Allex

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Allex
Allex
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Drôme
Maire
Mandat
Gérard Crozier
2020-2026
Code postal 26400
Code commune 26006
Démographie
Gentilé Allexois
Population
municipale
2 567 hab. (2021 en augmentation de 3,76 % par rapport à 2015)
Densité 127 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 45′ 53″ nord, 4° 55′ 03″ est
Altitude Min. 124 m
Max. 220 m
Superficie 20,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Loriol-sur-Drôme
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Allex
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Allex
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Allex

Allex [alɛks] est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes. Les habitants sont appelés les Allexois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Allex est située à 8 km de Crest et à 20 km de Valence.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Le village d'Allex est bâti sur une longue butte calcaire parallèle à la rivière Drôme[1][source insuffisante].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 868 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Guillonville à 446 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 617,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Allex est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Elle appartient à l'unité urbaine d'Allex, une unité urbaine monocommunale[11] de 2 515 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,6 %), zones agricoles hétérogènes (21 %), zones urbanisées (7,1 %), forêts (2,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Ancien village perché, aux ruelles en escaliers et vieilles maisons typiques.

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[17] :

  • Bancel
  • Barnaire
  • Besson
  • Blacherousse
  • Bonnardel
  • Boudras
  • Chabanne
  • Chante
  • Charponnet
  • Chastagnier
  • Château des Ramières
  • Château Pergaud
  • Cornu
  • Cottes
  • Domaine de Lisle
  • Ferme de Grange Neuve
  • Ferme de Pélissier
  • Ferme de Traversier
  • Gabriel
  • Gasquet
  • Gouillasson
  • Grand-Aiguebonne
  • la Garde
  • la Gare des Ramières
  • Lagrange
  • la Riaille
  • la Vermenelle
  • Laye
  • le Pontillard
  • le Prieuré
  • le Rif
  • les Astiers
  • les Aures
  • les Bayle
  • les Bérengères
  • les Bois
  • les Bûches
  • les Burdins
  • les Fanges
  • les Faures
  • les Goujons
  • les Moutiers
  • les Reys
  • les Richards
  • les Toureaux
  • les Vaures
  • le Vercors
  • Mialard
  • Mouret
  • Nodon
  • Petite Aiguebonne
  • Raillon
  • Rey
  • Royannin
  • Sapey
  • Soulier
  • Vincent

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune est dénommée Alèis en occitan[réf. nécessaire].

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :

  • 928 : Alisium (cartulaire de Cluny, 367).
  • 954 : Ælisium seu Elysium in agro Elisiense seu Elysiensi in pago Valentinense (cartulaire de Cluny, 925).
  • 1157 : castrum Alisii (Gall. christ., XVI, 104).
  • 1158 : Alez (Gall. christ., XVI, 106).
  • 1165 : Alescum (cartulaire de Léoncel, 18).
  • 1191 : Aleis (cartulaire de Léoncel, 47).
  • 1280 : de Alesio (archives de la Drôme, E 1512).
  • 1296 : Aleysinum et Aleysium (visites de Cluny).
  • 1397 : castrum Alaysii (ordonn. des rois de France, VIII, 136).
  • 1450 : Alesium (archives de la Drôme, E 1241).
  • 1456 : Allez (inventaire de Saint-Apollinaire [Valence]).
  • 1590 : Ales (rôle de tailles).
  • 1620 : Alles (rôle de tailles).
  • 1705 : Alex (dénombr. de la France, I, 375).
  • 1781 : Alaix (Aff. du Dauphiné).
  • 1891 : Allex, commune du canton de Crest-Nord.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Le nom d'Allex dérive du gaulois Alisum, forme masculine de Alisa « falaise ». La morphologie du lieu explique parfaitement ce toponyme[19],[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[18] :

  • Au point de vue féodal, Allex était une terre patrimoniale de l'église épiscopale de Valence, dont les droits furent confirmés en 1157 par l'empereur Frédéric Ier.
  • Lors du partage des biens de cette église, la terre est passée au chapitre cathédral jusqu'à la Révolution.

Vers 954 : chef-lieu d'un ager : in agro Ælisiense sive Elysiensi in pago Valentinense (cartulaire de Cluny, 925) qui comprenait les communes actuelles d'Allex et de Montoison, et peut-être aussi celle d'Ambonil[18].

XVe siècle : prieuré de l'ordre de Saint-Augustin dépendant du chapitre de Valence[21].

1485 : le village est mentionné divisé en deux : Burgum Marjerie et Burgum ecclesiae (terrier du chapitre de Valence)[18].

1520 : l'église paroissiale Saint-Maurice est attesté : ecclesia Sancti Mauricii de Villa Murato (archives de la Drôme, fonds de l'évêché de Valence)[18].

XVIIIe siècle : construction d'un château par les La Tour du Pin[18].

Avant 1790, Allex était une communauté de l'élection, subdivision et sénéchaussée de Valence.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence, dont la cure était de la collation de l'évêque diocésain, et dont les dîmes appartenaient au prieur du lieu[18].

Aiguebonne[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[22] :

  • XIVe siècle : prioratus Aquebone (pouillé de Valence).
  • 1485 : ecclesia Aque Bone et ecclesia Nostre Domine de Aqua Bona (terrier d'Allex).
  • 1513 : le prioré d'Ayguebonne (inventaire de Saint-Apollinaire [Valence], 373).
  • 1542 : Eaubonne (inventaire de la chambre des comptes).
  • 1635 : Aubonne (archives de la Drôme, E 794).
  • 1763 : Eguebonne et Eyguebonne (Chabeul, notaire à Crest).
  • 1891 : Aiguebonne, ferme et quartier de la commune d'Allex.

Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Augustin (dépendant de celui de Saint-Félix de Valence) connu dès 1246. Il fut placé dans la dépendance de l'abbaye de Saint-Ruf de Valence en 1343 puis uni au chapitre cathédral de Valence en 1440[22].

La seigneurie[22] :

  • 1328 : Aiguebonne est un fief appartenant aux Bochon.
  • 1450 : il passe à Guillaume de Poitiers, seigneur de Barry.
  • 1468 : il passe aux Eurre.
  • 1550 : passe aux Reynier.
  • 1565 : passe aux Clermony-Montoison.
  • 1588 : passe aux Dufour de la Répara.
  • 1727 : passe aux Ollivier, derniers seigneurs.

Le Prieuré[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[23] :

  • 998 : ecclesia de Aleso, in episcopatu Valentinensi (cartulaire de Cluny, 2466).
  • XIVe siècle : prioratus de Alesio (pouillé de Valence).
  • 1485 : prioratus Sancti Baudilii de Allesio (terrier de Saint-Apollinaire [Valence]).
  • 1540 : prioratus Alesii (rôle de décimes).
  • 1891 : Le Prieuré, quartier de la commune d'Allex.

Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (filiation de Cluny) sous le vocable de Saint-Baudille, connu dès le Xe siècle. Son titulaire, décimateur dans les paroisses d'Allex et de Montoison, était aussi seigneur temporel d'Ambonil[23].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

Allex au XIXe siècle illustrée par Alexandre Debelle (1805-1897).

1789 (démographie) : 365 familles[18].

En 1790, Allex devient le chef-lieu d'un canton comprenant, avec la commune de ce nom, celles d'Eurre, de Montoison, d'Ourches, de la Rochette et de Vaunaveys.
La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) place toutes les communes de ce canton dans celui de Crest-Nord[18].

Après les espoirs suscités par la révolution de février 1848, la victoire du camp conservateur aux élections présidentielles de décembre 1848 (Louis-Napoléon Bonaparte) et législatives de 1849 entraîne une reprise en main autoritaire de la société. L'état de siège est imposé après le complot de Lyon, toutes les activités de police relevant de l'armée et tout acte jugé subversif pouvant mener au conseil de guerre. Tous les actes en rapport avec les idées de gauche (socialisme ou républicanisme) sont proscrits. En 1850, le préfet oblige tout les maires du département à imposer la fermeture des cafés, estaminets, auberges, etc. à 22 heures, interdit les jeux de hasard et impose aux aubergistes de faire des rapports. Cette interdiction, prise au nom de la tranquillité publique, est évidemment à caractère politique, ce genre d'endroits étant propice à la propagande en direction des milieux populaires. Le café d'Allex est signalé à la préfecture, son patron étant suspecté d’être président d'une société secrète (préparant un complot républicain)[24].

Afin de prévenir toute prise d’armes, les autorités font rechercher activement armes de guerre, poudre et balles, ainsi que les outils nécessaires à leur fabrication. Le garde champêtre Chollet protège Grange, qui fabriquait de la poudre clandestinement. Quand il est découvert, le maire procède à la suspension du garde, à l’été 1851. À la fin de la suspension, celui-ci démissionne[25].

Le coup d'État du 2 décembre 1851 est connu par affiches le mercredi 3 décembre dans la journée[26]. Le cordonnier et tourneur sur bois Chassoulier passe à Eurre et à Crest pour prendre les nouvelles et les instructions[27]. Le 5, une réunion du conseil municipal a lieu, mais la plupart des conseillers partent avant la fin des délibérations. Le maire, l’avocat et riche propriétaire Thomé, est démissionnaire. L’adjoint Étienne, faisant fonction de maire, fait appliquer les mesures de prévention en relevant la corde du clocher, pour empêcher que le tocsin soit sonné, et en dissimulant les tambours, afin de retirer aux éventuels insurgés des moyens de donner l’alarme[28]. Le 7 décembre, un envoyé des Grânois mobilise la population[28]. Une petite troupe se forme, armée d’une quinzaine de fusils réparés à la hâte par le maréchal-ferrant et le serrurier, et de faux. La plupart des insurgés étaient membres de la société secrète. L’ancien maire, Thomé, reprend alors du service[29].

Les notables ayant eu peur, des mesures sont prises les jours suivant les combats : après avoir été chercher des armes à Crest dans la nuit du 7 au 8, le maire perquisitionne le four à pain, où il trouve une faux emmanchée pour le combat. une garde civique est constituée le 10 décembre par le maire et un général de gendarmerie à la retraite[29].

Lors de la répression qui suit l’insurrection (voir Histoire de la Drôme), le vicaire de la commune écrit aux autorités pour faire libérer le cafetier[30].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, dans la nuit du 25 au , le terrain Temple d'Allex, quartier des Moutiers accueillit le parachutage d'un homme, un radio en provenance d'Alger, surnommé Sibellius[31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie d'Allex.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1949 ?    
1949
(élect. partielle ?)
1953 Henri Seguin    
1953 1959 Henri Seguin   maire sortant
1959 1965 Henri Seguin   maire sortant
1965 1971 ?    
1971 1977 Marc Bruyère    
1977 1983 Marius Raillon    
1983 1989 Marius Raillon   maire sortant
1989 1995 Marius Raillon   maire sortant
1995 2001 Marius Raillon   maire sortant
2001 2008 Gilbert Ninoux    
2008 2014 Gérard Crozier LR artisan
2014 2020 Gérard Crozier   maire sortant
2020 En cours
(au 23 janvier 2021)
Gérard Crozier[32][source insuffisante]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 2 567 habitants[Note 3], en augmentation de 3,76 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1771 0241 2911 3011 4421 4751 5221 5621 669
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6761 6211 5581 6211 6461 4371 4501 3531 456
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4191 4591 5501 3991 4051 3041 3951 2621 274
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 2081 2191 1791 4871 7042 0092 3692 4132 474
2017 2021 - - - - - - -
2 5152 567-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École publique (158 élèves)[37].
  • École Saint-Maurice (89 élèves)[38].
  • l'Ensemble scolaire de l'Archipel (101 élèves) (privé),[39].

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

église Saint-Maurice.

Un pèlerinage de Saint-Joseph a lieu le [21].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : riche plaine céréalière et fruitière, élevage porcin et ovin[21]

  • Marché : le lundi[21]

Commerce[modifier | modifier le code]

Une brocante a lieu le premier dimanche de septembre. Elle est surnommée Big Bazar[21].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

chapelle du Sanctuaire Saint-Joseph.
statue de Saint-Joseph.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Allex Blason
Écartelé : au premier d'argent à l'aigle de sable, au chef d'azur chargé d'un soleil d'or issant et mouvant de l'angle dextre, au deuxième d'azur à la tour crénelée de cinq pièces d'argent ouverte, ajourée et maçonnée de sable, au chef cousu de gueules chargé de trois heaumes d'or tarés de profil, au troisième d'azur à la tour d'argent maçonnée de sable sur un rocher d'or, au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or, au quatrième d'argent à la bande de gueules chargée, en chef, d'une étoile du champ à plomb.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Villages perchés en Drôme - Vallée de la Drôme
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Allex et Guillonville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Guillonville », sur la commune de Guillonville - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Guillonville », sur la commune de Guillonville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 d'Allex », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  18. a b c d e f g h et i J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Allex).
  19. Étymologie des noms de lieux de la Drôme.
  20. Pierre Miquel, Petite Histoire des noms de lieux, villages et villes de France, (ISBN 2226381767).
  21. a b c d e f g h i et j Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Allex.
  22. a b et c J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Aiguebonne).
  23. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 288 (Le Prieuré).
  24. Robert Serre, 1851. Dix mille Drômois se révoltent. L’insurrection pour la République démocratique et sociale, préface de Maurice Agulhon, co-édition Peuple libre/Notre temps, s.l., 2003. (ISBN 2-912779-08-1 et 2-907655-42-6), p. 63-64.
  25. R. Serre, op. cit., p. 111 et 173.
  26. R. Serre, op. cit., p. 129.
  27. R. Serre, op. cit., p. 131.
  28. a et b R. Serre, op. cit., p. 173.
  29. a et b R. Serre, op. cit., p. 174.
  30. R. Serre, op. cit., p. 257.
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