acheté en 1646 par Guillaume Dugué de Bagnols qui embellit l'hôtel seigneurial ; il fut un ami fervent de Port-Royal et reçut chez lui les jansénistes obligés de se disperser en 1661 ; il acheta aussi le hameau de Montabé. En 1654, Guillaume Dugué obtint de Monseigneur de Gondi, archevêque de Paris, l'autorisation de construire une nouvelle église pour remplacer l'édifice du XIIIe siècle en ruine. Le maître maçon Bricart en assura la construction en forme de croix latine et à chevet arrondi. Les travaux furent terminés en 1655. Elle était placée au centre du cimetière.

Au XIXe siècle, l'église fut consolidée, le clocher réparé. En 1854, une nouvelle cloche fut mise en place. En 1865, la paroisse fut rattachée à celle des Molières.

Jusqu'en 1939, la commune était desservie par la ligne de Sceaux.

Une nouvelle phase de rénovation complète a été entreprise par la municipalité depuis 2002 et l'église entièrement refaite est inaugurée en octobre 2012[30].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 639 habitants[Note 3], en augmentation de 1,27 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
211185204191204181182158147
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
167172226191229225233185194
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
211180211201236248188169203
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
206253339416509581635643632
2017 2021 - - - - - - -
643639-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,3 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 331 hommes pour 316 femmes, soit un taux de 51,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,98 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
0,0 
4,9 
75-89 ans
4,2 
15,4 
60-74 ans
17,1 
28,6 
45-59 ans
28,1 
17,3 
30-44 ans
16,5 
13,9 
15-29 ans
16,1 
19,0 
0-14 ans
18,0 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,3 
75-89 ans
7,1 
12,9 
60-74 ans
13,8 
20,1 
45-59 ans
19,6 
19,9 
30-44 ans
20,1 
19,9 
15-29 ans
18,3 
21,4 
0-14 ans
19,8 

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Politique locale[modifier | modifier le code]

La commune de Boullay-les-Troux est rattachée au canton de Gif-sur-Yvette, représenté par les conseillers départementaux Michel Bournat (UMP) et Laure Darcos (UMP), à l'arrondissement de Palaiseau et à la quatrième circonscription de l'Essonne, représentée par le député Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP).

L'Insee attribue à la commune le code 91 3 13 093[36]. La commune de Boullay-les-Troux est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 100 930. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[37].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[38].
Période Identité Étiquette Qualité
2001 En cours Alain Vigot SE Agriculteur[39]
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances et résultats politiques[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

Référendums :

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les établissements scolaires de Boullay-les-Troux sont rattachés à l'académie de Versailles. Elle dispose sur son territoire d'une école primaire publique[54].

Santé[modifier | modifier le code]

Services publics[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune n'a développé aucune association de jumelage.

Vie quotidienne à Boullay-les-Troux[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

  • Association de football de Boullay-les-Troux (AFBT).
  • Association de tennis de Boullay-les-Troux (ATBT).

Lieux de culte[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jean-l'Évangéliste.

La paroisse catholique de Boullay-les-Troux est rattachée au secteur pastoral de Limours et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Jean-l'Évangéliste[55].

Médias[modifier | modifier le code]

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie[modifier | modifier le code]

Boullay-les-Troux accueille un important centre d'écoutes de la direction générale de la sécurité intérieure[56],[57],[58].

Emplois, revenus et niveau de vie[modifier | modifier le code]

Boullay-les-Troux est l'une des communes françaises où la richesse moyenne par habitant est l'une des plus élevées ; en 2012, Boullay-les-Troux était classée au 16e rang pour le revenu net médian par ménage avec 5 428  mensuel[59]. Elle est en cela la 1re commune d'Essonne[60].

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 66 228 , ce qui plaçait Boullay-les-Troux au 14e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[61].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Boullay-les-Troux - - - - - -
Zone d'emploi de Versailles 0,2 % 3,8 % 29,2 % 27,9 % 26,1 % 12,8 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Boullay-les-Troux - - - - - -
Zone d'emploi de Versailles 1,0 % 17,4 % 5,2 % 14,3 % 19,7 % 7,3 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[62],[63],[64]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Boullay-les-Troux est une commune du Parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse. Les bois du quart nord-est du territoire ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[65].

La commune est traversée par le GR 655 OT, itinéraire moderne sur la variante par Chartres de la via Turonensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Le cheminement qui passe tout près du hameau de Montabé et du chef-lieu, puis qui traverse le hameau de la Gare de Boullay, utilise le tracé de l'ancienne ligne de Sceaux. On vient de Saint-Rémy-lès-Chevreuse ; le prochain jalon est Pecqueuse.

Patrimoine architectural[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Boullay-les-Troux :

Héraldique[modifier | modifier le code]


Blason de Boullay-les-Troux

La commune de Boullay-les-Troux ne dispose pas de blason.

Boullay-les-Troux dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Boullay-les-Troux », p. 521–522
  • Marie-Pierre Boye, Un Village Janseniste ; Boullay-Les-Troux, Nizet, (ISBN 9782707803276)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Fiche de Boullay-les-Troux dans le Code officiel géographique sur le site de l'Insee. Consulté le 31/07/2012.
  2. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 01/04/2009.
  3. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 07/11/2010.
  4. Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
  5. Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
  6. Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
  7. Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
  8. Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
  9. Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
  10. Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
  11. Orthodromie entre Boullay-les-Troux et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
  12. Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
  13. Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 04/09/2012.
  14. « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 19/02/2013.)..
  15. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  17. « Orthodromie entre Boullay-les-Troux et Choisel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. a b et c Marianne Mulon, Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207)[réf. non conforme].
  27. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, (lire en ligne), p. 109-110
  30. Bulletin municipal spécial du 20 octobre 2012.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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