Arques-la-Bataille

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Arques-la-Bataille
Arques-la-Bataille
Blason de Arques-la-Bataille
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CA de la Région Dieppoise
Maire
Mandat
Maryline Fournier
2020-2026
Code postal 76880
Code commune 76026
Démographie
Gentilé Arquais
Population
municipale
2 480 hab. (2021 en diminution de 6,06 % par rapport à 2015)
Densité 169 hab./km2
Population
agglomération
35 454 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 49° 52′ 54″ nord, 1° 07′ 37″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 129 m
Superficie 14,68 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Dieppe
(banlieue)
Aire d'attraction Dieppe
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dieppe-2
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Arques-la-Bataille
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Arques-la-Bataille est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Arques-la-Bataille, dont le climat est influencé par la proximité de la Manche, est située à 6 km de Dieppe. Les rivières ont formé un paysage vallonné surmonté de plateaux crayeux. Du château d'Arques-la-Bataille, on peut observer trois vallées principales : les vallées de l'Eaulne et de la Béthune, qui entourent le plateau d'Aliermont, et la vallée de la Varenne.

Ces trois rivières, qui prennent naissance aux abords de la boutonnière du pays de Bray, se retrouvent sur le territoire de la commune pour former le fleuve côtier nommé « l'Arques », dont l'embouchure constitue le port de Dieppe.

Arques-la-Bataille est au débouché des vallées de la Varenne et de la Béthune, au pied de la forêt domaniale du même nom, d'une superficie de 1 000 ha.

La commune est traversée par l'avenue verte, itinéraire cyclable qui relie Paris à Londres.

La commune est située dans l'ancien pays du Talou, territoire constitutif du petit Caux aujourd'hui.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dieppe à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 805,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Arques-la-Bataille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Elle appartient à l'unité urbaine de Dieppe, une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes[11] et 35 454 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,2 %), terres arables (28,9 %), prairies (20,7 %), zones urbanisées (10 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Arques est mentionné sous les formes Arcas en 750 et en 944[17], Arcae en 991[18].

Le nom d’Arques est souvent donné comme équivalent du mot « arche » par référence à un pont sur l'Arques (le fleuve). Cette hypothèse, avancée dès 1839 par Achille Deville dans son Histoire du château d'Arques, est reprise par les toponymistes modernes[19],[20]. C'est donc la rivière d’Arques qui est, dans ce cas, à l'origine du nom de la ville, phénomène que l'on observe fréquemment (cf. Fécamp, Eu, etc.), et non pas l'inverse.

Albert Dauzat et Charles Rostaing[20] assimilent Arques aux autres noms de lieu en Arc, Arques, Arches, etc. Ils signifient « arche d'un pont », voire le pont lui-même. Cette hypothèse est reprise par François de Beaurepaire[20].

La forme Arcas est issue du pluriel d’arca en latin médiéval, lui-même du gallo-roman *ARCA, variante du latin arcus (nom masculin qui a donné « arc »). Elle est semblable à certaines formes anciennes du nom Pont-de-l'Arche (Eure, el Pont des Arcas vers 1047). Cet étymon gallo-roman (« bas latin ») explique le mot français arches (singulier arche)[21]. La forme Arques avec maintien du [k] est caractéristique du dialecte normanno-picard au nord de la ligne Joret et se retrouve dans Arques (Pas-de-Calais, Arkae vers 668). -Arches dans Pont-de-l'Arche est une forme « francienne », c'est-à-dire du français central et parisien, alors qu'elle se trouve bien au nord de la ligne Joret. Par contre, les formes Arques du Sud de la France sont des mauvaises francisations de l'occitan Arcas, issu du nom commun arca « arche, coffre ».

Le déterminant complémentaire -la-Bataille a été ajouté en 1882 en souvenir de la bataille livrée en ce lieu par Henri IV en 1589[20] et afin de remédier à de fréquentes confusions avec Arques dans le Pas-de-Calais.

Histoire[modifier | modifier le code]

À la suite de la confiscation (commise) de l'ensemble des possessions française de Jean sans Terre, par jugement du , Philippe Auguste met, en 1202, le siège devant Arques. Entre-temps, Philippe avait renoué avec Arthur Ier de Bretagne, et ce dernier avait mis alors le siège devant Mirebeau défendu par Aliénor sa grand-mère. Jean sans Terre, furieux de cette nouvelle trahison d'Arthur, se dirige alors vers Le Mans, puis Mirebeau où il prend les assiégeants par surprise et les faits prisonniers, y compris Arthur et Hugues de Lusignan. Ce revers considérable pour Philippe Auguste le pousse à abandonner le siège d'Arques, et quitte la Normandie[22].

Dans le cadre de la reconquête de la Normandie par Philippe Auguste, la ville fait sa reddition, après celle de Rouen intervenue le , et avant Verneuil[23].

Du au s'y déroula la bataille d'Arques livrée par Henri IV contre les Ligueurs menés par le duc de Mayenne.

Durant la Révolution française de 1790 au 8 pluviôse an IX (), Arques fut chef-lieu de canton.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1904 juillet 1912 Alexandre Tassel   Directeur d'entreprise
août 1912 mai 1929 Léon Baudelot   Directeur d'entreprise
mai 1929 février 1930 Pierre Loisif    
février 1930 mai 1935 Léon Baudelot   Directeur d'entreprise
mai 1935 septembre 1944 Albert Thoumyre   Directeur d'entreprise
septembre 1944 octobre 1959 Paul Colin-Baudelot   Directeur d'entreprise
octobre 1959 avril 1960 Louis Saint-Saëns    
avril 1960 mars 1971 Henri Schmeltz   Colonel
mars 1971 mai 2020[24] Guy Sénécal PCF Retraité
Conseiller général du canton d'Offranville (1976 → 1982)
mai 2020[25],[26] En cours
(au 10 août 2020)
Maryline Fournier PCF Conseillère départementale du Canton de Dieppe-2 depuis 2021

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 2 480 habitants[Note 3], en diminution de 6,06 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
700750754808934864810889923
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9139579681 0009619469901 1461 159
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1711 3311 5982 0052 4022 5002 4622 6172 586
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 7352 8132 6532 7422 5462 5352 4862 5552 573
2021 - - - - - - - -
2 480--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

La forte croissance dans la seconde moitié du XIXe siècle est due à l'industrialisation du fond de vallée, en particulier avec la société « La Viscose » créée en 1903 par le chimiste Ernest Carnot, un des fils du président Carnot. Ce site industriel, qui connut par la suite diverses raisons sociales (CTA, Rhône-Poulenc, Regma Solutions), marqua profondément la vie de la commune jusque dans les années 1980. À partir des années 1980-1990, la population baisse légèrement. Il y a plus de naissances que de décès mais le manque de terrains disponibles pour la construction ne permet pas de compenser les phénomènes de décohabitation. Les études conduites dans le cadre du plan local de l'habitat (PLH) de la communauté d'agglomération Dieppe maritime montrent bien le phénomène.

Vie associative[modifier | modifier le code]

L’académie Bach est créée en 1997 à l’initiative de l’adjoint au maire de la commune dans le but de promouvoir et faire vivre l’orgue de jubé installé la même année dans l’église Notre-Dame-de-l’Assomption. L’association organise chaque année un festival de musique ancienne[31] à la fin du mois d’août à Arques-la-Bataille et communes alentour : les églises Saint-Rémy de Dieppe, de Colmesnil-Manneville, de Sainte-Marguerite-sur-Mer, Saint-Valery de Varengeville-sur-Mer, le parc floral du bois des Moutiers, le château de Bosmelet.

Au-delà de ce festival, l’association accompagne de nombreux artistes dans leur démarche de création : Le Poème Harmonique, Café Zimmermann, Les Musiciens de Saint-Julien, Les Basses Réunies, L'Arpeggiata, l’Ensemble Pierre Robert, Hélène Schmitt, Céline Frisch, Benjamin Alard, Benjamin Lazar, Alexandra Rübner, etc.

Enfin, l'académie Bach mène différentes actions de développement des publics : accueil d’artistes en résidence, production d’œuvres insolites, sensibilisation des publics (scolaires, pratiquants amateurs, personnes handicapées…) au travers d’ateliers musicaux, master classes, conférences, expositions, initiation au théâtre baroque, aux danses traditionnelles…[32]

La DRAC de Haute-Normandie lui a par ailleurs confié en 2004 l’inventaire des fonds musicaux anciens conservés en région.

La musique d'Arques-la-Bataille

La musique d'Arques-la-Bataille a été créé en 1920 par les industriels d'Arques qui a donné le nom de la MIA (Musique des Industriels d'Arques) à la suite de la fermeture des usines la musique se renomma la musique d'Arques.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame.
Arques-la-Bataille, Seine-Maritime, maisons XVe et XVIe siècles de style flamand.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Le belvédère de la Baronne, en forêt domaniale, à Arques-la-Bataille Logo des sites naturels français Site classé (1942)[38].
  • Le point de vue de la Pyramide, en forêt domaniale, à Arques-la-Bataille Logo des sites naturels français Site classé (1943)[39].

Arques-la-Bataille dans les arts[modifier | modifier le code]

Arques-la-Bataille est citée dans le poème d'Aragon, Le Conscrit des cent villages[40].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Les ruines du château et la vallée, tableau par Paul Huet, 1839, musée des beaux-arts d'Orléans.
  • Pierre Desceliers (v. 1500-v. 1558), cartographe, y est né.
  • Aymar de Clermont-Chaste (1514-1603), gouverneur d'Arques-la-Bataille et de Dieppe.
  • Henri-Marie Ducrotay de Blainville (1777-1850), zoologiste, y est né.
  • Suzy Depsy (1890-?) y serait née[41].
  • Henri-Lucien-Camille Schmeltz, grand officier[réf. nécessaire] de la Légion d'honneur (1959) [42], né à Champenoux le et mort à Arques-la-Bataille en 1974, maire entre 1960 et 1971, colonel en retraite, ancien déporté.
  • Georges Thurin (1892-1958), y a eu son cabinet d'architecte.
  • Emmanuel Petit, né en 1970, footballeur, champion du monde 1998 a joué à l'E.S. Arques de 1977 à 1984.
  • John Henry Twachtman (1853-1902), peintre impressionniste américain, membre des "Ten American Painters", médaille d'or en peinture à l'Exposition universelle de 1893 à Chicago. Fit de nombreux séjours dans la commune dont il s'inspira pour la plupart de ses eaux fortes.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes d'Arques-la-Bataille

Les armes de la commune d'Arques-la-Bataille, inspirées d'un sceau de la vicomté d'Arques, se blasonnent ainsi :
De gueules à une forteresse de deux tours surmontant un pont de trois arches, le tout d'argent surmontant une rivière d'azur.
(un vitrail de l'église montre les mêmes pièces, mais avec des émaux différents. Le sceau de la vicomté ne montre pas d'émaux.)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Arques-la-Bataille et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Dieppe », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Dieppe », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 978-2-7084-0040-5, OCLC 6403150, BNF 34633052).
  18. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 19.
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979, p. 24, rubrique Arc.
  20. a b c et d de Beaurepaire 1979.
  21. Site du CNRTL : étymologie de "arche"
  22. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 65.
  23. Flambard Héricher 2023, p. 68.
  24. Maria da Silva, « À Arques-la-Bataille, Guy Sénécal veut passer le flambeau à Maryline Fournier : le maire sortant ne se représente pas aux élections municipales des 15 et 22 mars 2020. Sa première adjointe Maryline Fournier veut prendre la relève », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Elle a rejoint Guy Sénécal au sein du conseil municipal d’Arques-la-Bataille, près de Dieppe (Seine-Maritime) en 2008. Maryline Fournier est première adjointe et se dit particulièrement attachée à sa commune et aux habitants ».
  25. « Municipales 2020. Guy Sénécal laisse son fauteuil de maire à Maryline Fournier à Arques-la-Bataille », Paris-Normandie,‎ (Après 50 ans, l’ancien maire a annoncé la victoire au premier tour de sa dauphine désignée, consulté le ) « La liste a obtenu un total de 558 voix sur 1 029 votants, soit 56,08 % des suffrages, ce qui lui assure 18 sièges au conseil municipal. La liste d’Isabelle Poulain « Le Renouveau pour tous » a eu 437 voix, soit 43,92 % des suffrages ce qui lui permet de siéger lors des conseils municipaux avec quatre de ses colistiers. L’absentéisme a été de 43,52 % ».
  26. « Liste des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Le festival de musique ancienne d'Arques-la-Bataille »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  32. Présentation de l’académie Bach sur le site officiel de l’association
  33. « Église Notre-Dame », notice no PA00100545, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. L'orgue du jubé.
  35. Le festival d'Arques-la-Bataille.
  36. « Groupe scolaire », notice no PA76000045, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Notice no PA00100546, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Le belvédère de la Baronne, en forêt domaniale, à Arques-la-Bataille », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  39. « Le point de vue de la Pyramide, en forêt domaniale, à Arques-la-Bataille », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  40. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition), (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375.
  41. « Le Matin : derniers télégrammes de la nuit », sur Gallica, (consulté le ).
  42. « Notice consultable selon les délais légaux », base Léonore, ministère français de la Culture.