Avoine (Indre-et-Loire)

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Avoine
Avoine (Indre-et-Loire)
L'hôtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Chinon, Vienne et Loire
Maire
Mandat
Didier Godoy
2020-2026
Code postal 37420
Code commune 37011
Démographie
Gentilé Avoinais
Population
municipale
1 938 hab. (2021 en augmentation de 11,57 % par rapport à 2015)
Densité 154 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 12′ 21″ nord, 0° 11′ 02″ est
Altitude Min. 29 m
Max. 42 m
Superficie 12,58 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Chinon
(banlieue)
Aire d'attraction Chinon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chinon
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web ville-avoine.fr

Avoine est une commune française située près de Chinon et de Beaumont-en-Véron dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire. La centrale nucléaire dite “de Chinon” est implantée au nord de la commune sur la rive gauche de la Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune d'Avoine est située dans la région naturelle du Véron à l'ouest du département d'Indre-et-Loire. La centrale nucléaire de Chinon est implantée sur son territoire, ce qui lui procure des rentrées financières importantes. Le territoire communal est arrosé par le fleuve Loire et par la rivière Indre. Le confluent de ces deux cours d'eau est sur le territoire de la commune.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique d'Avoine.

La commune est traversée par la Loire (0,076 km) et l'Indre (2,397 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 10,82 km, comprend un autre cours d'eau notable, la Veude (1,075 km), et quatre petits cours d'eau dont le Goulet[1],[2].

Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[3], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Langeais. Le débit mensuel moyen (calculé sur 34 ans pour cette station) varie de 142 m3/s au mois d'août à 753 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 060 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevée a été de 4,89 m le [4],[5]. La hauteur maximale historique a été atteinte le 27 septembre 1856 avec 6,80 m[6]. Sur le plan piscicole, la Loire est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].

L'Indre, d'une longueur totale de 279,4 km, prend sa source à une altitude de 453 m sur le territoire de Saint-Priest-la-Marche dans le département du Cher et se jette dans la Loire à Avoine, après avoir traversé 58 communes[8]. Les crues de l'Indre sont le plus souvent de type inondation de plaine[Note 1]. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de l'Indre tourangelle[3], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Cormery. La hauteur maximale historique a été atteinte en novembre 1770 avec 4,90 m[10]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[11],[12]. Sur le plan piscicole, l'Indre est également classée en deuxième catégorie piscicole[7].

La Veude, d'une longueur totale de 13,9 km, prend sa source dans la commune de Saint-Benoît-la-Forêt et se jette dans l'Indre à Avoine, après avoir traversé 3 communes[13]. Sur le plan piscicole, la Veude est également classée en deuxième catégorie piscicole[7].

En 2019, la commune est membre de la communauté de communes Chinon, Vienne et Loire qui est elle-même adhérente au syndicat d'aménagement de la vallée de l'Indre. Créé par arrêté préfectoral du à la suite des crues historiques de décembre 1982 et janvier 1983, ce syndicat a pour vocation d'une part l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau par des actions de restauration de zones humides et des cours d'eau, et d'autre part de participer à la lutte contre les inondations par des opérations de sensibilisation de la population ou de restauration et d'entretien sur le lit mineur, et sur les fossés situés dans le lit majeur de l'Indre appelés localement « boires », et de l'ensemble des cours d'eau du bassin versant de l'Indre[14].

Le réseau hydrographique est complété par le lac Mousseau, un plan d'eau de 3 ha, ouvert à la pêche[15]

Trois zones humides ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des Territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire[16],[17] : la vallée de l'Indre : du Pont du Vivier à la Loire, La Veude des Fontaines d'Auzon et la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 670 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Savigny-en-Véron à 3 km à vol d'oiseau[20], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 637,8 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Avoine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chinon, une agglomération dont elle est une commune de la banlieue avec entre autres Beaumont-en-Véron, Rivière et Savigny-en-Véron[27],[28].

La commune fait également partie de l'aire d'attraction de Chinon, ville-centre dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[29],[30].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (19 %), prairies (13,6 %), zones urbanisées (12 %), forêts (7 %), cultures permanentes (4,8 %), eaux continentales[Note 6] (2,4 %), terres arables (0,1 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Avoine est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, la rupture d'un barrage et le risque nucléaire[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Veude, la Loire, l'Indre. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Angers-Authion-Saumur, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portés à 22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[34],[35]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[36],[32].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Véron, est classée au niveau de risque 2, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[37].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Avoine.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 807 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 807 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38],[39].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[32].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Une partie du territoire de la commune est en outre située en aval d'une digue. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[40].

En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre réflexe de 2 km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[41].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1995 mars 2014 Patrick Guionnet [réf. nécessaire]SE  
mars 2014 En cours Didier Godoy DVG[42] Retraité

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Au dernier recensement de 2021, la commune comptait 1 938 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7659051 0061 0741 1591 088722760785
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
827803839837818846839802803
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
763758723693676691662590669
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
9731 2121 3311 8001 6641 7781 8461 8451 834
2015 2020 2021 - - - - - -
1 7371 9331 938------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête de l'environnement
  • Festival de Blues Avoine Zone Blues
  • Open International d'échecs d'Avoine
  • Fêtes des écoles primaire et maternelle d'Avoine
  • Fête de la musique (organisée en alternance avec les autres communes membres de la communauté de communes du Véron)
  • Fête républicaine
  • Le Podium de l'été : grand concert gratuit en plein air
  • Forum Sports-Loisirs-Culture
  • Semaine Bleue
  • Marché de Noël

Enseignement[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château de la Caillerie
  • Église Saint-Maurice.
  • Château de la Caillerie.

Avoine dans les arts[modifier | modifier le code]

Un village Avoine est cité dans le poème d’Aragon, Le conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[45].

Sans précision de la part de l'auteur, il peut s'agir soit d'Avoine en Indre-et-Loire, soit d'Avoine dans l'Orne.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Une inondation de plaine se produit lorsque le niveau d'un cours d'eau, généralement à la suite de fortes précipitations, monte progressivement jusqu'à l'envahissement du lit moyen, voire du lit majeur, pendant une période plus ou moins longue[9].
  2. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
  3. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Avoine sur Geoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. a et b Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
  4. « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  5. « Station hydrométrique K6830020, la Loire à Langeais »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
  7. a b et c (id) « Décret no 58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche Sandre - l'Indre », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  9. « Les inondations lentes », sur Observatoire régional de Risques majeurs en Provence-Alpes Côte d'Azur (consulté le ).
  10. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 62.
  11. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Fiche Sandre - la Veude », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  14. « Objectifs du SAVI », sur savi37.fr (consulté le ).
  15. « Lac Mousseau - Avoine », sur fedepeche37.fr, (consulté le ).
  16. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  17. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  18. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  20. « Orthodromie entre Avoine et Savigny-en-Véron », sur fr.distance.to (consulté le ).
  21. « Station Météo-France « Savigny-en-Véron », sur la commune de Savigny-en-Véron - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  22. « Station Météo-France « Savigny-en-Véron », sur la commune de Savigny-en-Véron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  23. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  28. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  29. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  32. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Avoine », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  34. « cartographie des risques d'inondations du TRI d'Angers-Authion-Saumur », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le ).
  35. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le ).
  36. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  37. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  38. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  39. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  40. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  41. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  42. « Résultats municipales 2020 à Avoine », sur Le Monde.fr (consulté le ).
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375