Béthines

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Béthines
Béthines
Église Saint-Pierre de Béthines
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes Vienne et Gartempe
Maire
Mandat
Yves Jeanneau
2020-2026
Code postal 86310
Code commune 86025
Démographie
Gentilé Béthinois
Population
municipale
472 hab. (2021 en diminution de 0,63 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 32′ 52″ nord, 0° 58′ 36″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 146 m
Superficie 37,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Blanc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montmorillon
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Béthines
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Béthines
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Béthines

Béthines est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Béthinois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à une altitude moyenne de 115 mètres. Béthines est entouré par les communes de Villemort, Haims et Concremiers. Les grandes villes les plus proches sont Châtellerault et Poitiers distantes respectivement de 45 et 48 km.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La région de Béthines présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[2] :

  • de groies profondes, dans le cas présent, qui sont des terres du Sud-Ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite. Elles couvrent 54 % du territoire communal et se trouvent dans les plaines,
  • de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse)(pour 22 %), d'argile à silex peu profonde (pour 18 %) et de terres fortes (pour 5 %) sur les plateaux du Seuil du Poitou.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par le Salleron sur une longueur de 9 km où il y eut autrefois jusqu'à 7 moulins.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 766 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montmorillon à 15,66 km à vol d'oiseau[6], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Les gares les plus proches de Béthines se trouvent à Montmorillon (16,44 km), Lathus-Saint-Rémy (23,32 km) et à Lussac-les-Châteaux (25,27 km).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Béthines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Blanc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,3 %), forêts (17,5 %), zones agricoles hétérogènes (12,3 %), prairies (6,1 %), zones urbanisées (0,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Béthines est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Salleron. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2010 et 2016[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Béthines.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[19]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Béthines accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution[22].

En 1793, le nom de la commune est Bethines puis Berthine en 1801.

En 1943, le maire Adrien André est révoqué par Vichy car il s’opposait à ce que le portrait du maréchal Pétain soit accroché dans la mairie[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Béthines est rattachée à la communauté de communes du Montmorillonnais.

Béthines est dans le canton No 25 de Saint-Savin, dans la 3e circonscription du département Vienne.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1933 1965 Adrien André Rad. ind. député sénateur
révoqué par le régime de Vichy
1965 1983 Pierre Guillemain    
1983 1986 Jean Guillemain    
1986 1995 Claude Perrin DVD  
1995 2001 René David    
mars 2001[24] En cours Yves Jeanneau    

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics[modifier | modifier le code]

Les réformes successives de la Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 472 habitants[Note 4], en diminution de 0,63 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1101 3671 1271 4431 2461 3121 2301 2861 320
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2781 2481 2481 1881 1701 1651 1591 2031 158
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1101 1331 118943956954976888902
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
900758647616541512490486480
2017 2021 - - - - - - -
473472-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, la densité de population de la commune était de 13 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 493 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (12 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 481.

La diminution de 5 % de la population de la commune de 1999 à 2006 s’intègre dans une évolution générale à l’ensemble des communes rurales du département de la Vienne. Les zones rurales perdent de leurs habitants au profit d’une vaste région circonscrite autour des deux grandes métropoles du département : Poitiers et Châtellerault, et plus particulièrement au profit des cantons limitrophes de la préfecture.

La répartition par sexe de la population est, selon l'Insee, la suivante:

  • en 1999 : 49,3 % d'hommes et 50,7 % de femmes.
  • en 2007 : 49,4 % d'hommes et 50,6 % de femmes.

Selon l'Insee, en 2007 :

  • Le nombre de célibataires était de : 33,7 % dans la population,
  • Les couples mariés représentaient 47,8 % de la population,
  • Les divorcés représentaient 4,6 % de la population,
  • Le nombre de veuves et veufs était de 13,9 %.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

L'économie locale se caractérise par la culture et la production animale.

Les AOC du territoire sont les beurres de Charente-Poitou, des Charentes et des Deux-Sèvres.

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 33 exploitations agricoles en 2010 contre 39 en 2000[29].

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 3 539 hectares en 2000 à 3 346 hectares en 2010. 46 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 29 % pour les oléagineux (colza pour les 3/4 et 1/4 pour le tournesol), 13 % pour le fourrage et 5 % reste en herbes. En 2010,un hectare (2 en 2000) est consacré à la vigne[29].

13 exploitations en 2010 (contre 12 en 2000) abritent un élevage de bovins (784 têtes en 2010 contre 655 têtes en 2000). 3 exploitations en 2010 (contre 5 en 2000) abritent un élevage de chèvres (976 têtes en 2010 contre 452 têtes en 2000). L'élevage d'ovins a connu une baisse importante : 1 192 têtes en 2000 répartis sur 13 fermes contre 869 têtes en 2010 répartis sur 8 fermes[29]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[30]. L'élevage de la volaille est peu importante : 189 têtes en 2010 contre 251 têtes en 2000 sur un nombre presque identique de fermes : 12 en 2010 contre 13 en 2000[29].

Artisanat[modifier | modifier le code]

Sur la commune se trouve une entreprise de fabrication et de restauration d'orgues, "Béthines les orgues".

Activité[modifier | modifier le code]

Le taux d'activité était de 71,1 % en 2007 et 66,3 % en 1999.

Le taux de chômage en 2007 était de 7,8 % et, en 1999, il était de 6,9 %.

Les retraités et les pré-retraités représentaient 37,2 % de la population en 2007 et 31,9 % en 1999.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Une croix de 9,80 m datant de l'époque de la Restauration, avec les outils de la passion du Christ[31] travail réalisé par le compagnonnage[32]. Le socle de cette croix, en pierre, date probablement du XVIIe car une croix existait, en effet, sur la place avant la Révolution. Elle a fait place alors à un tilleul : l'arbre de la liberté. En 1822, l'abbé Jean Poulet rétablit celle-ci en souvenir de la mission qu'il avait fait donner[33],[34]. Elle fut bénie par M. Maury, curé doyen de Saint-Savin. L'arbre ne disparut du côté de la croix qu'en 1947. Le bois de la croix a du être remplacé plusieurs fois : dès 1842 et la dernière fois fut en 1958. La tempête de 1999 a arraché l'échelle et l'éponge
    La croix de Béthines.
    . Depuis le XVIIe siècle, des croix de mission sont édifiées à l'occasion de missions populaires dans les villages et les bourgs. Les plantations de ces croix deviennent fréquentes à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, notamment à partir de 1905, en réaction à la laïcisation de la société.
  • L'église Saint-Pierre-ès-Liens, date de la première moitié du Xe siècle, époque des prêtres Dodon et Israël où Bétines est alors vicus. Elle aurait été fondée par saint Martial. En 1184, elle fait partie de l'abbaye de Saint-Savin-sur-Gartempe qui nomme le curé de Béthines. Elle est inscrite comme Monument Historique depuis 1937 pour son clocher octogonal en pierre[35], datant du XIIe siècle. À l'intérieur de l'église se trouve une vierge à l'enfant, don d'Elisabeth Bichier des Ages, fondatrice des Filles de La Croix[36].
L'église de Béthines en avril 2012.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Deux espaces naturels de la commune bénéficient de protections issues d'engagements internationaux relevant de la directive habitats-faune-flore. Ces espaces représentent 2 % de la surface communale et il s'agit de la vallée de l'Anglin et de celle du Salleron.
  • Le lieu-dit le Paradis est classé comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[39] et couvre 1 % de la surface communale.

Vallée du Salleron[modifier | modifier le code]

La vallée du Salleron est un site classé zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[39]. Le site intègre une grande partie du cours de la rivière qui est un affluent de l’Anglin ainsi que ses affluents. Le Salleron est une petite rivière d’eaux vives avec une forte dénivellation depuis ses sources jusqu’à la confluence avec l’Anglin. Ses eaux sont de bonne qualité et bien oxygénées. Son lit est riche en sédiments grossiers (sables et graviers). Son bassin versant est à dominante forestière et bocagère et il est encore peu touché par l’intensification agricole.

L’intérêt biologique du site, qui justifie son classement et sa protection, réside dans la présence importante de la Lamproie de Planer qui est un poisson menacé de disparition dans toute l’Europe. La Lamproie de Planer exige des eaux de très bonne qualité et des sédiments à granulométrie moyenne à grossière pour vivre et se reproduire.

De nos jours, les principales menaces sur cet environnement fragile sont: un ralentissement anormal du courant qui modifierait le tri mécanique des sédiments, ou une pollution chimique (toxiques, métaux lourds) ou organique (eutrophisation par surcharge des eaux en nutriments provoquant une pullulation d’algues et une réduction de l’oxygène dissous). La création d’étangs destinés à la pêche le long du cours du Salleron constitue un risque important du aux vidanges des étangs. Elles pourraient, en effet, transférer des maladies aux lamproies, provoquer un réchauffement des eaux du Salleron et introduire des espèces piscicoles exotiques. De même, la transformation des prairies naturelles du bassin versant en cultures céréalières intensives pourrait avoir d’importantes répercussions sur la balance trophique et sédimentaire des eaux (apport d’engrais et de produits phytosanitaires), voire, en cas d’irrigation, sur les débits en période d’étiage.

La présence d’une petite population de Cistude d’Europe, une espèce de tortue, est un autre facteur important justifiant la protection du site. Cette tortue aquatique connaît, en effet, un déclin alarmant dans toute l’Europe de l’Ouest. Elle est victime de la disparition des zones humides ou de leur fragmentation, de la dégradation de la qualité des eaux et de l’introduction d’espèces exotiques comme la Tortue de Floride, les écrevisses américaines, ou le ragondin.

Musée et site remarquable à proximité[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Chatel de Brancion (Laurence) [dir.], Val de Creuse et Val d'Anglin. Nature et patrimoine. Guide, Bélâbre, Histaval, 2023, p. 77-78 (notice de Jean-Pierre Surrault).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
  2. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Béthines et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Montmorillon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Montmorillon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Blanc », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Béthines », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 195.
  23. Jean-Henri Calmon, Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, La Crèche, Geste éditions, coll. « 30 questions », , 63 p. (ISBN 2-910919-98-6), p. 25.
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  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. a b c et d Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  30. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
  31. La croix de mission de Béthines
  32. « villagesdefrance.free.fr/dept/… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  33. (en) « Carte de France », sur Bakchich -, (consulté le ).
  34. (en) « HugeDomains », sur HugeDomains (consulté le ).
  35. « Eglise Saint-Pierre-ès-Liens », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  36. (en) « HugeDomains », sur HugeDomains (consulté le ).
  37. Gwenaël Murphy, Le peuple des couvents : Poitou XVIIe – XVIIIe siècles, Geste éditions, coll. « Pays d'histoire », , 286 p. (ISBN 9782845612921), p. 222
  38. « Impasse du Prieuré, Béthines », sur rues.openalfa.fr (consulté le )
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  40. « Activités »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur tourisme-vienne.com (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]