Béhorléguy

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Béhorléguy
Béhorléguy
L’église de l'Assomption.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Pascal Néguelouart
2020-2026
Code postal 64220
Code commune 64107
Démographie
Gentilé Behorlegitar
Population
municipale
71 hab. (2021 en diminution de 5,33 % par rapport à 2015)
Densité 3,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 07′ 45″ nord, 1° 07′ 03″ ouest
Altitude Min. 299 m
Max. 1 267 m
Superficie 20,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Jean-Pied-de-Port
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Béhorléguy
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Béhorléguy
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Béhorléguy
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Béhorléguy

Béhorléguy est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Béhorléguy se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 84 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 71 km de Bayonne[3], sous-préfecture, et à 31 km de Mauléon-Licharre[4], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Mendive (1,1 km), Lecumberry (2,1 km), Hosta (4,1 km), Ahaxe-Alciette-Bascassan (4,5 km), Bussunarits-Sarrasquette (5,9 km), Aincille (6,5 km), Estérençuby (6,8 km), Ahaxe-Alciette-Bascassan (7,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Béhorléguy fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[8],[9]. La commune est dans le Pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.

Paysages et relief[modifier | modifier le code]

À la fin du XIXe siècle, la forêt des Arbailles couvrait en partie les territoires des communes d'Aussurucq, Béhorléguy, Camou-Cihigue, Musculdy, Ordiarp et Saint-Just-Ibarre.

Le col d'Aphanize est un col de montagne situé au-dessus de Béhorléguy. Il se situe à la limite des bassins de la Bidouze et de la Nive. Il domine au nord Eltzarreko ordokia et la source de la Bidouze, au sud la vallée du Laurhibar.Le col est adossé au pic de Béhorléguy (1 265 m).

L'Hauzkoa (1 268 m), est un sommet situé au sud-est de Béhorléguy.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Béhorléguy.

La commune est drainée par le ruisseau le Béhorléguy, Olhazarreko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[11],[Carte 1].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 672 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 10 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mendive à 1 km à vol d'oiseau[15], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 523,7 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[20],[Carte 2] :

  • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[21] ;
  • le « massif des Arbailles », d'une superficie de 12 784 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[22] ;

et une au titre de la « directive Oiseaux »[20],[Carte 3] :

  • la « Haute Soule : forêt des Arbailles », d'une superficie de 7 114 ha, présentant une grande diversité de milieux à des altitudes moyennes fournissant gîte et couvert pour la faune ornithologique pyrénéenne[23].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24],[Carte 4] :

  • la « forêt des Arbailles » (6 283,64 ha), couvrant 9 communes du département[25] ;
  • la « grotte de Mikelauenzilo et alentours » (7 568,16 ha), couvrant 7 communes du département[26],
  • le « pic de Behorlegi et crêtes associées » (1 959,83 ha), couvrant 4 communes du département[27] ;

et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[24],[Carte 5] :

  • le « massif des Arbailles » (14 782,04 ha), couvrant 13 communes du département[28] ;
  • les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port » (14 133,83 ha), couvrant 9 communes du département[29].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Béhorléguy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[31],[32].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[33],[34].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (64,6 %), forêts (21,8 %), prairies (7,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,6 %)[35]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Aphanize ;
  • Cayolar d'Istaurdy ;
  • Etchebérriborda ;(etxeberriborda =ferme de la maison neuve)
  • Ihidoya ;
  • Inthasendarragiratzeburukoharria (le rocher du sentier boueux du bout de la fougeraie)[36].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Béhorléguy est desservie par la route départementale D 117.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Béhorléguy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2021[39],[37].

Béhorléguy est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[40]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[41],[42].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[43]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[44].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Béhorléguy.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[45]. 81,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[46].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2021[37].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Béhorléguy apparaît sous les formes Beorrleguy (1264[47]), Behorleguy (1292[47]), Beorrlegui (1350[47]), Beorlegui (1513[48], titres de Pampelune[49]), Vehorlegui (1621[48], Martin Biscay[50]) et Notre-Dame de Béhorléguy (XVIIIe siècle[48], visites du diocèse de Bayonne[51]).

Issue du basque behor (« jument ») accompagné du suffixe locatif -gui.

Autres toponymes[modifier | modifier le code]

Aphanize, désignant un mont, est attesté en 1863[48] dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque sous la forme Aphanice.

Graphie basque[modifier | modifier le code]

Son nom basque actuel est Behorlegi[52].

Histoire[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'argent à cinq fleurs de lys d'azur posées en sautoir[53].
Commentaires : Cette terre de Béhorleguy fut érigée en baronnie en 1391 par Charles III, roi de Navarre pour Jean de Béarn, gouverneur du château de Lourdes, qui avait épousé une sœur naturelle du roi[54].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 2001 Jean Unhassobiscay    
2001 2014 Anne-Marie Ibanez DVD[55]  
2014 En cours Pascal Neguelouart    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune appartient à cinq structures intercommunales :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat du RPI Hergaray ;
  • le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Le gentilé est Behorlegitar[52].

Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[56] dénombre 30 feux à Béhorléguy.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[58].

En 2021, la commune comptait 71 habitants[Note 10], en diminution de 5,33 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
199176205213257248229231234
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
256239227210186180179180181
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
160158148148143145147155139
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
135121112917272747475
2018 2021 - - - - - - -
7371-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • La chapelle Saint-Engrace date des XVIIe et XVIIIe siècles ;
  • L'église de l'Assomption[63] date des XVIIe et XVIIIe siècles. Elle recèle une Vierge à l'Enfant[64] en bois du XIIIe siècle, une statue en bois de la Vierge[65] du XVIe siècle, un christ en croix[66] du XVIe siècle, une statue de Vierge[67] du XVIIIe siècle et un banc[68] creusé de quatre troncs d'aumônes ;

Équipements[modifier | modifier le code]

Évocation artistique[modifier | modifier le code]

la première partie des Paysages euskariens pour orgue, écrit par Ermend-Bonnal en 1930, est intitulé La vallée de Béhorléguy.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Blog sur l'histoire et le patrimoine de Béhorléguy

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Béhorléguy » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Béhorléguy », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type I sur la commune de Béhorléguy », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. « ZNIEFF de type II sur la commune de Béhorléguy », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  6. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  7. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Béhorléguy et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Béhorléguy et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Béhorléguy et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Béhorléguy », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  8. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  9. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  10. Carte IGN sous Géoportail
  11. « Fiche communale de Béhorléguy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  52. a et b - Académie de la langue basque
  53. Guy Ascarat
  54. Armorial des communes basques
  55. « Annuaire des Mairies des Pyrénées-Atlantiques », sur Annuaire des Mairies et Institutions de France, 2006-2007 (consulté le ).
  56. Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 300. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
  57. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  58. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  59. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  61. « la croix Harispe », notice no PA00084350, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. « la ferme Ihidoia », notice no IA64000852, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  63. « l'église de l'Assomption », notice no IA64000841, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  64. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la Vierge à l'Enfant
  65. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la Vierge du XVIe siècle
  66. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le Christ en croix
  67. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la statue de Vierge du XVIIIe siècle
  68. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le banc de l'église de l'Assomption