Anost

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Anost
Anost
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Autun
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Autunois Morvan
Maire
Mandat
Louis Basdevant
2020-2026
Code postal 71550
Code commune 71009
Démographie
Gentilé Anostiens
Population
municipale
710 hab. (2021 en diminution de 2,47 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 04′ 41″ nord, 4° 06′ 01″ est
Altitude Min. 357 m
Max. 787 m
Superficie 51,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Autun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Autun-1
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Anost
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Anost
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Anost
Liens
Site web anost.fr

Anost (prononcé [ano]) est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Perché à une altitude de 550 m, le petit village d'Anost se situe au cœur du Haut-Morvan montagnard, plus précisément dans la partie nord de la région du Haut Folin et du Mont Beuvray aux sommets massifs, arrondis ou tabulaires, séparés par des vallées souvent encaissées, à pentes raides.

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Les Graillots, rue de la Cure, Anost sous la neige
Les Graillots, rue de la Cure, Anost sous la neige.

La commune d'Anost compte quarante-cinq hameaux : Athez, les Bigeards, les Billons, les Bonnards, la Bussière, Bussy, le Champs de la Gorge, les Chevannes, les Chevreaux, Corcelles, Corterin, le Creux, la Croix des Crots, Dront, En Moulu, la Ferrière (château), les Figuiers, le Fourneau, les Gaudrys, la Genette, les Gilets, les Girards, les Graillots, les Grelodots, l'Île d'Elbe, Joux, la Maison de l'Etang, les Miens, le Mont, Montcimet, le Moulin de Roussillon, la Pierre en Eau, les Pignots, les Places, Prébien, la Roche, les Roux, les Roys, Sanceray, Valterne, Varin, Vaumignon, Velée (chapelle), le Vernay, le Vusin.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

D'un point de vue géologique, le Haut-Morvan montagnard est composé de divers granites et d'un ensemble complexe de roches volcano-sédimentaires, aux sols généralement acides (pH voisin de 5) et principalement dépourvus de calcaire.

La forêt domine le paysage. Y alternent forêts de feuillus (hêtres, chênes) et forêts de résineux (importantes plantations de sapins, d'épicéas, de douglas), bois mixtes et zones de tourbière. L'exploitation forestière y est donc importante (l'enrésinement va croissant).

Sur le territoire de la commune est implantée une forêt domaniale : la forêt d'Anost (contenance : 999,19 ha), qui mêle conifères et feuillus[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

  • Source de la Cure.
  • Rivière d'Anost ou de la Petite-Verrière.
  • La Corcelière.
  • Le Corterin.
  • La Bic.
  • Ruisseau de Vernay.
  • Etang du Vernay.
  • Ruisseau de Rainache.
  • Etang Rainache.
  • La Chaloire.
  • Ruisseau du Chênelet.
  • Fontaine des Basses Cassières.
  • Ruisseau des Fontaines Salées.
  • Ruisseau des Malpeines.
  • Ruisseau de Montmaillot.
  • Ruisseau des Péchues.
  • Bien arrosé, le Haut-Morvan montagnard connaît une pluviométrie annuelle importante (de 1 600 mm à 2 000 mm suivant les sommets).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 262 mm, avec 14,3 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chateau Chinon », sur la commune de Château-Chinon (Ville) à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 252,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,3 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Anost est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Autun, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 42 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,6 %), prairies (22,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), zones urbanisées (1,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

L'église d'Anost abrite dans le bas-côté gauche les gisants de Jehan et Isabeau de Roussillon, restaurés il y a quelques années par l'association Anost Archéologie après avoir été retirés de leur emplacement initial par le curé du lieu en 1852 (date à laquelle ils furent exposés verticalement, contre l'un des murs de l'église)[15].

Parmi les édifices historiques de la commune se trouvent le château de Roussillon (dit le vieux château) ou encore la chapelle Sainte-Claire de Velée[16].

En 1895, Anost dota son hameau d'Athez d'une école mixte de hameau, ce dont bénéficia le hameau de Dront en 1904[17].

Le tacot du Morvan[modifier | modifier le code]

Au début du XXe siècle, la commune était desservie par une des lignes du tacot du Morvan : le chemin de fer d'Autun à Château-Chinon.

Lors de l'ouverture de la ligne en , le terminus se trouvait sur le territoire de la commune d'Anost, à la gare desservant les hameaux de Athez et Corcelles. La ligne fut ensuite prolongée le dans le département de la Nièvre, jusqu'à Château-Chinon.

La commune d'Anost bénéficiait de plusieurs points d'arrêt : un arrêt au hameau les Chevannes, une gare au point kilométrique 19,791 de la ligne à Vaumignon, un arrêt à Velée et enfin une gare aux lieux-dits Athez et Corcelles au point kilométrique 23,725.

Le trafic voyageurs fut stoppé le , remplacé par un service d'autocars. La ligne, fermée définitivement en 1936, fut démontée entièrement en 1939[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2020 en cours Louis Basdevant    
mars 2008 mars 2020 Jean-Claude Nouallet DVG Retraité Fonction publique
juin 1995 mars 2001 Bernard Dessertenne    
mars 1965 mars 1989 André Basdevant SFIO-PS Avocat

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

En 2021, la commune comptait 710 habitants[Note 4], en diminution de 2,47 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2012 1032 2482 7602 8193 0123 4803 6703 863
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 7893 8533 5563 6603 7253 6093 7633 4193 069
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 8682 6122 4112 0141 9721 8821 7261 4681 175
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 0811 058867847746679672672691
2014 2019 2021 - - - - - -
725719710------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Spécialités locales[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Germain.

Anost est le lieu de production de La Foline, une bière bio de fabrication artisanale (non filtrée et non pasteurisée, refermentée en bouteilles ou en fût), par la (micro) brasserie du même nom.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Fête de la Vielle d'Anost[modifier | modifier le code]

Origine

La traditionnelle Fête de la Vielle d'Anost[23],[24] trouve son origine dans la Journée de la vielle et des vielleux qui a lieu le à Montsauche-les-Settons (Nièvre). Cette toute première fête de la vielle en Morvan est alors organisée par Lai Pouèlée, association pour l'expression populaire en Morvan. Ce jour-là, quatre cents spectateurs et une trentaine de musiciens étaient présents.

La fête est transférée à Anost (Saône-et-Loire) en 1979 (une journée le sous le nom de Grande fête de la vielle) puis à Ouroux-en-Morvan (Nièvre) en 1980 (deux journées les 9 (Bal Morvandiau traditionnel) et (Journée de la veille proprement dite) et à Saint-Brisson (Nièvre) en 1981 (une journée le ).

À partir de l'édition 1980, l'Union des groupes et des ménestriers du Morvan (UGMM) reprend l'organisation de la fête qui prend alors le nom de Journée de la veille.

Installation à Anost

À partir de 1982 (deux journées les 4 et ), la fête s'installe définitivement à Anost et à partir de 1983 (deux journées les 27 et ), elle se stabilise dans la seconde quinzaine d'août.

Un festival qui s'inscrit dans la durée

À partir de 1987, à l'occasion des dix ans, elle passe à trois jours et prend le nom de Fête de la vielle en Morvan.

En 1997, pour le 20e anniversaire, elle a lieu sur cinq jours ; en 2002 pour le 25e anniversaire sur quatre jours ; en 2007 et 2012 pour les 30e et 35e anniversaires à nouveau sur cinq jours.

À partir de l'édition 1998, la fête prend son nom actuel de Fête de la Vielle.

Pour son 30e anniversaire en 2007, la Fête de la Vielle a accueilli sur cinq jours 25 000 spectateurs venus de toute la France et de toute l'Europe, ainsi qu'une vingtaine de groupes invités (Morvan, Poitou, Gascogne, Bourbonnais, Espagne, Portugal…) et des centaines de musiciens.

À partir de 2008, elle se déroule sur quatre jours (du jeudi au dimanche vers les 15-) durant lesquels retentissent les cornemuses, les violons, les accordéons diatoniques et les vielles à roues.

Le , lors de sa 36e édition, la fête invite pour la première fois Malicorne, groupe phare de la scène folk française à l'origine en 1973 du renouveau des musiques traditionnelles.

La programmation, consacrée aux musiques traditionnelles du Morvan et d'ailleurs, est riche en concerts variés et en « bœufs ». Outre les concerts sous chapiteau et le grand bal du samedi soir, elle offre au public de nombreuses animations gratuites : concerts dans les rues et les bars, scène ouverte sous la halle, apéritifs-concerts, stages de vielle et stands de luthiers, d'artisans, d'artistes, d'éditeurs, de vente de disques de musique traditionnelle.

La 37e fête de la Vielle a eu lieu du jeudi 21 au dimanche .

Pour son 40e anniversaire, la fête de la Vielle a réuni en 2017 plus de 20 000 festivaliers.

La 41e fête de la Vielle a eu lieu, dans tout le village, du vendredi 17 au dimanche pendant trois jours et trois nuits de festivités. La musique traditionnelle d’ici et d’ailleurs y a rassemblé de nombreux artistes en concerts, en stages et pour animer les bals avec notamment le groupe de renommé internationale Blowzabella pour le concert phare du vendredi soir. L'édition a également proposé des scènes ouvertes, des initiations aux danses "trad", des stages de vielle (découverte et masterclass), des conférences, des projections de films, des stages de bourrées et danses de couple du Morvan, un marché des luthiers, un groupe folklorique, un stage pour les enfants et en off des bœufs[25].

Du 19 au 21 août 2022 a lieu la 45e fête de la Vielle d'Anost (toujours organisée par l'UGMM). S'y produisent des groupes venus d'Italie, d'Angleterre, d'Espagne, du Morvan et de toute la France mais aussi les « Enfants de la 45e », pépinière de l'UGMM, qui se produisent au cœur de la fête. La fête propose à nouveau des scènes ouvertes, des initiations aux danses trad', des stages de vielle et de cornemuse, une conférence, la projection d'un film documentaire, des stages de bourrée et danses de couple du Morvan, un concours de Jeunes talents, un marché des luthiers et le traditionnel « off » du festival avec des « bœufs » dans les rues du village[26].

La 46e Fête de la Vielle d'Anost aura lieu du 18 au 20 août 2023[27].

La fête devrait célébrer sa 50e édition en 2027.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Le château de La Ferrière, bâti par la famille des Chevannes[29]. Le domaine appartenait au XIIIe siècle à l'abbaye Saint-Symphorien d'Autun et aux seigneurs de Glenne. Le château figure sur le cadastre de 1827. Il appartient à la fille du général Boyer[30] ;
  • Le château de Meix, au nord du bourg, fut construit sur ordre de Jacques de Chaugy, baron d'Anost en 1575. Ce château était ceint de fossés et possédait quatre tours. Il n'en reste plus rien ;
  • La maison forte de Vaumignon ;
  • Le manoir de Bussy ;
  • Le château de Roussillon, ruiné par les Armagnacs en 1412 selon Dom Plancher. Les ruines de cette forteresse sont encore visibles à quatre kilomètres au sud du bourg[30],[31],[32].

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Notre-Dame de l'Aillant est une statue de la Vierge à l'Enfant de 850 kg et de 3 mètres de hauteur[33] située sur un point de vue dans les hauteurs du village. Une plaque est fixée au piédestal de cette statue dont le père Jacques-Joseph Mariller, curé de la paroisse, est à l'origine ; y est gravée la mention : « En reconnaissance à la Vierge Marie qui a protégé Anost le . Statue érigée le 5 août et bénite le 26 septembre 1878 »[34] ;
  • L'église, placée sous le vocable de saint Germain[35], date du XIIe siècle pour son abside en cul-de-four et son transept, la nef allongée et flanquée de deux collatéraux ayant été construite au XIXe siècle (1850). Sacristie et accès au clocher (à gauche et à droite du chœur) datant du XVIIIe siècle. Le campanile à charpente couverte d'essaules est remplacé en 1932 par un clocher en moellons en forme de tour carrée[36]. Cette église abrite dans le bas-côté gauche les gisants de Jehan et Isabeau de Roussillon, restaurés dans le cadre d'une démarche finalisée en 2005 qui a permis de replacer ces gisants en haut du collatéral nord, de nettoyer les sculptures, d'éliminer les sels et de découvrir de nombreux vestiges de polychromie[37].
  • La chapelle Sainte-Claire du hameau de Velée[38]. Chapelle décorée par dom Angelico Surchamp en 1966-1967[39]. Cette chapelle est un édifice à l’architecture très simple : une nef rectangulaire se terminant par une abside semi-circulaire, longue de 9,15 m, large de 4,65 m, les murs hauts d’environ 4,40 m, ni voûtée ni plafonnée, mais à la charpente visible. Éclairée de deux baies en plein cintre de part et d’autre de l’unique porte d’accès au centre du mur sud, c’est une église très lumineuse. Les enduits blancs portent un chemin de croix qui accompagne un christ en croix sculpté et placé au centre du mur de l’abside.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Source : « Les forêts domaniales », article rédigé en collaboration avec la direction départementale de l'Office national des forêts et paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 31 (), p. 7-10.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Anost et Château-Chinon (Ville) », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chateau Chinon », sur la commune de Château-Chinon (Ville) - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Chateau Chinon », sur la commune de Château-Chinon (Ville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Autun », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Des gisants doivent gésir », article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 143 de (page 21).
  16. Chapelle Sainte-Claire de Velée, sur anost.fr (consulté le ).
  17. « Les écoles communales du canton de Lucenay-L'Évêque », article d'Alain Dessertenne et Jean-François Rotasperti paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 73 (printemps 1988), pages 25 à 28.
  18. « À travers le Haut-Morvan : le Tacot d'Autun à Château-Chinon de 1900 à 1936 », article de J. Paineau paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 80 (automne 1989), pages 3 à 8.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Site du village d'Anost / Fête de la Vielle
  24. www.mpo-bourgogne.org / Fête de la Vielle
  25. Journal de Saône-et-Loire / Pour sortir / Loisirs / Fête de la Vielle d'Anost 2018
  26. www.ugmm.fr > page d'accueil "19, 20 et 21 Août 2022 45ème FÊTE de la VIELLE - Anost (71)"
  27. www.ugmm.fr > page "18, 19 et 20 août ! 46ème FÊTE de la VIELLE - Anost (71)"
  28. François Portet, Collections ethnographiques et musées ruraux de Bourgogne, revue « Pays de Bourgogne » no 200 de , p. 46-50.
  29. Abbé Baudiau[réf. incomplète].
  30. a et b Roland Niaux, « Notes sur l'histoire d'Anost », sur Histoire et archéologie en Morvan et Bourgogne, avril 2015 (publication originale : 1979).
  31. Jacques Parain, Le vieux château d'Anost, 20 p. (lire en ligne [PDF]).
  32. Christine Bonnard, « Le château de Roussillon (Anost) », Vents du Morvan, no 81,‎ , p. 76-77.
  33. « Notre-Dame de l'Aillant », article de Marie-Thérèse Suhard paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 161 de (pages 14 et 15).
  34. Inscription sur une plaque du piédestal.
  35. « Patrimoine mobilier de l'église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. Brochure de présentation de l'église Saint-Germain d'Anost éditée par la pastorale des réalités du tourisme et des loisirs du diocèse d'Autun (PRTL 71).
  37. Source : notice d'André Strasberg consacrée aux gisants de l'église Saint-Germain-d'Auxerre d'Anost publiée dans Du calice à la locomotive : objets de Saône-et-Loire, Éditions Lieux Dits, Lyon, 2021 (ISBN 9782362191862).
  38. « Patrimoine mobilier de la chapelle », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  39. Laurence Blondaux, Quelques peintures murales remarquables de Saône-et-Loire, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », no 199-200 de , p. 25-31.
  40. Site de la mairie d'Anost

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]