Ambrumesnil

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Ambrumesnil
Ambrumesnil
L'église et la mairie.
Blason de Ambrumesnil
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Terroir de Caux
Maire
Mandat
Mickaël Quibel
2023-2026
Code postal 76550
Code commune 76004
Démographie
Gentilé Ambrumesnilais
Population
municipale
488 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 95 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 51′ 30″ nord, 0° 59′ 42″ est
Altitude Min. 11 m
Max. 88 m
Superficie 5,14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dieppe
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dieppe-1
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Ambrumesnil
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Ambrumesnil
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Ambrumesnil
Liens
Site web http://www.ambrumesnil.fr/

Ambrumesnil est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Ambrumesnil est une commune du pays de Caux en Normandie, située à 8 km à vol d'oiseau au sud-est de Quiberville et du littoral de la Manche, 9 km au sud-ouest de Dieppe et 47 km au nord de Rouen.

Elle est aisément accessible depuis le tracé initial de l'ancienne route nationale 25 reliant Le Havre à Dieppe et la Picardie.

Le sentier de grande randonnée GR 212 passe à l'ouest du territoire communal, le long de la Vienne. La « véloroute du lin [1]», voie verte utilise la plateforme de l'ancienne ligne de Dieppe à Fécamp.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Ouville-la-Rivière, Avremesnil, Gueures, Offranville, Saint-Denis-d'Aclon et Thil-Manneville.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La rivière Vienne[2], affluent du fleuve côtier la Saâne, constitue la limite ouest du territoire communal. Elle est longée d'étangs et zones humides.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 899 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dieppe à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 805,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ambrumesnil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,6 %), zones urbanisées (10,9 %), forêts (5,7 %), prairies (5 %), eaux continentales[Note 3] (1,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 224, alors qu'il était de 211 en 2013 et de 200 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 89,2 % étaient des résidences principales, 5,9 % des résidences secondaires et 5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,4 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ambrumesnil en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,9 %) supérieure à celle du département (3,9 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,4 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Ambrumesnil en 2018.
Typologie Ambrumesnil[I 1] Seine-Maritime[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 89,2 88 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,9 3,9 9,7
Logements vacants (en %) 5 8,1 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune formée par la fusion des communes d’Ambrumesnil et de Ribeuf en 1823[16].

  • Ambrumesnil est attesté sous les formes Ecc. de Alberici Meisnillo vers 1240 (H. Fr. XXIII, 302), Apud Aubrumesnil (Delisle, Cart. N. 703, 704) et Aubrumesnil dès 1264[16], Le Brumesnil au XVIIIe siècle, Abrumesnil en 1319, Aubrumesnil en 1398[17], Abbidimesnil en 1337, Avremesnil en 1431 (Longnon 30, 90), Aubrumesnil en 1474 et 1475[18], Notre Dame d'Aubrumesnil en 1632[19], Notre Dame de L'Assomption d'Aubrumesnil en 1714[20], Aubrumesnil en 1648 (Pouillés), Aubrumesnil en 1715 (Frémont), Brumenil en 1740 (Duplessis I 373), Aubrumesnil ou Ambrumesnil en 1788 (Dict.)[21].
Localement le nom de la commune se prononce toujours « Aubrumesnil »[16].
Ambrumesnil s'analyse comme « le mesnil d’Audburg(is) »[16] ou « Alburg(is) », nom de femme germanique déjà rencontré dans Ambourville (Auborvilla XIIe siècle)[16]. Le nom de femme scandinave Auðbjǫrg[22] s'y superpose. Il se perpétue dans le nom de famille Aubourg[16] dont le foyer essentiel encore en 2009 est le département de la Seine-Maritime et est bien attesté anciennement dans le Calvados.
  • L'ancienne commune de Ribeuf est attestée sous les formes Aecclesiam Sancti Laurentii de Calcia en 1147 (Merlet II, 60) ; Risbot en 1171 ; Ecc. Sancti Laurentii de Risu Bovis en 1175 et 1176 (Merlet II, 100) ; Walterio de Risboio au XIIe siècle (Le Cacheux-Longueville, 107) ; De feodo Antelmi de Riboh en 1202 (Le Cacheux-Longueville, 101) ; Th. de Risbued en 1207 (Bib. Rouen ms. 1224 f. 121),(Archives départementales de la Seine-Maritime, 24 H — charte de Richard de Saint-Denis) ; Risbodium et Riboel vers 1207 (Arch. Nat. S 5205 B) ; Ecc. de Riscodio vers 1240 (H. Fr. XXIII, 303) ; Ric. de Risbouel en 1259 (Arch. Nat. S 5198 A) ; Apud Ribue en 1264 (Bonnin, 492, 542) ; Ribeuf en 1319 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267) ; Prior de Ribeu et Ribotum en 1337 ; Ribeuf en 1431 (Longnon 30, 32, 90) ; Prior de Risu Bovis supra Mare en 1516 ; Visitatio prioratus Sancti Laurentii de Risu Bovis en 1528 (Merlet II 236, 227) ; Ecc. de Riboto en 1525 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G 1970) ; Saint Pierre de Ribeuf en 1565 (Archives départementales de la Seine-Maritime, B Parl.) ; Noble fiefferme de Ribeuf en 1611[23] ; Prioratus de Ribeuf en 1617[24] ; Riboeuf en 1704 (Pou.) ; Riboeuf en 1757 (Cassini) ; Ribeuf en 1788 (Dict.)[25].
Le nom est composé de l'élément both / buth qui signifie « baraque » ou « village » en norrois (cf. Elbeuf ; Criquebeuf ; Daubeuf ; Coimbot ; Carquebut, etc.)[16]. Le premier élément est sans doute le vieil anglais ou vieux norrois hris « buisson »[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1829, la commune d'Ambrumesnil, instituée par la Révolution française, absorbe celle de Ribeuf[26]. Ribeuf, a occupé autrefois par les Vikings et a accueilli en 1147 un prieuré qui a dépendu de l’abbaye de Tiron en Eure-et-Loir. Une chapelle dédiée à saint Pierre et saint Clair, renommée pour la guérison de certaines maladies des yeux, est édifiée au XVe siècle à l'emplacement du prieuré. Les vestiges de cette chapelle ont été vendus en 1953 à un particulier qui l’a entièrement reconstruite dans sa propriété, à Varengeville-sur-Mer[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie depuis 18012 du canton d'Offranville[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Dieppe-1

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Ambrumesnil était membre de la communauté de communes Saâne et Vienne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Terroir de Caux, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1835   Louis Brunel    
1860 1860 Henry C. de Clercy[Note 4]    
         
1936   André Dehoulle   Agriculteur
         
mars 1977 avril 2014[29] Yvonne Lebourg[30],[31] CNI Agricultrice retraitée
Chevalier de l'Ordre national du mérite
Officier dans l'ordre des palmes académiques
avril 2014 juin 2023[32] Norbert Letellier SE Enseignant
juin 2023[33] En cours
(au 27 juin 2023)
Mickaël Quibel    

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La commune est récompensée d'une première fleur au concours des villes et villages fleuris en 2016[34].

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

L'adduction en eau potable est assurée pour le compte de l'intercommunalité par le prestataire Hydra à compter du [35].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux d'Ouville-la-rivière et de Saint-Denis-d'Aclon dans le cadre du regroupement pédagogique concentré de l'école des trois communes à Ouville[36].

Cimetière[modifier | modifier le code]

En raison de la croissance démographique de la commune, un nouveau cimetière, d'une capacité de 150 caveaux, complétées par un ensemble de 18 cavurnes extensibles et de 11 cases de columbarium et d'un jardin du souvenir, est mis en service en 2022[37].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

En 2021, la commune comptait 488 habitants[Note 5], en stagnation par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
410355351470554515529488492
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
502511474425409401403406415
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
360342354335342353350344344
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
368358326363401450509517507
2017 2021 - - - - - - -
472488-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,0 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 228 hommes pour 242 femmes, soit un taux de 51,49 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,90 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,9 
4,6 
75-89 ans
5,2 
22,5 
60-74 ans
24,9 
24,8 
45-59 ans
24,2 
15,1 
30-44 ans
15,3 
16,3 
15-29 ans
15,0 
16,7 
0-14 ans
14,6 
Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2020 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
6,5 
75-89 ans
9,5 
16,6 
60-74 ans
17,7 
19,5 
45-59 ans
19,1 
18,5 
30-44 ans
17,6 
19,2 
15-29 ans
17,4 
19,1 
0-14 ans
16,8 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin, édifice en grès construit au XVIe siècle. Elle contient une statue polychrome de saint Clair provenant de l'ancienne chapelle de Ribeuf[27].
  • Calvaire de Ribeuf, croix en grès du XVIe siècle, vestige de l'ancienne chapelle de Ribeuf, rénovée et mise en valeur en 2020[27].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Ambrumesnil Blason
D'azur à une croix latine et deux épis de blé passés en sautoir, le tout enfilé dans une couronne, accompagné de trois fleurs de lys, deux aux flancs et une en pointe, le tout d'or[43].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. adjoint au maire de 1855 a 1860
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « La Véloroute du Lin », Je choisis Une balade > Tous les itinéraire, sur seine-maritime-tourisme.com (consulté le ).
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Vienne (G4100600) » (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Ambrumesnil et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Dieppe », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b c d e f g et h François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 28.
  17. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267, 3268.
  18. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 70.
  19. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 1684
  20. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 738.
  21. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 6.
  22. Auðbjǫrg sur le site de Nordic Names (lire en anglais)
  23. Archives départementales de la Seine-Maritime, C 2798.
  24. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 4.
  25. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 843.
  26. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. a b et c « Près de Dieppe, le calvaire de Ribeuf remis en valeur : La commune a restauré le calvaire de Ribeuf, un élément du patrimoine religieux d’Ambrumesnil. Le chantier a eu lieu durant la première semaine de juillet. », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Les maires de Ambrumesnil », sur francegenweb.org (consulté le ).
  29. Maria da Silva, « La maire sortante n'est pas réélue : Défaite cuisante pour Yvonne Lebourg, maire sortante d'Ambrumesnil qui n'a pas été réélue dimanche lors des municipales. Elle cède son siège à Norbert Letellier. », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Fidèles à la situation du premier tour, les électeurs n’ont pas souhaité revoir la maire sortante autour de la table du conseil municipal ».
  30. Aurélien Benard, « Yvonne Lebourg s'engage pour un 7e mandat : A 81 ans, Yvonne Lebourg, le maire sortant d'Ambrumesnil, souhaite faire un septième mandat. Elle propose une liste très remaniée : seuls sortants la suive », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Si une bonne poignée de sortants du mandat 2008-2014 a lâché Madame le maire, certains devraient constituer une liste, deux ont déménagé et Yves Neveu, le deuxième adjoint sortant, souhaiterait profiter de sa retraite ».
  31. « Madame Yvonne LEBOURG née ALEXANDRE : Date du décès : 18 juin 2014 », sur avis-de-deces.net (consulté le ).
  32. « Un maire annonce sa démission pendant la cérémonie des vœux, près de Dieppe : Norbert Letellier, maire d'Ambrumesnil, près de Dieppe (Seine-Maritime), a annoncé vouloir démissionner, lors de la cérémonie des vœux, vendredi 13 janvier 2023 », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ) « J’ai donné le meilleur de moi-même pendant neuf années, je souhaite sincèrement à mon successeur de s’impliquer dans la voie actuelle et d’être avant-gardiste ! ».
  33. « Un nouveau maire élu à Ambrumesnil : Depuis le vendredi 16 juin 2023, Norbert Letellier a cédé son écharpe de maire de la commune d'Ambrumesnil (Seine-Maritime). C'est Mickaël Quibel qui prend sa suite. », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Camille Larher, « Fleurissement : les efforts récompensés : Le concours des maisons fleuries d’Ambrumesnil a été marqué par l’obtention d’une fleur pour la commune. Elle récompense ses efforts d’embellissement », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Nouveau prestataire eau potable », sur terroirdecaux.fr (consulté le ).
  36. « Noter école », Enseignement, sur ambrumesnil.fr (consulté le ).
  37. « Le projet date d'il y a 20 ans : une commune près de Dieppe dispose d'un nouveau cimetière ! : L’inauguration du nouveau cimetière à Ambrumesnil a eu lieu vendredi 7 octobre 2022. Ce projet datant d’il y a 20 ans voit le jour face à la hausse du nombre d’habitants », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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