Bondoufle

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Bondoufle
Bondoufle
L’hôtel de ville.
Blason de Bondoufle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Évry
Intercommunalité CA Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart
Maire
Mandat
Jean Hartz
2020-2026
Code postal 91070
Code commune 91086
Démographie
Gentilé Bondouflois
Population
municipale
10 862 hab. (2021 en augmentation de 19,81 % par rapport à 2015)
Densité 1 607 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 36′ 52″ nord, 2° 22′ 50″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 95 m
Superficie 6,76 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Ris-Orangis
Législatives 1re circonscription de l'Essonne
Localisation
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Bondoufle
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Bondoufle
Liens
Site web http://www.ville-bondoufle.fr/

Bondoufle (prononcé [bɔ̃ufl] Écouter) est une commune française située à vingt-sept kilomètres au sud-est de Paris dans le département de l’Essonne en région Île-de-France.

Village de moins de trois cents habitants jusqu’à la fin des années 1960 lorsqu’il fut intégré au projet de ville nouvelle d’Évry, rapidement urbanisé au moyen de résidences pavillonnaires entourant le bourg originel et de zones d’activités en bordure des axes routiers, Bondoufle est connue pour avoir accueilli en 1994 les Jeux de la francophonie dans le stade Robert-Bobin.

Ses habitants sont appelés les Bondouflois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Position de Bondoufle en Essonne.

Bondoufle est située dans la région Île-de-France, au nord-est du département de l’Essonne qui est totalement intégré à l’agglomération parisienne, et au nord-est de la région naturelle du Hurepoix.

Le territoire communal occupe six cent soixante-seize hectares dont plus de 48 % sont urbanisés et construits et 30 % avaient conservé un caractère rural, principalement à l’ouest de la commune. L’Institut national de l'information géographique et forestière attribue les coordonnées géographiques 48°36’57" Nord et 2°22’53" Est au point central de ce territoire[2].

Bondoufle est située à vingt-sept kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, cinq kilomètres au sud-ouest d’Évry, sept kilomètres à l’ouest de Corbeil-Essonnes, dix kilomètres au nord-est d’Arpajon, neuf kilomètres au sud-est de Montlhéry, quinze kilomètres au sud-est de Palaiseau, quinze kilomètres au nord-est de La Ferté-Alais, vingt-cinq kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt, vingt-neuf kilomètres au nord-est de Dourdan.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Le territoire municipal est limitrophe de plusieurs autres communes. Au nord et au nord-est se trouve Ris-Orangis, avec laquelle se partage le bois du Kiosque, à l’est, l’allée du Rondeau et le canal marquent pour partie la frontière avec Évry-Courcouronnes, au sud-est se trouve une courte frontière avec Lisses, au sud, la rue de Paris suit la délimitation d’avec la commune de Vert-le-Grand, au sud-ouest et à l’ouest, une partie de la route des Bordes et de la route de Vert-le-Grand servent de frontière avec Le Plessis-Pâté, au nord-ouest, l’impasse René Lacoste, le chemin des Grands Bois et le chemin de Villeroy servent de limite au territoire avec Fleury-Mérogis.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Aucun cours d'eau naturel ne passe sur le territoire de Bondoufle.

Des rigoles ont été aménagées pour drainer les eaux sur le plateau, notamment au nord dans la zone industrielle de la Marinière et au sud pour relier les étangs aujourd’hui intégrés au practice de golf. Un étang subsiste aussi dans le parc du quartier des Trois Parts à l’ouest et plusieurs bassins de rétention des eaux pluviales ont été creusés dans la zone d’activités des Bordes au sud-ouest. À l’extrême nord-est du territoire passe une courte portion souterraine de l’aqueduc de la Vanne et du Loing qui alimente Paris en eau potable en se jetant dans le réservoir de Montsouris.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire municipal est traversé par divers axes de communication, parmi lesquels le plus important est la route nationale 104, aussi appelée la Francilienne, qui coupe le territoire au nord avec une sortie dédiée à la commune avant de rejoindre l’autoroute A6 dans la commune voisine de Ris-Orangis.

Autre axe principal, aujourd’hui dévié du centre-ville pour former une rocade par le sud, la route départementale 31, appelée dans la commune route de Vert-le-Grand et rue de Paris et son ancien tracé numéroté RD31e appelée rue de Villeroy.

Enfin à l’ouest, le bourg est accessible par la route départementale 194, appelée rue de la Libération.

Aucune voie ferrée ne passe sur le territoire et les gares les plus proches sont celles du Bois de l’Épine à Ris-Orangis sur la ligne D du RER ou celle de Brétigny à Brétigny-sur-Orge sur la ligne C du RER.

En 2023, plusieurs lignes de transport en commun desservent cependant le territoire, dont les lignes 105A, 105B et 202 du réseau de bus Cœur d'Essonne vers la gare de Brétigny-sur-Orge et les lignes 401, 403, 409, 413, 414 et 453 du réseau de bus Évry Centre Essonne.

La commune est en outre située à douze kilomètres au sud-est de l’aéroport Paris-Orly et à quarante-six kilomètres au sud-ouest de l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

La commune de Bondoufle est implantée à l’est du plateau du Hurepoix, sur une partie dominant à la fois la vallée de la Seine à l’est et la vallée de l’Orge au nord. Le territoire, relativement peu marqué, s’étage entre une altitude minimale de soixante dix-sept mètres au sud à proximité des étangs du practice de golf[3] et une altitude maximale de quatre-vingt-quinze mètres au nord dans le bois de Saint-Eutrope[4],[5].

La majeure partie du territoire est situé à une altitude moyenne de quatre-vingt mètres, comme c’est le cas pour le centre-ville[6].

Le sous-sol est composé de couches successives de marne, calcaire et argile, typique du bassin parisien[7].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 645 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brétigny-sur-Orge à 5 km à vol d'oiseau[10], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 628,9 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Statistiques 1991-2020 et records BRETIGNY_SAPC (91) - alt : 78m, lat : 48°36'01"N, lon : 2°19'33"E
Records établis sur la période du 01-02-1947 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,5 3,6 5,7 9,2 12,5 14,4 14,1 11 8,2 4,5 2,2 7,4
Température moyenne (°C) 4,5 5 8,1 10,9 14,5 17,9 20,2 20 16,4 12,4 7,7 4,9 11,9
Température maximale moyenne (°C) 7,2 8,5 12,6 16,2 19,8 23,4 26 25,9 21,8 16,6 10,9 7,6 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−20,6
08.01.10
−17
23.02.1963
−10,7
13.03.13
−4,7
11.04.03
−1,9
07.05.1957
1,4
05.06.1991
3,8
01.07.1960
3,7
28.08.1974
0,2
17.09.1971
−4,5
29.10.1985
−9,6
24.11.1998
−16,4
29.12.1964
−20,6
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
15,8
27.01.03
20,2
27.02.19
25,3
25.03.1955
29,4
20.04.18
32
28.05.17
37,3
18.06.22
42
25.07.19
39,7
06.08.03
35,4
08.09.23
30,3
01.10.1985
22,1
07.11.15
16,8
17.12.15
42
2019
Précipitations (mm) 48,2 44,9 45 44,6 61,4 55,6 53,1 57,7 48,6 52,6 54,5 62,7 628,9
Source : « Fiche 91103001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bondoufle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[17] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].

Occupation des sols en 2008.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 48,8 % 334,69
Espace urbain non construit 20,6 % 141,09
Espace rural 30,6 % 210,07
Source : Iaurif-MOS 2008[22]

Récemment urbanisée, plusieurs lotissements ont pris la place des quartiers historiques pour former la commune autour de l’ancien centre-ville.

Lieux-dits, écarts et quartiers[modifier | modifier le code]

La commune, récemment urbanisée dans le cadre de la ville nouvelle d’Évry, est composée de plusieurs quartiers historiques que sont la Forge, les Trois Parts, la Haie fleurie entourant le centre-ville, de divers lotissements dont les Béguines, Victor Hugo, la Coulée verte, les Verts domaines, l’Orée du golf, les Héliotropes, les Losanges, les Demoiselles les Saplos et les Coccinelles, des zones d’activités de la Marinière au nord, des Bordes au sud et du Bois de Bailleul à l’est. Plusieurs lieux-dits subsistent, notamment le Prieuré, les Trente arpents et le Grand noyer à l’ouest, la Queue de Bondoufle au sud, le Parc de Tréville au sud, la Grande Brêche à l’est.

Dans le cadre de la démocratie locale, la municipalité a découpé le territoire communal en six quartiers : la Marinière-Parc de Saint-Eutrope, les Bordes, les Trois parts, le Golf, la Haie fleurie et le Centre[23]. Un septième est en construction, à l’ouest, dénommé les Portes de Bondoufle, puis renommé le Grand Parc en 2015. Ce quartier prévoit 2 000 logements, des commerces et des équipements publics (groupe scolaire, médiathèque, club seniors) d’ici 2025[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bunduflum en 1136, Bondofla au XIIIe siècle[25],[26], Bamdufla en 1483, Baudoufla, Bondoufles en 1466[27]. Lors de la création de la commune en 1793, le nom s’orthographiait avec un « s » final, supprimé en 1801 dans le bulletin des lois[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

Village agricole[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini de la région de Bondoufle au XVIIIe siècle.

L’histoire de Bondoufle est celle d’un village rural d’Île-de-France à l’écart des routes commerciales. Le domaine, exclusivement agricole est possédé au XIe siècle par les religieux de la Basilique Notre-Dame-de-Bonne-Garde de Longpont[29]. C’est à cette époque qu'est élevée l’église Saint-Denis. Vers 1340, François de Montaigne donne ses terres aux religieux célestins de Paris. Sous le règne de Charles VII, le domaine est lié à celui d’Écharcon sous la coupe du seigneur Yvon de Karmazet[30].

Ville nouvelle[modifier | modifier le code]

Au début des années 1960, le gouvernement décide la construction des villes nouvelles, avec l’implantation de l’une d’entre elles sur le territoire d’Évry et ses environs.

En 1964, un club omnisports est constitué sous le nom de Bondoufle Amical Club[31].

En 1966 est créé le syndicat intercommunal d’étude et d’aménagement de la région d’Évry, puis en 1969 l’établissement public d’aménagement de la ville nouvelle d’Évry. La commune ne comptait alors moins de trois cents habitants.

En 1969, la société de sport de France acquiert près de cent hectares sur les communes de Bondoufle et Ris-Orangis pour y établir l’hippodrome de Bondoufle qui accueille sa première course en 1972. En 1989 ouvre la bibliothèque associative. De 1990 à 1993, l’église est restaurée. En 1993 est aménagé le stade Robert-Bobin[32] pour accueillir les Jeux de la Francophonie de 1994 .

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du [33], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement d'Évry après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie du canton d'Évry-Sud[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Ris-Orangis

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Essonne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Bondoufle était membre de la communauté d'agglomération Évry Centre Essonne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette intercommunalité succédait au syndicat d'agglomération nouvelle chargé entre 1985 et 2001 d'aménager la ville nouvelle.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart, dont la commune est désormais membre.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

L’analyse des derniers résultats politiques des scrutins organisés dans la commune montre une tendance au vote à droite, cependant minorée ces dernières années. Ainsi en 2001], le maire sortant était réélu avec plus de 62 % des suffrages, en 2002 le candidat à la réputation de droite reportait dans la commune plus de 57 % des voix, sans pour autant emporter la circonscription, en 2004, le maire candidat au siège de conseiller général remportait plus de 59 % des suffrages dans la commune mais ne fut pas élu à l’échelle du canton, en 2007, la candidate de droite réalisa un score majoritaire à Bondoufle, contrairement au reste de la circonscription, en 2008 le maire sortant fut réélu dès le premier tour avec plus de 67 % des suffrages et en 2009, comme dans le reste de la région ce fut le candidat de droite qui remporta les élections européennes.

Néanmoins, à partir de 2010, le candidat socialiste à la région remporta largement le scrutin dans la commune comme dans le reste du territoire, en 2011 là encore le candidat de gauche arriva en tête lors de l’élection cantonale et en 2012 pour la première fois c’est le candidat de gauche qui arriva en tête à l’élection législative avec un fort score supérieur 56 % des suffrages.

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales et départementales, résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

  • Élections municipales de 2001 : 62,73 % pour Jean Hartz (RPR), 25,66 pour Jean-Claude Douillard (PRG), 58,42 % de participation[49].
  • Élections municipales de 2008 dans l'Essonne, 67,61 % pour Jean Hartz (UMP) élu au premier tour, 32,39 % pour René Esline (DVG), 63,61 % de participation.
  • Lors du second tour des élections municipales de 2008 dans l'Essonne, la liste DVD menée par le maire sortant Jean Hartz obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 125 voix (53,51 %, 23 conseillers municipaux élus dont 4 communautaires), devançant les listes menées respectivement par :
    - Sabine Nagel (PS, 1 090 voix, 27,44 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
    - Nicole Marcille (DVD, 756 voix, 19,03 %, 2 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin, 39,91 % des électeurs se sont abstenus[50]
  • Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans l'Essonne, la liste DVD menée par le maire sortant Jean Hartz obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 1 220 voix (38,01 %, 20 conseillers municipaux municipaux élus dont 2 communautaires.
    Elle devance de 46 voix la liste DVG menée par Sabine Nagel (1 174 voix, 36,58 %, 5 conseillers municipaux élus), suivie par la liste DVD menée par Arnaud Barroux (815 voix, 4 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin marqué par la crise de la pandémie de Covid-19 en France, 53,83 % des électeurs se sont abstenus[51].

Référendums :

Politique locale[modifier | modifier le code]

Le résultat des élections municipales de 2020, où la liste menée par Jean Hartz n'a devancé que de 46 voix celle de Sabine Nagel a été contesté par les deux listes d’opposition, qui estimaient que le maire sortant avait utilisé des « publications sponsorisées » sur Facebook et l'utilisation irrégulière de locaux municipaux pour sa compagne électorale. Le Tribunal administratif (France) de Versailles a reconnu le la réalité de cette irrégularité, qui, compte tenu du très faible écart de voix — 46 voix  — séparant sa liste de celle menée par Sabine Nagel, a annulé le scrutin[54],[55]. Jean Hartz a fait appel devant le Conseil d'État, ce jugement ne devenant pas exécutoire la municipalité reste en place jusqu'à la décision du Conseil d'État[56]. Celui-ci rend son jugement le et décide que « les opérations électorales qui se sont déroulées le 15 mars et 28 juin 2020 à Bondoufle sont validées »[57].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Vingt et un maires se sont succédé à la tête de la commune de Bondoufle depuis l’élection du premier en 1791 :

Liste des maires successifs[58]
Période Identité Étiquette Qualité
1791 1792 Pierre Josse    
1792 1795 Charles Boucheny    
1795 1815 Pierre Ingrain    
1815 1833 Jean-Charles Josse    
1833 1837 Louis Josse    
1837 1848 Michel Marcille    
1848 1852 Désiré Fourel    
1852 1865 François-Marie Fleury    
1865 1871 Michel-Ernest Marcille    
1871 1876 Louis Caunard    
1876 1884 Gustave Madiot    
1884 1888 Louis Robin    
1888 1901 Étienne Letellier    
1901 1912 Pierre Louis Léon Marcille    
1912 1919 Edmond Boucher    
1919 1921 Henri Poisson    
1921 1948 Pierre Louis Léon Marcille    
1948 1952 Désir Prévost    
1952 1953 Victor Legendre    
mai 1953 mai 2000[59] Henry Marcille RPR Décédé en fonction
juin 2000[60] En cours
(au 15 mars 2021)
Jean Hartz RPR, puis
UMPLR
Technicien supérieur d'études et de fabrications retraité
Président de la CA Évry Centre Essonne (2001[61] → 2008)
Vice-président de Grand Paris Sud (2016 → )
Président de l'Union des maires de l'Essonne (2017[62] → 2020[63])
Officier de l'Ordre national du Mérite en 2013[64]
Réélu pour le mandat 2020-2026[65]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Bondoufle a développé des associations de jumelage avec :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[68],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 10 862 habitants[Note 4], en augmentation de 19,81 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
186195208193158159186196223
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
224228246252256243234216216
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
189188176162193215170223241
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2011
2612852 0978 1207 7199 1299 4459 4779 222
2016 2021 - - - - - - -
9 35710 862-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[69].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lors du premier recensement des personnes, le village de Bondoufle compte cent quatre-vingt-six habitants, il connait une première chute importante de sa démographique durant les années 1830 avec à peine plus de cent cinquante habitants avant une lente progressions dans les années suivantes pour atteindre deux cent cinquante-six résidents en 1876, avant un nouveau déclin démographique qui reduit la population communale à seulement cent soixante-deux habitants en 1921. La progression reprend avant une nouvelle chute en 1936 à cent soixante-dix habitants.

En 1968 ce qui n’est alors qu’un village de deux cent quatre-vingt-cinq habitants est incorporé dans le projet de ville nouvelle d’Évry, la population « explose » pour dépasser les deux mille habitants en 1975 et atteindre le pic démographique communal de neuf mille quatre cent soixante-dix sept résidents trente ans plus tard en 2006.

L’immigration compte pour une part relativement faible dans cette croissance démographique puisque seulement 3,1 % de la population municipale étaient étrangère en 1999[70], avec 1,2 % de Portugais, 0,2 % d’Algériens et de Marocains, 0,1 % d’Italiens et de Tunisiens, 0,07 % d’Espagnols et 0,03 % de Turcs[71].

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,7 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 4 656 hommes pour 5 109 femmes, soit un taux de 52,32 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[72]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,9 
5,1 
75-89 ans
5,9 
13,7 
60-74 ans
15,4 
20,5 
45-59 ans
20,5 
18,5 
30-44 ans
18,7 
20,3 
15-29 ans
19,0 
21,7 
0-14 ans
19,6 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2020 en pourcentage[73]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,3 
75-89 ans
7,1 
12,9 
60-74 ans
13,8 
20,1 
45-59 ans
19,6 
19,9 
30-44 ans
20,1 
19,9 
15-29 ans
18,3 
21,4 
0-14 ans
19,8 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les établissements scolaires de Bondoufle sont rattachés à l’académie de Versailles.

En 2022, elle dispose :

Une partie du campus de la Faculté des métiers de l'Essonne de la Chambre de commerce et d'industrie de l'Essonne se trouve à Bondoufle[77].

Hors périodes scolaires, les enfants sont accueillis aux centres de loisirs de la Garenne et Mauriac[78].

Petite enfance[modifier | modifier le code]

En 2022, pour les jeunes enfants, une maison de la petite enfance regroupe une crèche familiale, un multi-accueil, un relais petite enfance et une ludothèque[79].

Un centre de protection maternelle et infantile est implanté dans la commune[80]

Santé[modifier | modifier le code]

En 2022, six médecins généralistes[81], deux chirurgiens-dentistes[82] et trois pharmacies[83] sont installés dans la commune.

La commune dispose sur son territoire de la maison intergénérationnelle Guy Bourlard[84] de l’établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes les Jardins de Cybèle[85].

Culture[modifier | modifier le code]

En 2022, Bondoufle dispose de plusieurs infrastructures à caractère culturel dont la salle des fêtes, le centre culturel Thierry Le Luron, la bibliothèque Condorcet[86], le conservatoire de musique Charles Gounod[87].

Plusieurs associations culturelles sont actives dans la commune[88].

Sports[modifier | modifier le code]

La tribune du stade Robert-Bobin.

Les habitants ont accès en 2022 à plusieurs installations sportives, dont la plus importante est le stade départemental Robert Bobin, construit en 1993 à l’occasion des Jeux de la Francophonie de 1994[89], totalisant 18 850 places et équipé d’un terrain de football et de rugby à XV et d’une piste d'athlétisme.


À cette infrastructure majeure s’ajoute le complexe sportif Henry Marcille, les gymnases Gaston Barret et Marcel Caro, le parc des Bordes équipé d’un parcours de santé[90], un boulodrome, un skatepark, un city park et le golf de Val Grand[91].

Autres services publics[modifier | modifier le code]

En 2022, Bondoufle dispose sur son territoire d’une brigade de gendarmerie nationale[92] et d’une agence postale[93].

Lieux de culte[modifier | modifier le code]

L’église Saint-Denis-et-Saint-Fiacre.

La paroisse catholique de Bondoufle est rattachée au secteur pastoral d’Évry et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l’église Saint-Denis-et-Saint-Fiacre[94].

Médias[modifier | modifier le code]

L’hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie[modifier | modifier le code]

Bondoufle est intégrée par l’Insee à la zone d'emploi d’Évry qui regroupait en 2018 607 772 habitants[95], les bondouflois représentant un peu plus de 0,17 % du total.

La commune dispose des zones d’activités des Bordes[96], de la Marinière[97], de la Grande Brèche[98] et des Petits bois[99] qui accueillent notamment le siège opérationnel d’Intermarché Entreprises (parc de Tréville)[100].

Plusieurs établissements sont en outre répertoriés comme potentiellement polluant dont l’usine Expedit diffusion pour ses émissions de nickel dans l’eau[101], Ferelec industrie pour ses émissions de déchets et polluants[102].

En 2019, la commune accueillait sur son territoire 713 unités légales dont les deux tiers dans le secteur tertiaire, plus aucune exploitation agricole ne subsistait en 2000 alors qu’elles étaient encore trois en 1988, en outre, aucun hôtel ou camping n’était présent dans la commune[103].

En 2018, le CampusFab, plateforme de formation innovante, est créé au sein de la commune[104].

Emplois, revenus et niveau de vie[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune comptait une population active de 4 980 personnes et disposait sur son territoire de 7 826 emplois. Cependant, cette année-là 8,3 % de la population était au chômage et près de 84,3 % des actifs travaillaient en dehors de la commune. 82,4 % des travailleurs étaient titulaires de la fonction publique ou employés en contrat à durée indéterminée, le revenu net imposable moyen s’élevait à 25 910  et moins de 25 % des foyers fiscaux n’étaient pas imposables[103].

En 2018, près de 74,2 % des ménages étaient propriétaires de leur logement, une maison individuelle dans 69,3 % des cas. En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 46 420 , ce qui plaçait Bondoufle au 638e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[105].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Bondoufle 0,1 % 2,7 % 22,4 % 27,0 % 17,9 % 29,9 %
Zone d’emploi d’Évry 0,3 % 4,0 % 20,2 % 29,6 % 28,2 % 17,7 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Bondoufle 0,4 % 21,6 % 9,3 % 25,0 % 19,8 % 2,8 %
Zone d’emploi d’Évry 0,9 % 13,5 % 5,4 % 14,6 % 16,2 % 6,9 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[106],[107],[108]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

La totalité de l’espace boisé, appelé Bois de Saint-Eutrope, situé au nord de la route nationale 104 a été classé au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l’Essonne[109].

Le golf de Val-Grand s’étend sur plus de quatre hectares au sud de la commune et constitue un parc en bordure de l’agglomération.

Patrimoine architectural[modifier | modifier le code]

Aucun immeuble bondouflois n’a fait l’objet d’un recensement au titre des monuments historiques, seule la cloche de l’église en bronze datant de 1548 a fait l’objet d’un classement au titre des objets le [110]. L’église conserve des éléments des XIIe et XVe siècles[111].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Bondoufle :

Bondoufle dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]


Blason de Bondoufle

Les armes de Bondoufle se blasonnent : Écartelé : au premier parti, au un d’azur à trois épis de blé d’or, les tiges passées en sautoir et en pal, et au deux coticé d’or et de gueules de seize pièces ; au deuxième de gueules à trois losanges d’argent ; au troisième de gueules à la croix ancrée alésée d’argent ; au quatrième d’azur à trois herses d’argent.[118]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Bondoufle », p. 375–376
  • Élisabeth Grunberg et Jean-Pierre Bourgeron, Le Hurepoix : Évry, Ris-Orangis. Bondoufle, Courcouronnes, Lisses, t. III, J.-P. Bourgeron, (ISBN 9782903097035)
  • Jacques Guyard, C’était en 1900, Bondoufle, Courcouronnes, Évry, Lisses, Ris-Orangis, Adef,
  • Collectif d’auteurs, Bondoufle à travers rues et lieux-dits, Maury,

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

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  2. Fiche de Bondoufle sur le site d’orthodromie lion1906.com Consulté le .
  3. Fiche du repère géodésique WDK3-442 sur le site de l’Ign. Consulté le .
  4. Fiche du repère géodésique WDK3-198bis sur le site de l’Ign. Consulté le .
  5. « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 19/02/2013.)..
  6. Fiche du repère géodésique WDK3-159 sur le site de l’Ign. Consulté le
  7. Fiche géologique de Bondoufle sur le site du Brgm. Consulté le .
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Bondoufle et Brétigny-sur-Orge », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Brétigny_sapc » (commune de Brétigny-sur-Orge) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Brétigny_sapc » (commune de Brétigny-sur-Orge) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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  25. chartes royales du XIe siècle[Quoi ?].
  26. pouillé du XIIIe siècle.
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  31. Présentation du Bondoufle AC Tennis sur son site officiel. Consulté le .
  32. Article Le stade de Bondoufle attend toujours son heure paru le sur l’édition en ligne du quotidien Le Parisien. Consulté le .
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  34. Résultats de l’élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le .
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  55. Thibaut Faussabry, « Essonne. Le tribunal administratif annule les élections municipales à Bondoufle : Des recours déposés par deux listes d’opposition, devant le Conseil d'État accusaient notamment le maire élu, Jean Hartz d’avoir utilisé des « publications sponsorisées » sur Facebook », Actu Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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