Beychac-et-Caillau

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Beychac-et-Caillau
Beychac-et-Caillau
La mairie.
Blason de Beychac-et-Caillau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes Les Rives de la Laurence
Maire
Mandat
Philippe Garrigue
2020-2026
Code postal 33750
Code commune 33049
Démographie
Gentilé Beychacais-et-Caillalais
Population
municipale
2 590 hab. (2021 en augmentation de 19,85 % par rapport à 2015)
Densité 166 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 13″ nord, 0° 22′ 17″ ouest
Altitude Min. 10 m
Max. 84 m
Superficie 15,62 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Presqu'île
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Beychac-et-Caillau
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Beychac-et-Caillau
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Beychac-et-Caillau
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Beychac-et-Caillau
Liens
Site web www.beychac-cailleau.fr/ Site officiel

Beychac-et-Caillau (parfois orthographié Beychac-et-Cailleau[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune du nord de l'Entre-deux-Mers, dans la partie sud de la presqu'île formée par la confluence entre la Dordogne et la Garonne, Beychac-et-Caillau est également située dans le nord de l'aire d'attraction de Bordeaux et dans son unité urbaine, sur la route nationale 89, entre Bordeaux et Libourne. Elle est bordée à l'ouest par la Laurence, un ruisseau affluent de la Dordogne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Saint-Sulpice-et-Cameyrac, Sallebœuf, Montussan, Pompignac, Saint-Germain-du-Puch et Vayres.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 867 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1971 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records BEYCHAC ET CAIL (33) - alt : 40 m 44° 51′ 36″ N, 0° 21′ 12″ O
Records établis sur la période du 01-01-1971 au 31-12-2015
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,5 2,8 4,9 6,8 10,4 13,4 15,2 15,1 12,1 9,7 5,5 3,1 8,5
Température moyenne (°C) 6 7 9,8 12 15,7 18,9 21 21 18 14,5 9,4 6,5 13,4
Température maximale moyenne (°C) 9,5 11,3 14,7 17,2 21,1 24,4 26,7 26,9 23,8 19,2 13,2 10 18,2
Record de froid (°C)
date du record
−16
16.01.1985
−9,9
12.02.12
−11,5
01.03.05
−2,4
12.04.1986
1,3
06.05.02
2,8
01.06.06
7,2
11.07.04
5,6
31.08.10
1,4
25.09.02
−4,5
25.10.03
−8,4
17.11.07
−11,8
17.12.01
−16
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
19,7
13.01.1993
24,5
24.02.1990
27
20.03.05
30,6
24.04.07
33,7
30.05.01
39,8
26.06.11
38,4
18.07.06
40,3
04.08.03
37,6
03.09.05
31
06.10.09
25,6
08.11.15
22,1
16.12.1989
40,3
2003
Précipitations (mm) 79,6 64,4 62,2 78 71,3 59,9 52,5 53,4 68 79,7 92 91,7 852,7
Source : « Fiche 33049001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Beychac-et-Caillau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[12] et 1 008 509 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (42,7 %), forêts (18,4 %), zones agricoles hétérogènes (12,9 %), zones urbanisées (8,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,6 %), prairies (7,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Beychac-et-Caillau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2009, 2013 et 2021[20],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Beychac-et-Caillau.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 904 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 904 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003, 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune vient probablement de l’anthroponyme gallo-romain Bayssacus ou Bayssarius avec le suffixe latin de propriété -ac et du gascon cailhau qui signifie « caillou, pierre »[24]. En gascon, le nom de la commune est Baishac e Calhau. Sur son site internet, la commune orthographie le nom sous la forme « Beychac-et-Cailleau »[1]. L'Insee et les autres sources institutionnelles retiennent cependant la graphie « Beychac-et-Caillau »[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Il existe d'anciennes ruines gallo-romaines sur les territoires de Beychac-et-Caillau du côté du "Filotier".

C'est au Moyen Âge que se manifeste Cailhau à travers le prieuré du Casteret. Créé en l'an 1040-1050, il dépend des bénédictins de La Sauve-Majeure. Au cours de la guerre de Cent Ans, les paroisses de Beychac et de Caillau tombaient sous l'occupation anglaise. Après cet épisode, les cadres politiques se sont stabilisés permettant aux populations de se développer, de cultiver des terres et de créer de nouvelles richesses.

À la Révolution, la paroisse Saint-Marcel de Beychac forme la commune de Beychac et la paroisse Saint-Pierre de Caillau la commune de Caillau. En 1800, la commune de Caillau est rattachée à celle de Beychac qui devient Beychac-et-Caillau[26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune de Beychac-et-Caillau fait partie de l'arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune est transférée du canton de Cenon modifié au nouveau canton de la Presqu'île[27],[28]. Beychac-et-Caillau fait également partie de la communauté de communes du Secteur de Saint-Loubès.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1959 Roger Gelly    
1959 1965 André Bellecule    
1965 1983 Roger Gelly    
1983 1989 Philippe Garrigue PS  
1989 1990 Francis Brachet    
1990 1991 Jean-Claude Descourtis    
1991 En cours Philippe Garrigue[29] PS Retraité Fonction publique
Président de la Communauté de Communes
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Beychacais-et-Caillalais[30].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32]. En 2021, la commune comptait 2 590 habitants[Note 6], en augmentation de 19,85 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
192159408548523630620623604
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
635645636711695665671670686
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
666711669638629653645686697
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
7117319761 4681 6111 7821 9031 9202 008
2017 2021 - - - - - - -
2 2272 590-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Beychac-et-Caillau est établi sur un sol varié des terres argilo-calcaires, argilo-siliceuses ou argilo-graveleuses toutes assez fertiles qui a permis, pendant longtemps, à la commune de vivre de sa propre production. Aujourd'hui, l'agriculture n'assure plus la subsistance de la population ; on a assisté progressivement à l'implantation de la culture quasi-exclusive de la vigne. La production viticole représente un des éléments de valorisation incontestables du territoire de la commune.

L'implantation du Syndicat Viticole des bordeaux et bordeaux-supérieur (Planète Bordeaux) en 1979 participe également à cette valorisation.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Beychac-et-Caillau Blason
De pourpre à la bande d'or chargée en cœur d'une grappe de raisin d'or tigée et ombrée du champ et posée à plomb, accompagnée en chef d'un faucon contourné d'argent et en pointe des deux églises du lieu aussi d'argent et ajourées de sable, en perspective cavalière et rangées en bande[35].
Détails
Les deux églises sont l'église Saint-Marcel de Beychac en haut à gauche et l'église Saint-Pierre de Caillau en bas à droite.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Beychac-et-Cailleau », sur beychac-cailleau.fr.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 33049001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Beychac-et-Caillau », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Beychac-et-Caillau », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. Beychac-et-Caillau sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 6 novembre 2014.
  25. « Commune de Beychac-et-Caillau (33049) », sur insee.fr.
  26. Historique des communes, p. 6, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde
  27. Décret no 2014-192 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Gironde sur le site de Légifrance
  28. Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du conseil départemental de la Gironde
  29. Commune de Beychac-et-Caillau sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 30 août 2013.
  30. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Blason de Beychac-et-Caillau sur Armorial de France