Boismé

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Boismé
Boismé
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Bressuire
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bocage Bressuirais
Maire
Mandat
Corinne Taillefait
2020-2026
Code postal 79300
Code commune 79038
Démographie
Population
municipale
1 181 hab. (2021 en diminution de 1,17 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 46′ 32″ nord, 0° 26′ 02″ ouest
Altitude Min. 127 m
Max. 227 m
Superficie 37,80 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bressuire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bressuire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Boismé
Liens
Site web http://www.boisme.fr/

Boismé (prononcé [bwame] ; en poitevin Boimi) est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont les Boisméens et les Boisméennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Boismé se situe au nord-ouest du département des Deux-Sèvres à une dizaine de kilomètres au sud de Bressuire, en plein cœur du bocage vendéen. Le sol est argileux, la roche granitique. L'altitude varie entre 226 mètres au bois Rocard et 129 mètres à la Guirère. Le relief est assez vallonné, car le plateau bocager y est entaillé par plusieurs rivières et ruisseaux : le ruisseau de Boismé, le ruisseau de Clessé, le Thouaret pour ne citer que les principaux cours d'eau de la commune. Il y a un certain nombre d'affleurements rocheux, dont les plus hauts atteignent une vingtaine de mètres.

Comme dans tout le bocage vendéen, l'argile étant un sol imperméable, il y a beaucoup de points d'eau, mares, étangs. En conséquence, historiquement, l'habitat est dispersé : le bourg compte environ 800 habitants, tandis que le reste de la population vit dans des hameaux dont le plus important est Gouttevive.

Le bourg s'étend de part et d'autre du confluent du Thouaret et du ruisseau de Boismé, jusqu'au contact de la forêt du château de Clisson mais pas au-delà, car tout le quart nord-ouest de la commune (les rives du ruisseau de Boismé) appartient au château de Clisson.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Projets d'urbanisme[modifier | modifier le code]

  • Le lotissement « Le Muscadet » (terminé) ;
  • les vestiaires de la Lescure Football de Boismé (terminé) ;
  • local « Foyer » pour les jeunes du village (terminé) ;
  • une garderie (terminée) ;
  • l'aménagement du parc (non commencé) ;
  • l'aménagement de la poste actuelle (terminée) ;
  • l'éco-quartier (en cours).

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée de la Loire » et « Poitou-Charentes »0[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 861 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Clessé à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 857,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Boismé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bressuire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,5 %), terres arables (32,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %), forêts (4,5 %), zones urbanisées (1,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Boismé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Thouaret. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2010 et 2018[16],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Boismé.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[17]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 47,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Boismé est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Origine[modifier | modifier le code]

Boismé remonte à une très haute antiquité, un titre de 1028 le désigne sous le nom de Curtis de Bomniaco. Or « Curtie » désignait toujours à cette époque un lieu habité[21].

D'autre part, il est fait mention d'une église, dédiée à saint Pierre, tombant déjà de vétusté. Différents noms apparaissent : Boisméum, Boymé, Boême, Boëmé[22] (nom que l'on trouve sur l'ancien cadastre dit « napoléonien »).

L'église Saint-Mérault, où se trouvait le tombeau du saint personnage, subsistait encore au XVIIe siècle et le tombeau continuait à être l'objet de la vénération publique. À la fin du XIXe siècle, on pouvait voir encore quelques restes des murs de cette église dans la partie du bourg qui porte son nom.

Révolution française et guerre de Vendée[modifier | modifier le code]

Après la journée du , Louis de Salgues de Lescure vient s'installer dans son château de Clisson à Boismé.

Les paysans des environs de Châtillon vinrent au château de Clisson, chercher Henri de la Rochejaquelein, cousin du marquis de Lescure. Le marquis de Lescure resta à Boismé tandis qu'Henri de La Rochejacquelein rentra chez lui au château de la Durbelière à Saint-Aubin-de-Baubigné. Le marquis de Lescure fut fait prisonnier par les républicains et incarcéré à Bressuire avec toute sa famille. Il fut libéré in extremis quelques jours plus tard lors de la prise de la ville par l'armée vendéenne. Dès lors il fut compté parmi les premiers chefs de cette armée, à laquelle se joignirent les paysans de son canton.

Le château de Clisson fut incendié. De cet incendie il ne resta que la chapelle (qui existe toujours) et les communs, là où le château actuel est construit.

Jacques-Louis Maupillier, combattant des guerres de Vendée vécut la fin de sa vie et mourut aux Touches à Boismé.

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre fut plusieurs fois reconstruite ou agrandie pour prendre son aspect définitif en . Le cimetière était autrefois autour de l'église. Lorsque les premiers travaux de reconstruction de l'église commencèrent, le cimetière fut déplacé pour occuper l'emplacement actuel route de la Chapelle Saint-Laurent en 1883.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les alliés ont effectué deux parachutages d'armes dans la nuit du 19 au et dans la nuit du 20 au . Le terrain de parachutage fut le Bois Rocard. Trois et deux tonnes d'armes ont été respectivement larguées durant ces deux nuits, puis réparties à Boismé et au château de Bressuire. Le message émis par la BBC à Londres indiquant l'opération était « Le Roi dit à la Reine : Victoire »[23]. La liste des participants à cette opération était Paul Bernard, Edouard Berteau, Jules Chausseray, Delavaux, Robert Garnier, Marcel Gingreau, Joseph Hay, Marcel Labbé, Laveix, André Marchand, Jean Rambault, Auguste Robin, Emile Touraine, Varga, Pierre Vallée.

La liste des résistants selon Jean Rambault est : Michel de Beauregard (maire), Edouard Berteau, Louis Boussion, Jules Chausseray, André Courre, Eugène Gatard, Marcel Gingreau, Joseph Marchand, Isabelle de Plinval, Jean Rambault, Joseph Ribot, Pierre Vallée, Paul Bernard, Henri Berthelot, Henri Cadu, Lucien Chauveau, Robert Garnier, Henri Gatard, Joseph Hay, Aimé Michaud, Marcelin Plisson, Suzanne Rambault, Emile Touraine, Abel Verger.

Louis Cadu, fils de Henri, participa au premier parachutage du Bois Rocard. L'adjudant-chef de gendarmerie Amblard, assista efficacement les résistants de Boismé. De ses différents postes, à Bressuire et à Niort, il procura directement des caches et des faux papiers aux réfractaires du S.T.O. Ou bien, utilisant la profession de couturière de madame Amblard qui recevait parmi ses clientes des agents de liaison féminins, il informait la Résistance des actions de police en préparation.

Depuis 1945[modifier | modifier le code]

Le , Boismé entre en fusion-association avec Bressuire avant de reprendre son indépendance le [24].

Boismé a été une des premières communes à posséder une salle polyvalente en 1980.

Le plan d'eau a été creusé en 1988 et fait depuis la joie des pêcheurs et des promeneurs.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Mars 1977 1995 Raymond Croisé SE  
Juin 1995 2001 Robert Moine SE  
Mars 2001 2008 Edmond Perochon SE  
Mars 2008 Mars 2014 François Gingreau[25] SE-DVD Conseiller départemental
mars 2014 2020 Yves Morin DVD Retraité
mars 2020 En cours Corinne Taillefait SE Présidente C.C.A.S

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 1 181 habitants[Note 4], en diminution de 1,17 % par rapport à 2015 (Deux-Sèvres : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0001 0277181 0521 1521 1611 1841 2061 169
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2481 2761 3181 3581 4031 4571 5611 6531 655
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6191 5941 6031 5061 5031 3761 3501 3001 309
1962 1968 1990 1999 2006 2011 2016 2021 -
1 2671 1511 0791 0771 1311 1561 2021 181-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports[modifier | modifier le code]

La Lescure Football Boismé remporte sa première Coupe Saboureau (2007/2008) en s'imposant contre Saint-Cerbouillé (score : 1-0).

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La terre argileuse du bocage étant assez lourde et acide, les terres sont utilisées pour l'élevage (bovin, ovin).

Industrie[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre de Boismé. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[30].
  • Château de Clisson, entré dans l'histoire comme demeure du marquis de Lescure, héros des guerres de Vendée. Le château a été incendié lors des guerres de Vendée (hormis la chapelle). Il fut rebâti dans un style Renaissance.
  • Vestiges du château du Poyron (route de Chiché), aujourd'hui devenu une ferme.
  • Ferme fortifiée du Gât.
  • Ferme fortifiée du Corbin.
  • Ferme fortifiée de la Guirère.
  • Vestiges des Moulins de la Guirère, anciens moulins à vent surplombant la rivière du Thouaret.
  • Falaises granitiques (~20 m) entre les lieux-dits du Bas-Gourneau et de la Guirère, au bord de la rivière du Thouaret.
  • Moulin à aubes des Guittérières sur le Thouaret.
  • Base de loisir et lac au pied du Bourg, sur le ruisseau de Boismé.
  • Deux anciens lavoirs, dont un où saint Mérault aurait réalisé quelques miracles.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Boismé et Clessé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Clesse » (commune de Clessé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Clesse » (commune de Clessé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bressuire », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Boismé », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. « Histoire de la commune de Boismé », site officiel de la commune de Boismé.
  22. Archives départementales, « Archives en ligne - Cadastre napoélonien », sur archives.deux-sevres.com (consulté le ).
  23. « Balises de commémoration des sites de la résistance dans les Deux-Sèvres ».
  24. Code officiel géographique - Fiche de la commune de Boismé sur le site de l'Insee, consulté le 3 décembre 2010.
  25. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Église paroissiale Saint-Pierre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).