Bertrand Burgalat

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Bertrand Burgalat
Bertrand Burgalat en 2008.
Biographie
Naissance
(60 ans)
Bastia (Corse)
Nom de naissance
Bertrand Jean Albert Louis BurgalatVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Bertrand BurgVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Père
Yves-Bertrand Burgalat (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Distinction

Bertrand Burgalat est un producteur, musicien, compositeur, arrangeur et chanteur français, né le à Bastia.

Il a travaillé à près de 200 disques[1], composé pour Marc Lavoine, arrangé Supergrass et remixé Depeche Mode. Au cinéma, il a signé les musiques de films de Valérie Lemercier et d'Eva Ionesco. Interprète, il a publié dix albums sous son nom, dont le dernier le 11 juin 2021, Rêve Capital.

Biographie[modifier | modifier le code]

Famille et enfance[modifier | modifier le code]

Né en 1963, Bertrand Burgalat est le fils d'un haut fonctionnaire — son père, Yves-Bertrand Burgalat[2], originaire des Pyrénées, exerce, au moment de sa naissance, la fonction de sous-préfet en Haute-Corse. Sa mère, Jacqueline Drozin[3] est d'une famille de musiciens, chanteurs surtout[4]. Arrivé d’Espagne, son arrière-grand-père maternel, Paul Arjo[réf. souhaitée], a créé à Agen « le plus vieux quotidien local français », Le Petit Bleu[5].

Yves-Bertrand Burgalat est nommé ensuite préfet du Haut-Rhin ; Bertrand y demeure jusqu’à ses 12-13 ans, avant que sa famille ne déménage à Bobigny[5], où son père devient préfet de Seine-Saint-Denis. En 1977, Yves-Bertrand Burgalat est muté dans le département de la Corse-du-Sud[6]. À 15 ans, ses parents l’envoient faire des études en Angleterre, au lycée français de Londres[5]. Il rentre en France lorsque son père est nommé préfet de la région Bourgogne, en 1979[5]. Durant sa scolarité à l'école annexe de Colmar, il découvre le rock et décide de faire carrière dans la musique. Son premier choc musical vient lors d'un concert de Pink Floyd à Colmar en 1974[4].

Politique[modifier | modifier le code]

Bertrand Burgalat s’intéresse très jeune à la politique ; selon lui, cette inclination débute vers l’âge de 10 ans, au moment de la présidentielle de 1974[5]. Le fait qu’il ait vécu avec un père préfet et qu’il ait baigné dans cette atmosphère particulière l’aurait poussé à s’intéresser à ce sujet[5]. Enfant, il rencontre de nombreuses personnalités du monde politique. À ce moment, alors qu’il grandit dans le Haut-Rhin, près de la centrale de Fessenheim en construction, il s’intéresse à l’écologie[5]. Très jeune, il défend les droits de l’homme. Lorsqu’il arrive à Bobigny, il est confronté au milieu communiste, mais il explique qu’il a des difficultés à y adhérer[5].

Lorsque son père est nommé à Dijon, même si Bertrand Burgalat s’installe à Paris, il y revient le week-end. C’est à ce moment qu'à Dijon, il fréquente de jeunes fascistes[5]. Néanmoins, il confie au magazine Charles qu’il n’est pas au courant de leurs idées politiques et qu’à l’époque, il lit Jean-François Kahn et Les Nouvelles littéraires, plutôt à gauche[5]. Progressivement, il adhère aux idées d'extrême droite et lit des journaux comme Éléments, Aspects de la France, Totalité[5]. Là encore, il sent que ça ne lui correspond pas totalement, il admet avoir des « aspirations contradictoires » à « concilier »[5]. Finalement, il côtoie les solidaristes du cercle Louis-Rossel. Il explique qu’il a eu besoin d’aller vers ces mouvances, même sans y adhérer, afin de « défier » son père[5].

Durant sa jeunesse, il milite donc à l'ultra-droite, dans la mouvance nationaliste révolutionnaire[7],[8]. Selon le journaliste René Monzat, Bertrand Burgalat a été membre, dans les années 1980, du mouvement d'extrême droite Troisième Voie, dirigé par Jean-Gilles Malliarakis[9]. Dans la même période, il écrit dans Le Choc du mois sous le pseudonyme de « Bertrand Burg »[10].

En 1999, Bertrand Burgalat déclare dans une interview accordée aux Inrockuptibles : « J'ai fait des conneries. (...) [Vers 18 ans], tu peux faire vraiment des grosses conneries, des trucs dangereux, violents. Y compris sur des histoires politiques... Je ne m'en vante pas : non pas sur le plan moral, mais parce que je n'ai absolument aucune nostalgie pour cette période de ma vie »[11]. Il voyage en Yougoslavie avec le groupe Laibach[5]. Ce dernier accompagne en musique les événements du journal des jeunesses communistes Mladina.

Lorsqu’il rentre en France, Bertrand Burgalat soutient des idées comme « l’économie dirigée, le volontarisme d’État et le colbertisme »[5]. Au début des années 1990, il remet en cause les idées d’extrême droite qui l’avaient attiré pendant un temps[5]. De retour de Yougoslavie, il rédige les discours de Xavier Dugoin, président du conseil général de l’Essonne[12]. Il reprend la musique, en parallèle, avec le groupe Laibach, il est remercié par le conseil général de l’Essonne car il ne s’y rend presque plus. Il travaille quelque temps pour Michel Pelchat, député de l’Essonne[12]. Après cette expérience en politique, sa réflexion sur le milieu s’est étoffée et il part du principe que « la décentralisation doit être accompagnée de contre-pouvoirs forts »[12]. La leçon qu’il tire de ces années en politique est la suivante : « Ce qui m’a également sidéré, c’est l’incroyable médiocrité de la plupart des cadres et des dirigeants de droite que j’ai croisés (…). Là, le seul moteur, c’était l’ambition. Aucune vision, aucune pensée. »[12]. Désormais, il affirme voter « toujours PS aux élections locales » car c’est « parce qu’un de [ses] meilleurs amis, Jean-François Legaret, est maire UMP du Ier arrondissement. Je suis électeur dans le XVIIe où, depuis (Françoise) de Panafieu, il y a une longue tradition d’andouilles de droite. Alors, je vote socialiste, pour que le score de Legaret paraisse comparativement élevé »[5]. Il dit aussi aimer « la gauche gentille », ayant une « tendance à être libéral »[5] et affirme avoir « beaucoup de mal avec le marketing de droite (…) et de gauche »[5].

Carrière musicale[modifier | modifier le code]

Peu satisfait de ses débuts, et confronté dans les années 1980 à un « vide existentiel », Bertrand Burgalat se rend en 1987 en Slovénie et y rencontre le groupe Laibach auquel il présente Francky Vincent et dont il devient l'arrangeur et le producteur[13]. Revenu en France au début des années 1990, il travaille sur divers projets comme la bande originale du film Les Nuits fauves[14].

Tricatel[modifier | modifier le code]

En 1995, il fonde son label, Tricatel[15], du nom de l'industriel fictif Jacques Tricatel, PDG d'une chaîne de restauration de nourriture industrielle dans le film de Claude Zidi, L'Aile ou la Cuisse — un label consacré aux artistes inclassables et aux projets hors normes. Burgalat s’est inspiré de la musique classique du XXe siècle, de la musique progressive, de la soul, de la pop électronique et de la variété internationale, accueillant des collaborations avec l’écrivain Michel Houellebecq et la comédienne Valérie Lemercier, Jef Barbara, Chassol, Jonathan Coe, Ingrid Caven, April March, The High Llamas. Tricatel a étendu ses activités en produisant les films musicaux de Chassol, ou Le Ben & Bertie Show, fiction musicale réalisée par Benoît Forgeard. Les productions Tricatel demeurent confidentielles jusqu'en 2007, avec le succès de Christophe Willem dont il a écrit, arrangé et produit le single Élu produit de l’année[16].

Réalisation[modifier | modifier le code]

Alain Chamfort, Pizzicato Five, Adamo, Dominique Dalcan, Jad Wio, Einstürzende Neubauten, Ollano, Laibach (notamment l'album Let it Be[17] et les reprises de Sympathy for the Devil, Live Is Life et One Vision[18]), Katerine, Valérie Lemercier, Mick Harvey, April March, Supergrass, Michel Houellebecq (Présence humaine), Christophe Willem, Alizée, Les Shades, Depeche Mode. Il participe au projet Gruesome Twosome (avec Samy Birnbach, ex-leader de Minimal Compact[19]), A.S. Dragon, Valérie Lemercier chante de Valérie Lemercier, en 1996 ;

Soirées Tricatel[modifier | modifier le code]

Dans le bowling de l'avenue Foch, à Paris, puis dans le nouveau lieu artistique de Saint-Ouen, Mains d'œuvres ;

Remixes[modifier | modifier le code]

Easy Tiger de Depeche Mode, Soul II Soul, Sexy Boy de Air, Jef Barbara, Showgirls, La Classe[évasif] ;

SNEP (Syndicat national de l'édition phonographique)[modifier | modifier le code]

En décembre 2014, il est élu vice-président du Syndicat national de l’édition phonographique (SNEP)[20], et reconduit jusqu'en juin 2020[21].

En septembre 2020, il est élu à l’unanimité président du SNEP pour un mandat de deux ans lors de l’AG du syndicat[22]. Il est réélu président en juin 2022[23].

Fédération internationale de l'industrie phonographique[modifier | modifier le code]

Depuis mai 2021, il siège au Conseil de la Fédération internationale de l'industrie phonographique, organisme syndical international fondé en 1933, chargé de faire respecter dans le monde entier les droits d'auteur de l'industrie du disque phonographique.

Édition[modifier | modifier le code]

Depuis 2015, il co-dirige avec Bertrand Dermoncourt une collection sur le rock pour les éditions Actes Sud (Actes Sud Rocks).

En 2018, il supervise la conception du livre Tricatel Universalis, ouvrage rétrospectif retraçant son parcours de musicien ainsi que les 22 années d'activités du label.

Télévision[modifier | modifier le code]

En 2012, Bertrand Burgalat crée et anime l'émission de fiction musicale Le Ben et Bertie Show, en compagnie du réalisateur et acteur Benoît Forgeard. Les quatre premières émissions L'Année bisexuelle (janvier 2013), Ceux de Port-Alpha (juin 2013), L'Homme à la chemise de cuir (décembre 2013) et L'Incruste (mai 2014) sont diffusées sur les chaînes Paris Première et W9.

Radio[modifier | modifier le code]

Entre décembre 2013 et avril 2014, il anime l'émission musicale Face B sur France Inter.

En février 2018, il participe à l'émission À voix nue sur France Culture, pour une série de 5 épisodes[24].

Presse[modifier | modifier le code]

Depuis avril 2018, Il tient la chronique de dernière page de Rock & Folk.

Tous les mois depuis mars 2019, il mène des entretiens avec des personnalités politiques pour le magazine Technikart.

Vie privée[modifier | modifier le code]

Bertrand Burgalat a été durant plusieurs années le compagnon de Valérie Lemercier[25]. Ils se sont séparés en 1997 mais sont restés des amis proches[15]. Il est marié à Vanessa Seward, créatrice de mode, ancienne styliste chez Azzaro[15].

Diabète[modifier | modifier le code]

En août 2011, il rédige une tribune de sensibilisation au diabète, publiée dans le journal Libération[26].

À travers un essai, Diabétiquement vôtre, publié en octobre 2015, il évoque pour la première fois le diabète de type 1 qui l’affecte depuis l’âge de 11 ans. Il y explique notamment que cette pathologie l'a amené à être davantage un musicien de studio que de scène. L'année suivante, en 2016, il fonde et préside l'association Diabète et Méchant[27].

Le 13 novembre 2017, à l'occasion de la Journée mondiale du diabète, il publie une tribune dans le journal Le Figaro, dénonçant le manque de concurrence dans la fabrication et la commercialisation de l'insuline, contribuant à son prix élevé et la rendant « inaccessible à la majorité des diabétiques dans le monde »[28].

Distinctions[modifier | modifier le code]

Décorations[modifier | modifier le code]

Récompenses[modifier | modifier le code]

  • 2012 : Prix de la meilleure musique de film au festival de La Ciotat pour My Little Princess[31]
  • 2013 : Élu compositeur de l'année, prix de la création musicale de la Chambre syndicale des éditeurs de musique
  • Novembre 2016 : Prix Philips 2016 du livre Santé & Bien-être pour son essai Diabétiquement vôtre[32]
  • 26 juin 2021 : Ibis d’or de la meilleure musique de film de l’année, pour Les Apparences, de Marc Fitoussi, au 7e Festival de cinéma et de musique de film de La Baule[33]

Discographie solo[modifier | modifier le code]

Albums[modifier | modifier le code]

  • 1999 : The Genius of Bertrand Burgalat (compilation hommage publiée par le label allemand Bungalow)
  • 2000 : The Sssound of Mmmusic (10 instrumentaux et 5 titres chantés)
  • 2001 : Bertrand Burgalat meets A.S. Dragon (live)
  • 2005 : Portrait-robot
  • 2007 : Chéri B.B. (avec un titre chanté par Robert Wyatt)
  • 2007 : Inédits (réédité en 2011 en mp3 avec plusieurs titres non parus dans l'édition 2007)
  • 2012 : Toutes Directions
  • 2014 : La Nuit est Là (live)
  • 2017 : Les choses qu'on ne peut dire à personne
  • 2017 : Variations sur Les choses qu'on ne peut dire à personne (album de remixes)
  • 2021 : Rêve capital

EP et singles[modifier | modifier le code]

  • 2000 : Prototypes
  • 2000 : Ok Bertrand
  • 2000 : (come potrei) Scordare
  • 2000 : Tsom
  • 2000 : Gris Métal
  • 2001 : Richer E.P.
  • 2001 : Sunshine Yellow
  • 2002 : Bertrand meets Bertrand
  • 2007 : This Summer Night (en duo avec Robert Wyatt)
  • 2008 : Nous étions heureux
  • 2010 : RosEros (en duo avec April March)
  • 2012 : Double peine

Musique de film[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Documentaire[modifier | modifier le code]

Court métrage[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Participations[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

Essais[modifier | modifier le code]

  • 2015 : Diabétiquement vôtre, Éditions Calmann-Levy
  • 2018 : avec Jean-Emmanuel Deluxe, préface de Philippe Manœuvre, Tricatel Universalis, Huginn & Muninn, 240 p.

Préfaces[modifier | modifier le code]

  • 2008 : Bubblegum & Sunshine Pop, de Jean-Emmanuel Deluxe, éd. Autour du Livre[36]
  • 2009 : Françoise Hardy, Tant de belles choses, de Pierre Mikaïloff, éd. Alphée[37]
  • 2015 : Notes de pochettes, Tricatel en portraits, éd. Tricatel
  • 2019 : Profession Rock Critic, de Albert Potiron, éd. Gonzaï
  • 2020 : L’esthétique contre-cool, de Pierre Robin, éd. Rue Fromentin
  • 2021 : Alone, Mémoires de Mickey Baker, éd. Seguier
  • 2021 : David Bowie - L'enchanteur, de Toija Cinque, Sean Redmond et Christopher Moore, éd. Gm

Contributions[modifier | modifier le code]

  • 2007 : Chroniques de luxe, de Sébastien Bataille, éd. Le bord de l’eau[38]
  • 2015 : Les Grands Entretiens d’Art Press : Marc Desgrandchamps, éd. Art Press[39]
  • 2016 : Nouvelles Nouvelles d’Azerbaïdjan, éd. Intervalles[40]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Voir sur bertrandburgalat.com.
  2. « BURGALAT Yves-Bertrand », sur Fédération des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie d'Alsace (consulté le ).
  3. « De Michel Sardou à Robert Wyatt, les airs de jeunesse de Bertrand Burgalat », sur Télérama, (consulté le ).
  4. a et b « L'idéal de Bertrand Burgalat », sur France Inter, (consulté le ).
  5. a b c d e f g h i j k l m n o p q r et s Arnaud Viviant, « Pour qui votez-vous Bertrand Burgalat ? », Charles, no 11 - Les Verts : 30 ans de transition politique,‎ .
  6. « La jeunesse de Bertrand Burgalat, fils de préfet de la Corse bouillante des 70s », sur Greenroom, (consulté le ).
  7. « L’Odyssée des Rats noirs : voyage au cœur du GUD », sur Fragments sur les Temps Présents, (consulté le ).
  8. « Jeunesse française des années 1980-90: La tentation néo-fasciste » de Eric Rossi et préface de Hugues Portelli, édition LGDJ/Panthéon-Assas Paris II, 1995
  9. René Monzat, Enquêtes sur la droite extrême, Le Monde éditions, 1992, page 120
  10. Monzat 1992, p. 120.
  11. Bertrand Burgalat - Goûte mes disques, Les Inrockuptibles, 19 mai 1999
  12. a b c et d Bertrand Burgalat, « « Poursuivre et amplifier » », Charles, no 3,‎
  13. Benjamin Locoge, « Les échecs réussissent à Bertrand Burgalat », Paris-Match, 14 août 2007.
  14. « Les Nuits Fauves - Extraits de la Bande Originale du Film de Cyril Collard », sur Discogs (consulté le )
  15. a b et c Benjamin Locoge, « Les échecs réussissent à Bertrand Burgalat », Paris Match, 16 août 2007
  16. Philippe Auclair, Le nouveau dictionnaire du rock,
  17. http://bertrandburgalat.com/BertrandBurgalat-Dictionnairedurock.pdf
  18. Eric Duboys, CAMION BLANC : INDUSTRIAL MUSICS Volume 1, 475 p. (ISBN 978-2-35779-628-7, lire en ligne), p. 442.
  19. (en) « CRAMMED DISCS : The Gruesome Twosome », sur crammed.be (consulté le ).
  20. « Election du nouveau vice-président du SNEP - SNEP », SNEP,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. « AG SNEP : OLIVIER NUSSE PRESIDENT - SNEP », SNEP,‎ (lire en ligne, consulté le )
  22. « Bertrand Burgalat élu à la présidence du SNEP », sur SNEP, (consulté le )
  23. Bertrand Burgalat réélu président du SNEP, communiqué de presse, juin 2022
  24. Laurence Le Saux, « Bertrand Burgalat, sur France Culture, architecte de sa vie d’artiste », Télérama, 12 février 2018.
  25. Bertrand Burgalat sur RFI musique
  26. "Entre Médiator et insuline, réflexions d'un diabétique, par Bertrand Burgalat" Libération du 3 août 2011
  27. « Diabète et Méchant », sur Diabète et méchant (consulté le )
  28. BERTRAND BURGALAT, « Bertrand Burgalat : «L'insuline trop chère la rend inaccessible à la majorité des diabétiques dans le monde» », Le Figaro,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  29. Aurélie Filippetti, « Arrêté du 16 janvier 2014 portant nomination et promotion dans l'ordre des Arts et des Lettres », sur le site du ministère de la Culture et de la Communication, (consulté le ).
  30. Arrêté du 21 décembre 2007 portant nomination ou promotion dans l'ordre des Arts et des Lettres.
    Décoré en présence de Valérie Lemercier, Marc Lavoine, Jean-Paul Rouve, Philippe Manœuvre et Jean-Charles de Castelbajac.
  31. « En 2012, », sur La Ciotat Berceau du cinéma (consulté le ).
  32. « Prix Santé & Bien-être Philips 2016 », Philips,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Le Festival de cinéma et musique de film de La Baule a livré son palmarès », sur Ouest-France, (consulté le ).
  34. « La traversée du désir (Film, Documentary): Reviews, Ratings, Cast and Crew - Rate Your Music », sur de.rateyourmusic.com (consulté le )
  35. « Roger Diamantis ou la vraie vie (2005) », sur www.unifrance.org (consulté le )
  36. Autour du livre/H. Barrière, « Bubblegum & Sunshine Pop - La confiserie magique », sur www.adlivre.com (consulté le )
  37. « Le choix des libraires - en savoir plus sur le livre Françoise Hardy : tant de belles choses », sur www.lechoixdeslibraires.com (consulté le )
  38. « Chroniques De Luxe », sur www.editionsbdl.com (consulté le )
  39. « Les grands entretiens d’artpress. Marc Desgrandchamps | artpress », artpress,‎ (lire en ligne, consulté le )
  40. « Nouvelles nouvelles d’Azerbaïdjan - Editions Intervalles », sur www.editionsintervalles.com (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]

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