Betchat

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Betchat
Betchat
La Poste et la Mairie de Betchat.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Saint-Girons
Intercommunalité Communauté de communes Couserans-Pyrénées
Maire
Mandat
Patrick Galy
2020-2026
Code postal 09160
Code commune 09054
Démographie
Gentilé Betchatois
Population
municipale
356 hab. (2021 en augmentation de 15,58 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 05′ 35″ nord, 1° 00′ 46″ est
Altitude Min. 296 m
Max. 491 m
Superficie 22 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Girons
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Portes du Couserans
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Betchat
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Betchat
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Voir sur la carte topographique de l'Ariège
Betchat
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Betchat

Betchat est une commune forestière, située en limite ouest du département de l'Ariège en région Occitanie.

Localisée dans le nord-ouest du département, la commune fait partie, sur le plan historique et culturel, du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne). Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lens, le Lavin, le ruisseau de Belloc, le ruisseau de Soumet et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Betchat est une commune rurale qui compte 356 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 437 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons. Ses habitants sont appelés les Betchatois ou Betchatoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Cartographies interactive et OpenStreetMap
Carte
La commune dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
  1. Carte dynamique
  2. Carte Openstreetmap
  3. Carte topographique
  4. Carte avec les communes environnantes


La commune de Betchat se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 50 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 16 km de Saint-Girons[2], sous-préfecture, et à 14 km de Saint-Lizier[3], bureau centralisateur du canton des Portes du Couserans dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-du-Salat[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Marsoulas (1,9 km), Escoulis (2,7 km), Touille (3,4 km), Cassagne (4,0 km), La Bastide-du-Salat (4,5 km), Salies-du-Salat (4,5 km), Belbèze-en-Comminges (4,7 km), His (4,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Betchat fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[5].

Betchat est limitrophe de douze autres communes dont quatre dans le département de la Haute-Garonne. Les communes limitrophes sont Bagert, La Bastide-du-Salat, Bédeille, Cérizols, Fabas, Lacave, Mercenac, Prat-Bonrepaux, Cassagne, Marsoulas, Touille et Escoulis.

Commune des Pyrénées située dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, elle est limitrophe avec le département de la Haute-Garonne au nord-ouest et à l'ouest[6].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Elle est marquée par le front du chevauchement frontal nord-pyrénéen qui la traverse d'est en ouest, séparant la Zone nord-pyrénéenne (ZNP) au sud de la Zone sous-pyrénéenne (ZSP) au nord, qui constitue la frange sud du Bassin aquitain. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant pour certaines du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma, et pour d'autres du Paléozoïque, une ère géologique qui s'étend de −541 à −252,2 Ma (millions d'années). La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1055 - Saint-Gaudens » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7],[8] et sa notice associée[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 22 km2[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est la même[8].L'altitude du territoire varie entre 296 m et 491 m[13].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Betchat.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Lens, le Lavin, le ruisseau de Belloc, le ruisseau de Soumet, un bras du Lens, le ruisseau de Saint-Béat, le ruisseau des pradous et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 33 km de longueur totale[15],[16].

Le Lens, d'une longueur totale de 25,6 km, prend sa source dans la commune de Lasserre et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Salat à Mazères-sur-Salat, après avoir traversé 10 communes[17].

Le Lavin, d'une longueur totale de 11,3 km, prend sa source dans la commune de Betchat et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Salat à Mazères-sur-Salat, après avoir traversé 6 communes[18].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[19]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[20].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 918 mm, avec 9,6 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cérizols à 6 km à vol d'oiseau[21], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 976,4 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[25],[26].

La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973 ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d’Estats, le mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[27].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[28] : « le Salat et le Lens » (712 ha), couvrant 32 communes dont 21 dans l'Ariège et 11 dans la Haute-Garonne[29] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[28] : les « coteaux de l'ouest du Saint-Gironnais » (7 504 ha), couvrant 17 communes dont 13 dans l'Ariège et 4 dans la Haute-Garonne[30].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Betchat est une commune rurale[Note 5],[31]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[32].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,1 %), zones agricoles hétérogènes (24,8 %), prairies (17,1 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux[modifier | modifier le code]

Hameaux : Belloc, Bernadat, Bousquet, Blanque, Charlat, Clouzet, Hourtigué, Jourdain, Lamonge, Lasserre, Montaut, Pamolle, Soulagnet,

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 265, alors qu'il était de 256 en 2013 et de 245 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 63,4 % étaient des résidences principales, 23,4 % des résidences secondaires et 13,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,9 % des appartements[I 5].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Betchat en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (23,4 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (83,8 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].

Le logement à Betchat en 2018.
Typologie Betchat[I 5] Ariège[I 7] France entière[I 8]
Résidences principales (en %) 63,4 65,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 23,4 24,6 9,7
Logements vacants (en %) 13,2 9,7 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Accès avec les routes départementales D 34 et D 233.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Betchat.

Le territoire de la commune de Betchat est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[34],[35].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[36].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Betchat[37]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[38].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

La grotte de Roquecourbère se trouve dans le nord de la commune en rive gauche (côté sud) du Lens[39]. Sa longueur est d'environ 30 à 35 m[40]. Elle a été occupée au Moustérien, au Solutréen et au Magdalénien. C'est l'un des trois sites solutréens connus en 2000 dans les Pyrénées, avec l'abri des Harpons et la grotte des Rideaux qui font partie de l'ensemble des grottes de Lespugue en Haute-Garonne. Elle a malheureusement été complètement vidée par J. Cazedessus en 1927 ; toute sa collection a été vendue au musée Field de Chicago. Le comte Henri Bégouën a cependant réussi à collecter une trentaine de belles pièces lithiques, qui se trouvent au musée d'histoire naturelle de Toulouse[39]. Les pièces solutréennes sont principalement du type « feuille de laurier », à différents stades de façonnage[41], utilisant du silex « bleu » des Pyrénées. Trois pièces sont faites de silex de provenance éloignée : deux feuilles de laurier dont une entière et une cassée viennent d'un gîte à silex de type « Hibarette[Note 7] » (à environ 100 km à l'ouest, au sud de Tarbes[43]) ; et la matière première d'une pièce foliacée asymétrique du « type de Montaut provient des gîtes de Tercis dans les Landes (à environ 220 km ouest-nord-ouest[44]). La quantité des pièces collectée indique une activité de taille importante dans la grotte[45].
Des gravures pariétales y sont découvertes en 1975[39] par Robert Simonnet : un petit panneau sur la paroi gauche près de l'entrée de la grotte, comportant des traits et inscriptions[40] dont une rouelle[46], et un bouquetin au centre[47] mesurant 15,4 cm du museau à la croupe ; les contours du dos et du bout du museau sont représentés par des fissures de la roche[46]. Le style rappelle celui des gravures de certains bouquetins solutréens de l'Ardèche. Mais une analyse approfondie révèle que cette gravure est moderne[48].

Au pied de la falaise portant la grotte se trouve un atelier de plein-air couvrant plusieurs hectares, daté du début de l'Aurignacien dans les années 1930[49] mais une réévaluation de son industrie en 2000 donne ce site pour un solutréen[45].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Après la révolution, 100 à 140 bateaux par an étaient construits à Lacave avec des bois d'œuvre de la forêt de Betchat. Ils étaient acheminés vers Toulouse par le Salat, puis la Garonne[50].

Au 19° siècle, il y avait à Betchat une étude de Notaire:

1863 Maître Floréal Durégne , Notaire.

1884 Maître Victor Durégne, Notaire.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Un maquis a fonctionné sur Betchat, attaqué par les Allemands le 10 juin 1944[51].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Betchat est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[52].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Portes du Couserans pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[53].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[54],[55].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avril 1945 mai 1964 Jean Durroux SFIO Député
mars 2001 2008 Paul Durroux    
mars 2008 2014 André Courset    
mars 2014 En cours Patrick Galy SE Agent technique

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[57].

En 2021, la commune comptait 356 habitants[Note 8], en augmentation de 15,58 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0109449981 1051 3941 4131 3921 4171 437
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3421 2771 3301 2601 2241 2121 2241 2351 222
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2131 2111 120819813730633595503
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
448418386307314293348364319
2018 2021 - - - - - - -
346356-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[60] 1975[60] 1982[60] 1990[60] 1999[60] 2006[61] 2009[62] 2013[63]
Rang de la commune dans le département 74 78 83 89 94 87 85 100
Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

Enseignement[modifier | modifier le code]

Betchat compte une école primaire publique, et fait partie de l'académie de Toulouse.

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Chasse, randonnée,

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La déchetterie la plus proche se trouve au lieudit Casséjoul, à Mercenac.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 167 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 327 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 760 [I 10] (19 820  dans le département[I 11]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 12] 4,8 % 9,9 % 8,5 %
Département[I 13] 8,9 % 11,1 % 11,2 %
France entière[I 14] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 188 personnes, parmi lesquelles on compte 70,2 % d'actifs (61,7 % ayant un emploi et 8,5 % de chômeurs) et 29,8 % d'inactifs[Note 10],[I 12]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Girons, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 15]. Elle compte 28 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 31 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 118, soit un indicateur de concentration d'emploi de 23,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,7 %[I 16].

Sur ces 118 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 20 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 84,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 4,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

15 établissements[Note 11] sont implantés à Betchat au [I 19]. Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 15 entreprises implantées à Betchat), contre 8,8 % au niveau départemental[I 20].

Restaurant à Betchat.
Halle au centre de Betchat.
  • Bar-restaurant-gîte de groupe Le Bistrot de Betchat, au village.
  • Coutellerie artisanale La Forge de Soulagnet, couteaux L'Estelas et le Couserannais.
  • Élevage biologique de vaches de la race locale casta longtemps menacée de disparition, à la ferme du Pioulet.
  • Fromages biologiques de chèvre et poules pondeuses, à Belloc.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région sous-pyrénéenne »[64]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'herbivores hors bovins, caprins et porcins[65].

1988 2000 2010
Exploitations 31 20 15
Superficie agricole utilisée (ha) 793 771 651

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 31 lors du recensement agricole[Note 13] de 1988 à 20 en 2000 puis à 15 en 2010[65], soit une baisse de 52 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[67]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 793 ha en 1988 à 651 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 26 à 43 ha[65].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Le château de Castelbon à l'écart du village
L'église Saint-Ferréol

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château de Castelbon, sur des bases du XIIe siècle et agrandi aux XIVe, XVIe et XVIIIe siècles. Actuellement habité et utilisé en chambres d'hôtes et salle de réception.
  • Église Saint-Ferréol de Betchat datant du XIIe siècle, remaniée (incendiée, réparée en 1914), elle abrite des marbres, des peintures dans son chœur ainsi qu'un christ du XIVe siècle et un sarcophage.
  • Église Sainte-Luce de Belloc.
  • Halle au centre du village.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • François Joseph de Saint-Jean (1744-1825), maréchal de camp de la Révolution française, se retire au château de Castelbon et devient maire.
  • Oscar Auriac (1878-1949)[68], philosophe né à Betchat, inspecteur général de l'instruction publique.
  • Jean Durroux, député de l'Ariège de 1946 à 1962, né sur la commune le .

Héraldique[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Denis Cucuron et Jean-Paul Ferré, Ceux de Betchat dans la Grande Guerre, 2019, éditions Eth Ostau Comengés.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les ateliers de plein air d'Hibarette (Hautes-Pyrénées) ont exploité le silex du flysch de Montgaillard depuis le Paléolithique moyen jusqu'au Néolithique[42]. Voir l'article « Hibarette », section « Préhistoire ».
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[66].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Betchat » (consulté le ).
  2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Betchat - Section LOG T2 » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Betchat - Section LOG T7 » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
  9. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Betchat » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Betchat » (consulté le ).
  11. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
  12. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Betchat » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
  14. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  16. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Betchat » (consulté le ).
  17. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  18. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  19. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Betchat » (consulté le ).
  20. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Betchat et Foix », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Betchat et Saint-Girons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Betchat et Saint-Lizier », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Betchat », sur www.villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 300-301.
  6. a et b « Betchat, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  7. « Carte géologique de Betchat » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
  8. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Betchat », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  9. « Notice associée à la feuille n°1055 - Saint-Gaudens de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Betchat », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  13. Source : Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
  14. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Betchat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  16. « Carte hydrographique de Betchat » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
  17. Sandre, « le Lens »
  18. Sandre, « le Lavin »
  19. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  20. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  21. « Orthodromie entre Betchat et Cérizols », sur fr.distance.to (consulté le ).
  22. « Station Météo-France « Cerizols » (commune de Cérizols) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  23. « Station Météo-France « Cerizols » (commune de Cérizols) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  24. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  25. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  26. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. [PDF]« Le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises - Diagnostic - partie 1. », sur parc-pyrenees-ariegeoises.fr (consulté le ).
  28. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Betchat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  29. « ZNIEFF « le Salat et le Lens » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  30. « ZNIEFF les « coteaux de l'ouest du Saint-Gironnais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  31. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  33. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  34. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Liste des risques par commune.
  35. « Les risques près de chez moi - commune de Betchat », sur Géorisques (consulté le ).
  36. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  37. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  38. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Betchat », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  39. a b et c [Foucher & San Juan 2000] Pascal Foucher et Cristina San Juan, « La grotte de Roquecourbère (Betchat, Ariège) : ses industries lithiques solutréennes et la révision critique de son art pariétal », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 97, no 2,‎ , p. 199-210 (lire en ligne [sur persee]), p. 199.
  40. a et b Foucher & San Juan 2000, p. 206.
  41. Foucher & San Juan 2000, p. 201.
  42. [Barragué et al. 2001] Jean Barragué, Élisabeth Barragué, Marc Jarry, Pascal Foucher et Robert Simonnet, « Le silex du Flysch de Montgaillard et son exploitation sur les ateliers du Paléolithique supérieur à Hibarette (Hautes-Pyrénées) », Paléo, no 1,‎ , p. 29-52 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté en ).
  43. « Trajet et distance Betchat / Hibarette », sur google.fr/maps (consulté en ).
  44. « Trajet et distance Betchat / Tercis-les-Bains », sur google.fr/maps (consulté en ). Tercis est à 5 km au sud-ouest de Dax.
  45. a et b Foucher & San Juan 2000, p. 205.
  46. a et b Foucher & San Juan 2000, p. 208.
  47. Foucher & San Juan 2000, p. 207.
  48. Foucher & San Juan 2000, p. 209.
  49. [Bégouën & Townsend Russell 1933] Henri Bégouën et J. Townsend Russell, La campagne de fouilles de 1931, à Marsoulas, Tarté et Roquecourbère, Toulouse, éd. É. Privat, , 19 p. (présentation en ligne). Lire en ligne le rapport de Russell sur ces fouilles : [1932] (en) J. Townsend Russell, « Report on archaeological research on the foothills of Pyrenees », Smithsonian miscellaneous collections, Washington, vol. 87, no 11,‎ (lire en ligne [sur babel.hathitrust.org], consulté le ) ; Roquecourbère : p. 5.
  50. Serge Moreau, « Batellerie sur le Salat », Le guide du Couserans,‎ édition 1998-99, page 70
  51. « Histoire et mémoires de la Seconde Guerre mondiale », sur resistance-ariege.fr (consulté le ).
  52. « communauté de communes Couserans-Pyrénées - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  53. « Découpage électoral de l'Ariège (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  54. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  55. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  56. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  57. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  58. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  60. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  61. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  62. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  63. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  64. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  65. a b et c « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Betchat - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  66. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  67. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Ariège » (consulté le ).
  68. « Oscar Auriac ».