Arrènes

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Arrènes
Arrènes
Église d'Arrènes.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes de Bénévent-Grand-Bourg
Maire
Mandat
Mickaël Pluviaud
2022-2026
Code postal 23210
Code commune 23006
Démographie
Gentilé Arréniens, Arréniennes
Population
municipale
207 hab. (2021 en diminution de 8 % par rapport à 2015)
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 04′ 20″ nord, 1° 34′ 15″ est
Altitude Min. 329 m
Max. 640 m
Superficie 22,56 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Guéret
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Grand-Bourg
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Arrènes
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Arrènes
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Arrènes

Arrènes est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est limitrophe du département de la Haute-Vienne.

La ligne de chemin de fer Montluçon-Saint-Sulpice-Laurière traverse le territoire de la commune. La station la plus proche est la gare de Marsac, desservie par les trains TER Nouvelle-Aquitaine (lignes de Limoges-Bénédictins à Montluçon-Ville).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le ruisseau Mouilard.

Le territoire de la commune est traversé par l'Ardour et son affluent le Mouilard.

L'Ardour est lui-même un affluent de la Gartempe, donc un sous-affluent de la Loire par la Creuse et la Vienne.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique limousin et le climat montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 094 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bénévent-l'Abbaye à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 013,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Arrènes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,2 %), prairies (29,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,8 %), terres arables (1,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune d'Arrènes regroupe 25 villages dispersés autour du bourg, dans un paysage très vallonné : L'Abbaye, Aigueperse, Aussagne, Les Beiges, Champ-d'Hiver, La Faye-aux-Arrêts (ou Faye-Auzareix), La Fosle (ou Folle), La Galeine, La Gasne, Les Giraudes, Le Jourdaneix, Laplaud, Le Monthuaud, Le Moulard, Moulin-de-Côte-Plane, Le Moulin-de-la-Ronze, Le Moulin-du-Jourdaneix, Le Point-du-Jour, La Pradelle, Puy-Faucher, Reix, La Ronze, Sazeirat, Theil, Les Trois-Piles.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 220, alors qu'il était de 229 en 2013 et de 219 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 52,3 % étaient des résidences principales, 38,1 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Arrènes en 2018 en comparaison avec celle de la Creuse et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (38,1 %) très supérieure à celle du département (19,8 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,3 % en 2013), contre 72,5 % pour la Creuse et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Arrènes en 2018.
Typologie Arrènes[I 1] Creuse[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 52,3 64,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 38,1 19,8 9,7
Logements vacants (en %) 9,6 15,5 8,2

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Arrènes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arrènes.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 70,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 234 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 171 sont en aléa moyen ou fort, soit 73 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Arrènes est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune est dénommée Rena en occitan[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Lieu de passage des pèlerins du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle sur la Via Lemovicensis[réf. nécessaire].

En 1836, la commune d'Arrènes, instituée par la Révolution française, absorbe celle de Reix[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Guéret du département de la Creuse.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bénévent-l'Abbaye[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Grand-Bourg

Pour l'élection des députés, elle faisait partie la première circonscription de la Creuse jusqu'au redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010. La Creuse ne comporte plus désormais qu'une seule circonscription

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Arrènes était membre de la petite communauté de communes de Bénévent-Grand-Bourg, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes dénommée Monts et Vallées Ouest Creuse, mais, à la suite d'une action en justice, ce regroupement intercommunal a cessé d'exister au et les anciennes intercommunalités sont recréées[21],[22]. De ce fait, Arrènes fait à nouveau partie de la communauté de communes de Bénévent-Grand-Bourg.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014[23] Jacky Chabroulet   Retraité
2014 juin 2019[24] Nicolas Aubineau Place publique Agriculteur
Vice-président de la CC Monts et Vallées Ouest Creuse (2017 → 2019)
Démissionnaire
juillet 2020[25] septembre 2022[26] Joëlle Devaud DVG-PS Aide-soignante
Démissionnaire
juillet 2020[27] En cours
(au 16 décembre 2022)
Michaël Pluviaud    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 207 habitants[Note 3], en diminution de 8 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8346937807788271 0311 0551 0301 108
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0381 0491 0901 0651 0771 1001 1391 1821 217
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2201 1821 188898834804731645546
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
494450360286269244222232221
2021 - - - - - - - -
207--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Jusqu'aux années 1910, la commune d'Arrènes comptait plus de 1000 habitants (1220 habitants en 1901). Victime de la première Guerre mondiale puis de l'exode rural comme beaucoup de communes creusoises, sa population a chuté d'environ 80 % en un siècle.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Eutrope inscrit au titre des monuments historiques en 1963[31].
  • le chêne de Sazeirat, également appelé chêne de Sully, est un arbre remarquable, et aurait entre 400 et 500 ans.
    Sa circonférence fait 7,20 mètres à 1,30 mètre du sol. Une grosse branche est cassée à sa base et laisse apercevoir l'intérieur de l'arbre qui est en grande partie creux[32]. On peut le voir dans le spectacle 3D du scénovision de Bénévent-l'Abbaye, dont il est un personnage.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article(s) connexe(s)[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Arrènes et Bénévent-l'Abbaye », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Benevent_sapc » (commune de Bénévent-l'Abbaye) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Benevent_sapc » (commune de Bénévent-l'Abbaye) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Arrènes », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Arrènes », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  20. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Étienne Lejeune sur la "défusion" d'une communauté de communes en Creuse : « Un véritable gâchis », La Montagne, Vianney Loriquet, 18 décembre 2019
  22. Sarah Vildeuil, « La comcom Monts et Vallées Ouest Creuse, c'est fini », sur francebleu.fr, 15 ,juillet 2019 (consulté le ).
  23. « La liste menée par Jacky Chabroullet », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La « Liste de défense des intérêts communaux » est menée par Jacky Chabroullet, maire sortant, dans une équipe sortante renouvelée à moitié de son effectif ».
  24. Julien Rapegno, « Comment un maire rural de la Creuse a-t-il pu disjoncter au point de rédiger un faux document ? », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « L’écharpe tricolore pour Joëlle Devaud », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Arrènes (Creuse) a complété son conseil municipal lors d'une élection partielle », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À la suite de la démission de Joëlle Devaud de ses fonctions de maire, démission acceptée le 7 septembre 2022, une élection municipale partielle complémentaire était organisée ».
  27. « Michaël Pluviaud élu maire », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Notice no PA00099988, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Série Arbres remarquables du Limousin : le chêne de Sazeirat (23) », sur france3-regions.francetvinfo (consulté le ).