Alien (série de films)

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Alien
Description de cette image, également commentée ci-après
logo original du film Aliens, le retour

Auteur d'origine Ridley Scott
Nombre de films 7
Premier opus Alien, le huitième passager (1979)
Dernier opus Alien: Romulus (2024)
Sociétés de production 20th Century Fox
Brandywine Productions
Dune Entertainment
Scott Free Productions
TSG Entertainment
Pays d'origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Genre science-fiction, horreur

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Alien /ˈeɪliən/ est une série de films de science-fiction américano-britanniques constituée de sept films. L'univers d'Alien a également croisé celui de Predator, notamment pour les films Aliens vs. Predator et Aliens vs. Predator: Requiem.

L'actrice Sigourney Weaver, interprète de Ellen Ripley, au Comic-Con de San Diego 2016, pour le 30e anniversaire de Aliens, le retour.

Films[modifier | modifier le code]

Sortie Titre Réalisateur Actrice principale Date dans l'univers d'Alien
1979 Alien, le huitième passager Ridley Scott Sigourney Weaver 2122
1986 Aliens, le retour James Cameron 2179
1992 Alien 3 David Fincher 2179
1997 Alien, la résurrection Jean-Pierre Jeunet 2379
2012 Prometheus Ridley Scott Noomi Rapace 2093
2017 Alien: Covenant Katherine Waterston 2104
2024
Date sujette à modification
Alien: Romulus Fede Álvarez Cailee Spaeny NC

Synopsis[modifier | modifier le code]

Alien, le huitième passager

Le cargo spatial Nostromo rentre sur Terre après une mission commerciale de routine. L'équipage composé de cinq hommes et deux femmes est plongé en hibernation[1],[2] depuis dix mois. Ils sont tirés de leur léthargie plus tôt que prévu par l'ordinateur de bord du vaisseau[1],[2]. Ce dernier a en effet capté des signaux sonores dans l'espace[1],[2] et, du fait d'une clause attenante à leur contrat de navigation, l'équipage du vaisseau est tenu de vérifier tout indice de vie extraterrestre.

Au cours de cette vérification sur une planète désertique, LV-426, l'officier Kane est attaqué par une forme de vie inconnue, une sorte de créature arachnide qui recouvre son visage en l'étouffant avec sa queue[3]. Après avoir été délivré de la créature étrangère qui semble être morte, l'équipage retrouve le sourire et fait un dernier repas tous ensemble avant de se rendormir[3]. Mais, lors du dîner, Kane est pris de convulsions et voit soudainement son abdomen perforé par une créature qui sort de son corps[4], s'échappe dans les coursives du vaisseau[5] et tue tout l’équipage à l’exception de Ripley qui réussit à s’échapper[1].

Aliens, le retour

Ellen Ripley, unique survivante du cargo spatial Nostromo, dérive dans l'espace à bord d'une navette de sauvetage, endormie en biostase. Sa navette est finalement retrouvée en 2179, soit cinquante-sept ans plus tard et rapatriée sur la station spatiale Gateway, en orbite autour de la Terre. Après sa convalescence, Ripley est convoquée par son ancien employeur, la compagnie Weyland-Yutani qui lui demande de justifier la perte de l'équipage et du vaisseau Nostromo dont elle avait la charge. Son récit est mis en doute par la compagnie. Quelque temps après, Ripley est contactée par Carter Burke, l'avocat de la compagnie, accompagné du lieutenant Gorman des Marines coloniaux. Il s'avère que la liaison avec LV-426 a été mystérieusement interrompue et la compagnie souhaite envoyer sur place une unité de Marines pour enquêter. Burke propose à Ripley de les accompagner en tant que consultante. Traumatisée par sa précédente expérience, celle-ci refuse tout d'abord, malgré le fait que Burke lui garantit sa réintégration en tant que commandant de bord[6].

Alien 3

2179. Ellen Ripley et ses compagnons rescapés (la jeune Newt, le caporal Hicks et l'androïde Bishop) dorment en biostase à bord de l'USS Sulaco. Le vaisseau spatial retourne vers la Terre après les évènements sur LV-426. Mais un facehugger est présent à bord et brise l'une des capsules de stase où ils dorment. Son sang acide provoque un incendie. L’ordinateur de bord du Sulaco éjecte alors les cryotubes des quatre passagers dans une unité de sauvetage (EEV). La capsule EEV s'écrase peu après sur Fiorina « Fury » 161, une planète-prison où se trouve une colonie minière pénitentiaire, composée uniquement d'hommes[7].

Alien, la résurrection

En 2379, 200 ans après le suicide d'Ellen Ripley, des scientifiques parviennent à recréer un clone à partir d'échantillons de son sang collectés avant sa mort. Après que la reine alien a été extraite du ventre de Ripley et placée en captivité, le clone de Ripley est maintenu en vie sur le vaisseau spatial USM Auriga pour complément d'étude. Son ADN s'étant mélangé avec celui de l'alien pendant le processus de clonage, la « nouvelle » Ripley développe une force accrue et des réflexes surhumains, du sang acidifié et un lien empathique avec les aliens[7].

Prometheus

En 2089, l'archéologue Elizabeth Shaw et son compagnon Charlie Holloway découvrent, sur l'île de Skye en Écosse, une peinture préhistorique figurant un humanoïde désignant six étoiles, peinture quasi identique à des représentations picturales découvertes chez d'autres civilisations datant d'autres époques. En 2093, une expédition scientifique est organisée par la société Weyland. Celle-ci envoie le vaisseau Prometheus jusqu'à une lune lointaine appelée LV-223 et censée être l'endroit indiqué sur les images. Le voyage dure deux ans pendant lesquels l'androïde David 8 surveille le vaisseau alors que l'équipage est en biostase. Shaw et Holloway expliquent le but du voyage à l'équipage : explorer une planète probablement peuplée d'extraterrestres qu'ils nomment les « Ingénieurs », qui seraient responsables de la création de l'humanité. Le vaisseau se pose près d'un immense dôme artificiel, et plusieurs membres de l'équipage explorent l'intérieur du bâtiment. Ils y trouvent le corps décapité d'un « Ingénieur », mort deux mille ans plus tôt, et une grande salle parsemée d'urnes et ressemblant à un temple. Une statue monumentale y représente une tête d'humanoïde, et des fresques étranges figurent notamment des xénomorphes[8].

Alien: Covenant

Des années plus tard, en 2104, l'USCSS Covenant est un vaisseau spatial de la société Weyland-Yutani[9]. À son bord, un équipage d'une quinzaine de membres (dont un androïde bâti sur le même modèle que David, Walter) qui transporte plus de 2 000 colons en hibernation et 1 140 embryons humains. Le vaisseau vole vers Origae-6, une planète habitable, afin d'y implanter une colonie. Après une éruption stellaire voisine, une importante avarie tue plusieurs personnes, dont le capitaine Jacob Branson. En réparant leur vaisseau, l'équipage reçoit un message mystérieux provenant d'une planète inconnue. Cette planète, plus proche que la destination initiale du Covenant, présente aussi des conditions plus propices à l'installation d'une colonie. Contre l'avis du premier officier et veuve de Branson, Daniels, le capitaine en second, Oram, décide de changer le plan de route du Covenant et d'aller enquêter sur cette nouvelle planète[10].

Alien: Romulus

Un groupe d'adolescents va devoir affronter les xénomorphes[11].

Histoire dans l'ordre chronologique[modifier | modifier le code]

logo de la franchise

2089-2093 (Prometheus)[modifier | modifier le code]

2089[modifier | modifier le code]

L'archéologue Elizabeth Shaw et son compagnon Charlie Holloway découvrent, sur l'île de Skye en Écosse, une peinture préhistorique figurant un humanoïde désignant six étoiles, peinture quasi identique à des représentations picturales découvertes chez d'autres civilisations datant d'autres époques[12].

2091-2093[modifier | modifier le code]

Une expédition scientifique est organisée par la société Weyland, qui envoie dix-sept membres à bord du vaisseau Prometheus, jusqu'à une planète lointaine appelée LV-223, censée être l'endroit indiqué sur les images. Arrivés à destination l'androïde David infecte Charlie Holloway avec une mystérieuse substance noire trouvée dans un immense dôme artificiel, où se trouve le corps décapité d'un Ingénieur (un alien géant ayant un ADN humain), mort deux mille ans plus tôt. Après avoir couché avec lui, sa compagne Elizabeth Shaw découvre qu'elle est « enceinte » d'un alien. Elle parvient à l'extraire et sera la seule survivante de la mission, avec l'androïde David très mal en point. Le , ils s'enfuient de la planète à bord d'un vaisseau appartenant aux Ingénieurs et décident de se rendre sur la planète de ces mêmes Ingénieurs.

2104 (Alien: Covenant)[modifier | modifier le code]

L'USCSS Covenant est un vaisseau spatial de la société Weyland-Yutani, avec à son bord un équipage d'une quinzaine de membres et plus de 2 000 colons en hibernation et 1 000 embryons humains. Le vaisseau vole vers Origae-6, une planète habitable, pour y implanter une colonie[13].

En chemin vers Origae, l'équipage du Covenant s'arrête sur une planète mystérieuse qui semble propice à la colonisation. Ils y retrouvent dans une nécropole d'Ingénieurs l'androïde David, seul survivant de l'équipage du Prometheus, et y découvrent le corps d'Elizabeth Shaw. Le robot explique qu'il s’était mis à étudier seul les différentes mutations du pathogène tout en développant un certain mépris pour les humains et une fascination pour les créatures extraterrestres.

Daniels Branson, officier de terraformation du Covenant, comprend que Shaw n'est pas morte à la suite de l'accident du vaisseau, comme le prétend David, mais qu'elle a servi de cobaye à ses sinistres expériences. Elle est attaquée par David mais est sauvée in extremis par l'androïde Walter, qui désapprouve les méthodes de son modèle.

Atteints par les spores de la planète ou attaqués par des Xénomorphes, l'équipage est décimé. Finalement Walter aide Daniels et Tennessee, les deux derniers humains rescapés de l'équipage, à se mettre en hyper-sommeil sur le Covenant. Au moment où elle retourne dans son caisson, Daniels réalise avec horreur que David a usurpé l'identité de son jumeau et elle est précipitamment plongée en hibernation avant d'avoir pu tenter quoi que ce soit. Ayant pris les commandes du vaisseau, David régurgite deux embryons de facehuggers qu'il conservait en lui, puis les range dans la chambre froide contenant les embryons humains et s'apprête à poursuivre ses expériences. Il émet un rapport radio annonçant que le Covenant a subi une violente éruption stellaire, qu'il n'y a plus que deux membres d'équipage survivants, que l'ensemble des colons sont sains et saufs et que le vaisseau continue vers sa destination programmée. Il masque ainsi tous les événements qui viennent d'avoir lieu et ses sombres intentions.

2122 (Alien, le huitième passager)[modifier | modifier le code]

Le cargo interstellaire Nostromo retourne vers la Terre. L'ordinateur de bord — appelé « Maman » — interrompt le trajet et réveille les sept membres de l'équipage maintenus en biostase, le capitaine Dallas, son second Kane, le lieutenant Ellen L. Ripley, la navigatrice J. M. Lambert, l'officier scientifique Ash, l'ingénieur J. T. Parker et le technicien S. E. Brett. Ils apprennent qu'un signal radio d'origine inconnue a été capté à mi-chemin, émis depuis un planétoïde du système binaire Zeta Reticuli. Leurs contrats stipulant qu'ils sont tenus d'enquêter sur toute possibilité de vie extraterrestre, ils décrochent la remorque du vaisseau et se rendent sur la petite planète LV-426. Kane est victime d'un parasite sorti d'un œuf qui se fixe à son visage. Il meurt quelques heures plus tard en libérant un xénomorphe qui décime quasiment tout l'équipage. Ripley ne parvient à s'en sortir qu'après avoir enclenché l'autodestruction du vaisseau et éjecté la créature dans l'espace. Elle finit en biostase avec son chat, à la dérive dans le vide spatial.

2179 (Aliens, le retour et Alien 3)[modifier | modifier le code]

Film Aliens, le retour[modifier | modifier le code]

Toujours en biostase, la navette de Ripley a dérivé durant 57 ans avant d'être retrouvée. Ripley est rapatriée sur la station orbitale Gateway. Rendue fautive de la destruction du Nostromo, Ripley est contrainte par la compagnie à une nouvelle mission pour retrouver sa licence. À bord de l’USS Sulaco, elle se rend alors comme conseillère sur la planète LV-426 avec des marines armés jusqu'aux dents. Elle y fera notamment la connaissance de Newt, une jeune orpheline, et du caporal Dwayne Hicks. Ils seront les seuls survivants du nouveau massacre perpétré par les aliens mis au monde par la reine Xénomorphe. Après avoir fait exploser la colonie, ils fuient dans une navette pilotée par l'androïde Bishop. Ripley combat sur l’USS Sulaco la reine qui s'est agrippée à la navette. Elle l’expulse dans l'espace. Les rescapés se mettent en biostase sur l’USS Sulaco avant le voyage de retour[14].

Film Alien 3[modifier | modifier le code]

Durant son voyage vers la terre, le Sulaco connait une avarie et une capsule de sauvetage automatique s'écrase sur Fiorina-16, une ancienne planète-prison de la compagnie Weyland-Yutani. Durant le crash, Hicks et Newt sont tués dans leur sommeil. Ripley, seule survivante, doit alors coexister avec les repris de justice masculins qui peuplent les lieux. La compagnie donne l'ordre au dirigeant des lieux, Harold Andrews, de protéger Ripley jusqu'à l'arrivée d'une navette de secours. Après avoir affronté et détruit l'alien, Ripley comprend qu'elle a un alien dans son propre corps et qu'il s'agit d'une reine. Les secours sont menés par Michael Weyland, parfait sosie de l'androïde Bishop, en fait son créateur. L'homme tente de convaincre Ripley de se faire extraire son embryon par chirurgie mais elle refuse, méfiante de ses intentions. Elle se suicide en se jetant dans du métal en fusion, pour empêcher la compagnie d'utiliser l'alien qu'elle allait « mettre au monde ».

2379 (Alien, la résurrection)[modifier | modifier le code]

200 ans après son suicide, des scientifiques parviennent après plusieurs tentatives à cloner Ripley d'après un échantillon de sang collecté sur Fiorina-16. Ils en extraient une Reine alien. Pour l'intérêt scientifique, le 8e clone d'Ellen Ripley est conservé et peu à peu éduqué, sur le vaisseau Auriga. Les scientifiques perdent le contrôle des aliens qui massacrent la majeure partie de l'équipage.

Ripley chutant dans le nid des aliens, est amenée devant la reine et assiste à la naissance du « newborn », un hybride humain/alien et hideux mélange des traits des deux espèces. Celui-ci ne naît désormais plus dans un œuf, mais via un utérus que Ripley a transmis à la reine grâce à son ADN. Le newborn reconnaît d'ailleurs Ripley comme sa mère et tue rapidement la reine alien.

Parvenant à rallier le vaisseau Betty avec l'androïde Call et les mercenaires Vriess et Johner pour retourner sur terre, Ripley est suivie par l'hybride. Elle utilise alors son propre sang pour creuser un trou dans un hublot, ce qui projette la créature dans le vide spatial. Le Betty parvient finalement à rentrer sur Terre, tandis que l’Auriga explose.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Équipe Films Préquelles Autre
Alien, le huitième passager
(1979)
Aliens, le retour
(1986)
Alien 3
(1992)
Alien, la résurrection
(1997)
Prometheus
(2012)
Alien: Covenant
(2017)
Alien: Romulus
(2024)
Titre original Alien Aliens Alien3 Alien: Resurrection Prometheus Alien: Covenant Alien: Romulus
Réalisateurs Ridley Scott James Cameron David Fincher Jean-Pierre Jeunet Ridley Scott Fede Álvarez
Scénaristes Dan O'Bannon James Cameron Larry Ferguson Joss Whedon Jon Spaihts Michael Green Fede Álvarez
Ronald Shusett (histoire) David Giler Damon Lindelof Jack Paglen Rodo Sayagues
Walter Hill John Logan (réécritures)
Vincent Ward (histoire)
Musique Jerry Goldsmith James Horner Elliot Goldenthal John Frizzell Marc Streitenfeld Jed Kurzel Benjamin Wallfisch
Montage Terry Rawlings Ray Lovejoy Terry Rawlings Hervé Schneid Pietro Scalia Jake Roberts
Peter Weatherley
David Crowther (director's cut) David Crowther (director's cut)
Producteurs Gordon Carroll Ridley Scott
David Giler Michael A. Pruss
Walter Hill
Ronald Shusett (délégué) Gale Anne Hurd Ezra Swerdlow Bill Badalato Mark Huffam
Sigourney Weaver (co) Damon Lindelof Michael Schaefer
Sociétés de
production
20th Century Fox 20th Century Studios
Brandywine Productions
SLM Production Group Scott Free Productions
Dune Entertainment TSG Entertainment
Distribution 20th Century Fox 20th Century Studios
Sortie
Drapeau des États-Unis États-Unis
Date sujette à modification

(director's cut)
Sortie
Drapeau de la France France
Date sujette à modification

(director's cut)
Genres Action, horreur, science-fiction
Durée 116 minutes 137 minutes 114 minutes 108 minutes 124 minutes 122 minutes NC
115 minutes
(director's cut)
154 minutes
(édition spéciale)
145 minutes
(édition spéciale)
116 minutes
(édition spéciale)
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni

Distribution[modifier | modifier le code]

Personnages Films Préquelles Autre
Alien, le huitième passager
(1979)
Aliens, le retour
(1986)
Alien 3
(1992)
Alien, la résurrection
(1997)
Prometheus
(2012)
Alien: Covenant
(2017)
Alien: Romulus
(2024)
Ellen Ripley
Ripley Clone n°8
Sigourney Weaver
Dallas Arthur Tom Skerritt
Joan Lambert Veronica Cartwright
Samuel Brett Harry Dean Stanton
Ash Ian Holm
Dennis Parker Yaphet Kotto
Gilbert Kane John Hurt
Bishop
Michael Bishop II
Lance Henriksen
Rebecca « Newt » Jorden Carrie Henn Danielle Edmond
Dwayne Hicks Michael Biehn
Leonard Dillon Charles Dutton
Dr Jonathan Clemens Charles Dance
Annalee Call Winona Ryder
Johner Ron Perlman
Vriess Dominique Pinon
Elizabeth Shaw Noomi Rapace Noomi Rapace
(caméo photographique non crédité)
Charlie Holloway Logan Marshall-Green
Meredith Vickers Charlize Theron
David Michael Fassbender
Peter Weyland Guy Pearce
Walter Michael Fassbender
Daniels Katherine Waterston
Christopher Oram Billy Crudup
Tennessee Danny McBride
Rain Carradine Cailee Spaeny
Kay Isabela Merced

Accueil[modifier | modifier le code]

Box-office[modifier | modifier le code]

Films Budget Box-office : recettes Réf Box-office : entrées Réf
Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau du Canada Canada
Reste du monde Alt=Image de la Terre Mondial Drapeau de la France France Paris
Alien, le huitième passager 11 000 000 $ 80 931 801 $ 122 700 000 $ 203 631 801 $ [15] 2 887 121 612 090 [16]
Aliens, le retour 18 000 000 $ 85 160 248 $ 98 156 207 $ 183 316 455 $ [15] 1 720 593 401 077 [17]
Alien 3 50 000 000 $ 55 473 545 $ 104 340 953 $ 159 814 498 $ [15] 1 652 838 358 226 [18]
Alien, la résurrection 70 000 000 $ 47 795 658 $ 113 580 410 $ 161 376 068 $ [15] 2 845 095 584 655 [19]
Prometheus 125 000 000 $ 126 477 084 $ 276 877 385 $ 403 354 469 $ [15] 1 837 125 549 140 [20]
Alien: Covenant 97 000 000 $ 74 262 031 $ 166 629 732 $ 240 891 763 $ [15] 1 291 906 316 524 [21]
Total 371 000 000 $ 470 100 007 $ 882 284 687 $ 1 352 384 694 $ 12 234 678 2 821 712

Critique[modifier | modifier le code]

Film Allociné Rotten Tomatoes Metacritic CinemaScore
Alien, le huitième passager 4,3 (34686 notes)[22] 97% (102 critiques)[23] 83 (22 critiques)[24] NC
Aliens, le retour 4,1 (23425 notes)[25] 98% (63 critiques)[26] 87 (9 critiques)[27] A[28]
Alien 3 3,7 (18294 notes)[29] 44% (45 critiques)[30] 59 (20 critiques)[31] C[28]
Alien, la résurrection 3,7 (18176 notes)[32] 54% (71 critiques)[33] 63 (21 critiques)[34] B-[28]
Prometheus 3,2 (25433 notes)[35] 72% (278 critiques)[36] 65 (42 critiques)[37] B[28]
Alien: Covenant 2,8 (9452 notes)[38] 74% (109 critiques)[39] 64 (19 critiques)[40] B[28]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Dans les coulisses de Alien (Jonathan W. Rinzler, Éditions Huginn & Muninn, 2019) (ISBN 9782364806924)
  • Aliens, La guerre selon Cameron (Simon Ward, Éditions Huginn & Muninn, 2016) (ISBN 9782364804487)
  • Alien, Toutes les archives (Éditions Huginn & Muninn, 2015) (ISBN 9782364803428)
  • Prometheus, l'Univers du film (Mark Salisbury, Éditions Akileos, juin 2012)   (ISBN 9782355741067)
  • Tout l'Art du Film “Alien Covenant“ (Simon Ward, Éditions Huginn&Muninn, mai 2017)   (ISBN 9782364805538)

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Jonathan W.. Rinzler, Dans les coulisses de Alien, dl 2019, 336 p. (ISBN 978-2-36480-692-4 et 2-36480-692-5, OCLC 1129379598, lire en ligne)
  2. a b et c « Alien, le huitième passager de Ridley Scott - (1979) - Film de science-fiction », sur Telerama.fr (consulté le ).
  3. a et b « Alien, le huitième passager », sur CinemaFantastique.net (consulté le ).
  4. « Alien, le huitième passager de Ridley Scott (1979) », sur programme-tv.net (consulté le ).
  5. « Alien, le huitième passager », sur Allociné.fr (consulté le ).
  6. Simon W. Ward (trad. de l'anglais), Aliens : la guerre selon Cameron, Paris/San Francisco, Huginn & Muninn, dl 2016, ©2016, 139 p. (ISBN 978-2-36480-448-7 et 2-36480-448-5, OCLC 960337700, lire en ligne)
  7. a et b "Alien" : toutes les archives. (trad. de l'anglais), Paris/San Francisco, Huginn & Muninn, dl 2015, 316 p. (ISBN 978-2-36480-342-8 et 2-36480-342-X, OCLC 962279349, lire en ligne)
  8. Mark, ... Salisbury (trad. de l'anglais), "Prometheus" : l'univers du film, Talence, Akileos, impr. 2012, 186 p. (ISBN 978-2-35574-106-7 et 2-35574-106-9, OCLC 828233437, lire en ligne)
  9. « Alien Covenant : première photo dévoilée », sur ActuCiné, (consulté le ).
  10. Simon Ward (trad. de l'anglais), Tout l'art du film Alien : Covenant, Paris/New York, Huginn Muninn, , 188 p. (ISBN 978-2-36480-553-8 et 2-36480-553-8, OCLC 1005212820, lire en ligne)
  11. « Alien » (fiche film), sur Allociné
  12. Mark, … Salisbury, "Prometheus" : l'univers du film, Akileos, impr. 2012 (ISBN 978-2-35574-106-7 et 2-35574-106-9, OCLC 828233437, lire en ligne)
  13. Simon Ward, Tout l'art du film Alien : Covenant, (ISBN 978-2-36480-553-8 et 2-36480-553-8, OCLC 1005212820, lire en ligne)
  14. Simon W. Ward, Aliens : la guerre selon Cameron, Huginn & Muninn, dl 2016, ©2016 (ISBN 978-2-36480-448-7 et 2-36480-448-5, OCLC 960337700, lire en ligne)
  15. a b c d e et f (en) « Alien franchise », The Numbers (consulté le )
  16. « Alien, le huitième passager », sur JP box-office.com (consulté le )
  17. « Aliens, le retour », sur JP box-office.com (consulté le )
  18. « Alien 3 », sur JP box-office.com (consulté le )
  19. « Alien, la résurrection », sur JP box-office.com (consulté le )
  20. « Prometheus », sur JP box-office.com (consulté le )
  21. « Alien: Covenant », sur JP box-office.com (consulté le )
  22. AlloCine, « Alien, le huitième passager » (consulté le )
  23. (en) « Alien », Rotten Tomatoes
  24. (en) « Alien (1979): Reviews », Metacritic
  25. AlloCine, « Aliens le retour » (consulté le )
  26. (en) « Aliens », Rotten Tomatoes
  27. (en) « Aliens (1986): Reviews », Metacritic
  28. a b c d et e (en) « CinemaScore », cinemascore.com (consulté le )
  29. AlloCine, « Alien³ » (consulté le )
  30. (en) « Alien 3 », Rotten Tomatoes (consulté le )
  31. (en) « Alien 3 (1992): Reviews », Metacritic
  32. AlloCine, « Alien, la résurrection » (consulté le )
  33. (en) « Alien Resurrection », Rotten Tomatoes (consulté le )
  34. (en) « Alien Resurrection (1997): Reviews », Metacritic
  35. AlloCine, « Prometheus » (consulté le )
  36. (en) « Prometheus », Rotten Tomatoes (consulté le )
  37. (en) « Prometheus (2012): Reviews », Metacritic
  38. AlloCine, « Alien: Covenant » (consulté le )
  39. (en) « Alien: Covenant », Rotten Tomatoes (consulté le )
  40. (en) « Alien: Covenant Reviews », Metacritic

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]