Belle-Église

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Belle-Église
Belle-Église
La mairie.
Blason de Belle-Église
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC Thelloise
Maire
Mandat
Dominique Margery
2020-2026
Code postal 60540
Code commune 60060
Démographie
Population
municipale
690 hab. (2021 en augmentation de 11,83 % par rapport à 2015)
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 11′ 35″ nord, 2° 13′ 11″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 167 m
Superficie 7,83 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bornel
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Méru
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
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Belle-Église
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Belle-Église
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Belle-Église
Liens
Site web https://www.belle-eglise.fr

Belle-Église est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Ambiance de la commune : la rue des Écoles.

Belle-Église est un village picard du Pays de Thelle situé dans l'Oise mais limitrophe du Val-d'Oise, à 18 km au nord-est de Pontoise, 38 km au nord de Paris, 28 km au sud-est de Beauvais et à 33 km à l'est de Gisors. Il est desservi par les anciennes route nationale 1 et route nationale 323 (actuelles RD 1001et RD 923), et est traversée par l'Autoroute A16

Le village est traversé par le Sentier de grande randonnée GR 11 surnommé le « Grand Tour De Paris ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Belle-Église se situe dans la vallée de l'Esches, qui la traverse et est un affluent de la rive droite de l'Oise, donc un sous-affluent de la Seine.

La limite sud-ouest du territoire communal est constituée par le lit de du ruisseau la Gobette

Autrefois existaient sur le territoire communal deux moulins à eau[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 676 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontoise à 18 km à vol d'oiseau[4], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels[modifier | modifier le code]

La commune comprend trois bois classés "espaces boisés classées à conserver", qui sont : le bois Chevalot, 10 ha, le bois de Saint-Just de 10 ha et le bois de Montagny.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Belle-Église est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bornel, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[11] et 5 426 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,4 %), forêts (18,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,8 %), zones urbanisées (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Belle-Église en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,2 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 1].

Le logement à Belle-Église en 2018.
Typologie Belle-Église[I 2] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 82,6 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,2 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 9,2 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la gare de Bornel - Belle-Église sur la ligne de Paris à Beauvais. Cette gare, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et de Beauvais, est située sur la commune de Bornel.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6110, 6131, 6132, 6134, 6201 et 6234 du réseau interurbain de l'Oise[17].

Train en gare.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Son nom a évolué de Belaglisa en 1164[1], Bertetela, Bera-Ecclesia en 1190, Bella-Ecclesia en 1214.

Durant la Révolution française, la commune porte le nom de Belle-Montagne[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Selon Louis Graves, « Belléglise appartenait au treizième siècle à une famille qui portait le nom du pays et qui contracta des alliances avec la maison de Beaumont-sur-Oise. Dans les derniers temps, la seigneurie était divisée entre les chevaliers de Malte et l'Abbaye de Royaumont à laquelle Saint-Louis avait donné des bois et une ferme considérable[19] ».

Lors des batailles de la Libération de la France de la fin de la Seconde Guerre mondiale, le eut lieu la bataille de Ronquerolles, en limite des communes de Ronquerolles, Bornel, Belle-Église et d'Hédouville, entre un petit groupe de résistants français et les troupes d'occupation et de répression allemandes de la Sicherungs-Regiment 6, évaluées à trois bataillons, soit de 800 à 1 000 hommes. Sur 17 résistants arrêtés par les Allemands, 11 sont fusillés à L'Isle-Adam et 2 sont déportés[20],[21],[22],[23],[24],[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Neuilly-en-Thelle[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Méru.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du pays de Thelle, créée en 1996.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[27],[28].

La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée provisoirement communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise puis communauté de communes Thelloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [29].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[30]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1804 Pierre Duquesnel    
1806 1822 Jacques Ambroise Herissant    
1822 1832 Pierre Louis Grange    
1832 1933 Louis Alexandre Le Breton    
1833 1937 Jean Charles Blanchard    
1837 1843 Jean-Benoit de Ribes    
1848 1896 Charles-Edouard de Ribes    
1896 1917 Charles-Aimé-Auguste de Ribes    
Les données manquantes sont à compléter.
1983 1989 Monique Duval    
1989 octobre 1997[31] René Lagabrielle   Mort accidentellement pendant son mandat.
1997 2001 Bernard Marie    
2001[32] mai 2020 Philippe Vincenti[33] DVD[34] Cadre administratif à la direction des journaux officiels, retraité
Vice-président de la CC du Pays de Thelle et Ruraloise(2017 → 2020)
mai 2020[35] En cours
(au 2 décembre 2020)
Mme Dominique Margery    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les Belle-Eglisiens disposent d’une école, d’un centre périscolaire avec cantine, garderie, et centre de loisirs pendant les vacances[1].

Culture[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une bibliothèque municipale[1].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 690 habitants[Note 3], en augmentation de 11,83 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
277303352351382329336352352
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
381399412403392361451357414
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
419330405451403408410380389
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
388406430449503561568592612
2021 - - - - - - - -
690--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 300 hommes pour 308 femmes, soit un taux de 50,66 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,0 
4,4 
75-89 ans
5,0 
16,2 
60-74 ans
16,5 
26,7 
45-59 ans
22,6 
16,3 
30-44 ans
19,5 
16,8 
15-29 ans
17,0 
19,6 
0-14 ans
18,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La Fête de l'attelage, dont la 12e édition a eu lieu en , organisée par les Attelages des Vieux Chariots de Belle-Église, l’association pour la Sauvegarde de l’Environnement de Belle-Église (SEBE), Pomme Cidre et Traditions de Belle-Église et les Go West Dancers de Bornel[41].

Économie[modifier | modifier le code]

La commune ne compte plus, en 2016, de commerces de proximité. Ses activités sont constituées par l'hôtel 4 étoiles du Château Saint-Just, le restaurant gastronomique La grange de Belle-Église (une étoile au Michelin en 2016[42]) et une société d’agencement, de menuiserie, et de mobilier[1].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin de Belle-Église, rue des Écoles : Contrairement à ce qu'annoncent ses élévations extérieures dénuées de caractère, c'est un édifice d'une surprenante complexité, qui n'est que le résultat des agrandissements et remaniements successifs depuis la fin du XIIe siècle. Seulement la base du clocher roman de la fin du XIe ou du premier quart XIIe siècle subsiste d'origine. Elle se caractérise par sa voûte en berceau, sa grande profondeur et ses murs très épais. Le reste du chœur et de ses deux collatéraux est gothique. Il n'y a guère deux travées analogues, et la plupart des styles architecturaux sont représentés. Cependant, la plupart des travées a été bâtie avec grand soin, et l'architecture des parties orientales est tout sauf rustique. L'on trouve même des éléments remarquables par leur qualité, telles que les voûtes à six branches d'ogives du chœur et du croisillon nord avec leurs supports, ou par leur originalité. L'édifice n'est pas protégé au titre des monuments historiques, mais plusieurs éléments de son mobilier et quatre vitraux le sont en revanche[43],[44].
  • Ruines du chœur de la chapelle du prieuré Saint-Jacques, à la sortie sud du village mais noyées dans la végétation, datables du milieu du XIIe siècle. Ce prieuré a été fondé en 1090 par Lancelin de Belle-Église et dépendait de la puissante abbaye Saint-Martin de Pontoise[45]
  • Château de Saint-Just, en dehors du village, sur la RD 923 en direction de Chambly : appelé d'abord hôtel de Villiers, le château prend son nom définitif avec l'arrivée d'Oudin de Saint-Just en 1450. C'est une construction des XIIe, XIVe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Le château a appartenu successivement aux Villiers, aux Montmorency par alliance en 1415, aux Saint-Just par acquêt en 1450, aux Mérard de Saint-Just par acquêt en 1751, aux marquis de Persan, au général Servan de Gerbey puis aux comtes de Ribes par acquêt en 1826.
Avec son parc de 14 hectares, le château Saint-Just est en 2016 un hôtel 4 étoiles[1].
  • Circuit de promenade Bornel-Belle-Église[46]
Vue générale de la commune en .

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Sophie Thalmann, conseillère municipale de Belle-Église[Quand ?] et animatrice tv, Miss France 1998 et son mari le jockey Christophe Soumillon

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Belle-Église Blason
D'azur à l'église surmontée de deux colombes adossées en vol et soutenue d’un lion brandissant une épée, le tout d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean Vergnet-Ruiz, « Notes pour l'histoire et l'épigraohie du canton de Neuilly-en-Thelle : II : Belle-Église », Comptes-rendus et mémoires de la Société d’histoire et d’archéologie de Senlis,‎ années 1967-1968, 1969, p. 15-34 (lire en ligne, consulté le ).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Belle-Église - Section LOG T7 » (consulté le ).
  2. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Belle-Église » (consulté le ).
  3. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f Alice Ancelin, « Belle-Église, village aux quatre hameaux », L'Observateur de Beauvais, no 959,‎ , p. 18.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Belle-Église et Pontoise », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Bornel », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Transports en commun à Belle-Église », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Neuilly-en-Thelle, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 144 p. (lire en ligne), p. 41-42, sur Google Books.
  20. La Seconde Guerre mondiale à L'Isle-Adam
  21. Stèle de Ronquerolles
  22. Le Camp Allemand de l'Isle-Adam
  23. Persan : hommage aux résistants du maquis de Ronquerolles
  24. Le dernier combat de l’AN 2, le vol noir des corbeaux…
  25. CNRD/clg_Pierre_Perret_CNRD_2011.pdf La répression de la Résistance en France par les autorités d'occupation et le régime de Vichy
  26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  27. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  28. D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  29. « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
  30. « Les maires de Belle-Église », sur francegenweb.org (consulté le ).
  31. « 6 mois avec sursis pour le chasseur imprudent », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Daniel Vernet, « Un premier mandat pour Philippe Vincenti », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Philippe Vincenti a été élu par 11 voix, contre 4 ».
  33. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires élus et réélus avec les nouveaux conseils municipaux installés », L'Écho du Thelle, no 523,‎ , p. 12.
  34. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 37.
  35. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Belle-Église (60060) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  41. « Les giboulées ont arrosé la fête de l’Attelage : Alors qu’elle accueille habituellement des milliers de personnes, la dernière Fête de l’Attelage qui a eu lieu dimanche a été victime des intempéries. Pourtant le spectacle prévu était de grande qualité ! », L'Écho du Thelle, no 631,‎ , p. 13.
  42. C.B., V.G., E.L.-S. et P.C, « Oise : quatre restaurants savourent leur étoile au Guide Michelin », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « Pour garder son étoile, l’établissement « suit les saisons en changeant la carte trois fois par an, explique Marc Duval. En ce moment, ce sont les huîtres et les couteaux. J’essaie de créer des recettes par amour du métier. L’écume du consommé de coquillage au caviar Baeri, je n’en ai jamais vu ailleurs ».
  43. « Œuvres mobilières classées à Belle-Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  44. Dominique Vermand, « Belle-Eglise, église Saint-Martin : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  45. Dominique Vermand, « Belle-Église, Prieuré Saint-Jacques : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
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