Billy-Chevannes

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Billy-Chevannes
Billy-Chevannes
L'église Saint-Antoine de Billy-Chevannes.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Nevers
Intercommunalité Communauté de communes Amognes Cœur du Nivernais
Maire
Mandat
Alain Vallet
2020-2026
Code postal 58270
Code commune 58031
Démographie
Gentilé Billy-Chevannais, Billy-Chevannaise
Population
municipale
307 hab. (2021 en diminution de 9,71 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 00′ 55″ nord, 3° 27′ 17″ est
Altitude Min. 234 m
Max. 428 m
Superficie 23,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nevers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guérigny
Législatives Première circonscription
Localisation
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Billy-Chevannes est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de Billy-Chevannes, à 24 km à l’est de Nevers, fait partie de la communauté de communes Amognes Cœur du Nivernais. La commune s’étend sur 23 km², avec une densité de 15,1 habitants par km² (INSEE 2010). Son altitude varie entre un minimum de 234 mètres et un maximum de 428 mètres (colline du Bois-Château) pour une altitude moyenne de 331 mètres. Deux kilomètres séparent les deux bourgs constituant la commune (bourg de Billy, Chevannes), qui comprend également de nombreux hameaux.

Pays d'élevage, la commune offre des paysages très variés, alternant de grandes étendues forestières (Bois de Billy - zone Natura 2000 des Bocages, Forêts et Milieux humides des Amognes et du Bassin de La Machine[1]), des coteaux abrupts (Pranté, Dumphlun, le Mont) et un vaste paysage de bocages.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Andarge prend sa source à Billy-Chevannes (Le Bourg). D'une longueur totale de 26,5 km, cette rivière se jette dans l'Aron à Champvert, avant que celui-ci ne rejoigne la Loire entre Decize et Saint-Léger des Vignes. Cette rivière présente des fluctuations saisonnières de débit marquées. Les hautes eaux se déroulent en fin d'automne et, en hiver, se caractérisent par des débits mensuels moyens allant de 0,83 à 1,64 m3/s, de novembre à avril inclus (avec un maximum très net en janvier et surtout février). À partir du mois de mars, le débit baisse cependant progressivement, ce qui mène aux basses eaux d'été qui ont lieu de juillet à septembre inclus, s'accompagnant d'une baisse du débit mensuel moyen jusqu'au plancher de 0,078 m3/s au mois d'août (données de la station hydrologique de Diennes-Aubigny).

Billy-Chevannes compte de nombreux lavoirs d'intérêt patrimonial, notamment à Chevannes, Billy, Criens, Nanteuil, Bourguerault, Dumphlun et Semelin, pour lesquels la commune a engagé une importante action de restauration et de valorisation.

Villages, hameaux, lieux-dits, écarts[modifier | modifier le code]

  • Bois-Rétif
  • Bourguerault
  • Chevannes
  • Criens
  • Dumphlun
  • le Mont
  • Mussier
  • Nanteuil
  • Patry
  • Playnes
  • Prante
  • Semelin

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 061 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ourouer », sur la commune de Vaux d'Amognes à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 889,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,5 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Billy-Chevannes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nevers, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 93 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,8 %), prairies (32,4 %), forêts (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Billy : le nom (Bylliacum) pourrait provenir du gallo-romain bilia (bille de bois)

Chevannes : du bas-latin capanna, désignant une hutte et qui a donné le mot « cabane ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Billy-Chevannes s'élève sur un site occupé dès l'époque protohistorique, comme en témoignent certains sites identifiés au XIXe siècle (butte avec trace de défense d'occupation à Nanteuil[15], tumulus voisin dans la commune de Cizely au lieu-dit la Segangeotte[16]) ainsi que certains toponymes d'origine celte[17].

L’origine de la commune se trouve dans la motte située non loin de la route nationale, dans le pré dit du "Vieux Château", où s'élevait au Moyen Âge un château fort occupé par les seigneurs de Billy, probablement de la même famille que les Billy, vicomtes de Clamecy. Ils relevaient du seigneur de Châtillon-en-Bazois. Au XIVe siècle, Jean de Billy participe à la lutte contre l'invasion des Anglais contre lesquels il semble protéger les seigneurs alentour, notamment celui de Cizely, qui lui rend hommage à cette époque. Son fils, Philibert de Billy, marié à Jeanne de Saint-Aubin, fille du chambellan du roi et du duc de Bourgogne, fut un grand seigneur, qui répondit à l'appel du duc Jean sans Peur et participa à la reprise de Château-Chinon que les Armagnacs avaient envahi (1412).

Après la mort de Philibert de Billy (après 1418), sa fille Philiberte épouse Philibert de La Perrière, auquel elle apporte tous ses biens. Le château de Billy fut ensuite très endommagé au cours des combats qui reprirent à partir de l'assassinat de Jean sans Peur en 1419[18]. Le château est pris par les Anglais en 1428[19], sa ruine date probablement de cette époque (les derniers vestiges sont démantelés vers 1840). C'est désormais au château de Frasnay-le-Ravier que vivent les descendants de Philibert de La Perrière : son fils Claude et son petit-fils Gabriel de La Perrière (mort avant 1575), chevalier de l'ordre du roi, premier lieutenant-général en Nivernais, seigneur de Billy, Frasnay et Bazoches (par sa femme Charlotte de Montmorillon), aïeul du Maréchal de Vauban. Des cinq enfants de Gabriel de La Perrière, son fils Léonard reprend la seigneurie de Billy, qui passe ensuite à sa petite-fille, Chrétienne de La Perrière, épouse de Charles de Rémigny, baron de Joux, d'une ancienne famille de Bourgogne qui possédait la seigneurie de Joux-le-Châtel[18]

Au XVe siècle, alors que l'ancien château de Billy a été détruit pendant la guerre de Cent Ans, un autre château est construit plus au sud, à partir d'une ancienne tour de guet, sur le promontoire de Dumphlun. Construit par Philibert d'Anlezy, écuyer, homme d’armes en 1467, maître d’hôtel de la Comtesse de Nevers en 1475, mort avant 1489, il passera ensuite à Imbert d'Anlezy, vétéran des guerres d'Italie, l'un des cent gentilshommes de la Maison du Roi, auteur d'un Livre sur la Fortune dédié au jeune duc d'Alençon. Le château de Dumphlun restera dans cette importante famille du Nivernais jusqu'à la fin du XVIe siècle pour revenir ensuite par alliance à la famille de Cossaye, qui le vendra en 1642 à Paul-Louis de Remigny, fils de Charles de Rémigny et de Chrétienne de La Perrière, seigneur de Billy, époux de Catherine de Chastellux (1640, décédée en 1641) puis de Jeanne Bolacre (1645).

Aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle, la famille de Rémigny va considérablement agrandir le château de Dumphlun à partir de l'ancien corps de logis Renaissance. Jean-Baptiste François Angélique de Rémigny (1710-1787), également seigneur de Cigogne et de Saint-Franchy, élabore un grand projet architectural avec une nouvelle aile Logo monument historique Inscrit MH (1980) et des bâtiments de ferme aux grands volumes Logo monument historique Inscrit MH (2021), typiques des "fermes ornées" qui apparaissent alors en France. La famille de Rémigny disparaîtra peu après la Révolution française lors de laquelle plusieurs de ses membres seront guillotinés. Le marquis Angélique Louis Marie de Rémigny, inscrit sur la liste des émigrés, s'éteint en 1803, laissant un jeune fils qui mourra en 1821. Dumphlun est vendu en 1814 et sera ensuite la propriété des familles Boucher puis Guény.

S'agissant de Chevannes, il s'agit d'une ancienne paroisse qui relevait de l'archiprêtré de Châtillon-en-Bazois. Cette seigneurie dépendait des familles de Pracomtal et Doreau[18].

Vers 1791-1792, la commune de Chevannes-Gazeau est rattachée à celle de Billy. La nouvelle commune prend alors le nom de Billy-Chevannes et compte jusqu’à 1 107 habitants en 1861.

En 1867-1868, l'église Saint-Marcel est construite en remplacement d'une précédente église beaucoup plus ancienne. Elle est consacrée le 17 septembre 1868 par monseigneur Fourcade, évêque de Nevers.

À Chevannes demeure la très pure église romane Saint-Antoine, Logo monument historique Classé MH (1989). Endommagée par un incendie à la fin des années 1970, elle a depuis bénéficié de la mobilisation des habitants et de la commune pour sa restauration, avec la création de l'association "Chevannes dans le temps".

Billy-Chevannes n'a pas été épargné pendant la Deuxième Guerre mondiale, avec notamment l'incendie et la destruction du château de Playnes (XIXe siècle) par les troupes allemandes.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Billy-Chevannes appartient à la communauté de communes Amognes Cœur du Nivernais.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1932 1976 Robert Guény indépendant Président du conseil général de la Nièvre 1949-1964
1976 1995 Bernard Roy SE  
1995 2001 Jean Commaille    
2001 2014 Christian Caquard    
mars 2014 en cours Alain Vallet SE Suppléant du conseiller départemental DVD Marc Gauthier
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

En 2021, la commune comptait 307 habitants[Note 4], en diminution de 9,71 % par rapport à 2015 (Nièvre : −4,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8047637378458988651 0021 093990
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9721 1071 1021 0631 0461 054932900873
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
827769707601598489467463464
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
402369361288271276341350353
2017 2021 - - - - - - -
308307-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23]. |recens-prem=200.)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Château de Dumphlun.

Lieux et œuvres notables[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Antoine de Billy-Chevannes : très pure église romane à Chevannes, datant du XIe siècle. Elle présente une nef non voûtée, ainsi qu'une abside en cul de four étayée par des contreforts plats, Logo monument historique Classé MH (1989).
  • L'ancien cimetière n'a pas été déplacé et se trouve toujours autour de l'église, qui n'est plus consacrée au culte.
  • Église Saint-Marcel : actuelle église paroissiale qui date de la seconde moitié du XIXe siècle. De style roman, elle remplace un édifice beaucoup plus ancien à la construction contemporaine de celle de Chevannes. Elle renferme d'intéressantes œuvres d'art religieux :
    • Moine assis, en bois polychrome, qui provient de l'église Saint-Antoine de Chevannes où il se trouvait jusqu'en 1954. Il est Logo monument historique Classé MH (1913). Il a perdu sa main droite[24].
    • Vierge à l'Enfant, en bois polychrome, de style baroque, dans le goût espagnol provenant de l'église de Billy elle est exposée sur un autel à l'est du collatéral sud, elle est Logo monument historique Classé MH (1913)[25].
    • Saint Antoine, statue en pierre calcaire de la fin du XVe siècle, qui provient de l'ancienne église Saint-Antoine et transférée ici en 1954, elle possède des traces de polychromie, elle est Logo monument historique Classé MH (1913)[26].
    • Saint Christophe, pierre du XVe siècle, Logo monument historique Classé MH (1913). Elle était jusqu'en 1954 dans la nef de l'église Saint-Antoine de Chevannes[27].
  • Château de Dumphlun : château construit entre le XIVe siècle et le XVIIIe siècle[28], ayant appartenu à plusieurs grandes familles du Nivernais, notamment les familles d'Anlezy et Rémigny ; Logo monument historique Inscrit MH (1980) Notice no PA00112808, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture ; vaste ferme-modèle adjacente des XVIIe siècle et XVIIIe siècle Logo monument historique Inscrit MH (2021)[29] ; longue allée d'accès bordée de platanes Logo monument historique Inscrit MH (2021) ; ouvert à la visite[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Victor Gueneau (1835-1919), écrivain et historien français, consacra un important travail de recherche à l'histoire de Billy-Chevannes et de la seigneurie de Billy et Dumphlun.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. MNHN - INPN, « FR2601014 - BOCAGES, FORÊTS ET MILIEUX HUMIDES DES AMOGNES ET DU BASSIN DE LA MACHINE ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Billy-Chevannes et Vaux d'Amognes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Ourouer », sur la commune de Vaux d'Amognes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ourouer », sur la commune de Vaux d'Amognes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nevers », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Rachel Joly, Les enceintes protohistoriques, antiques et anhistoriques de la Nièvre : pré-inventaire et documentation, Clermont-Ferrand, Centre de recherche sur les civilisations antiques - Presses universitaires Blaise Pascal, (lire en ligne).
  16. Antoine Desforges, « Les Tumuli de la Nièvre », Bulletin de la Société préhistorique française,‎ , p. 12-23 et p.307-310 (lire en ligne).
  17. Georges de Soultrait, Dictionnaire topographique du Département de la Nièvre, Paris, Imprimerie Nationale, (lire en ligne), p.214.
  18. a b et c Victor Gueneau, Billy-Chevannes (Nièvre). Notice historique, Nevers, Société nivernaise des lettres, sciences et arts, .
  19. Paul, Jean et Henri Drouillet, Histoire de Saint-Benin d'Azy, Paris, Librairie Guénégaud, (lire en ligne), p. 57.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Anne-Sophie Blanchard, Trésors cachés des églises de la Nièvre, La Camosine, 1990, notice no 42, p. 61.
  25. Anne-Sophie Blanchard, op. cit., notice no 16, p. 32.
  26. Anne-Sophie Blanchard, op. cit., notice no 33, p. 52.
  27. Anne-Sophie Blanchard, op. cit., notice no 45, p. 65.
  28. Marcel Charmant (préface de), Châteaux et Manoirs du Nivernais, Caisse des Monuments et des Sites de la Nièvre (Camosine), , p.49-50.
  29. « La ferme de Dumphlun, à Billy-Chevannes, vient d’être inscrite aux Monuments historiques », Le Journal du Centre, 27 mars 2021.
  30. « Site de l'Association de sauvegarde de Dumphlun », sur chateaudedumphlun.com.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Victor Gueneau, Billy-Chevannes (Nièvre). Notice historique, Nevers, 1879.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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