Albaret-le-Comtal

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Albaret-le-Comtal
Albaret-le-Comtal
La mairie, en 2015.
Blason de Albaret-le-Comtal
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac
Maire
Mandat
Frédérique Pellissier-Godard
2020-2026
Code postal 48310
Code commune 48001
Démographie
Gentilé Albaretois
Population
municipale
151 hab. (2021 en diminution de 14,2 % par rapport à 2015)
Densité 5,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 33″ nord, 3° 07′ 41″ est
Altitude Min. 740 m
Max. 1 161 m
Superficie 29,56 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Saint-Chély-d'Apcher
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Peyre en Aubrac
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Albaret-le-Comtal
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Albaret-le-Comtal

Albaret-le-Comtal est une commune française, située dans le nord-ouest du département de la Lozère en région Occitanie.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Bès, le Bernadel, le ruisseau d'Arzenc, le ruisseau de Rieubain et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional de l'Aubrac, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Albaret-le-Comtal est une commune rurale et littorale qui compte 151 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 828 habitants en 1821. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher. Ses habitants sont appelés les Albaretois ou Albaretoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le nord du département de la Lozère et est limitrophe du Cantal, dans le Massif central et en Aubrac.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le réseau hydrographique est orienté vers le Bès, qui longe la commune au nord-ouest.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 037 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Paulhac-en-Margeride à 21 km à vol d'oiseau[4], est de 7,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 061,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

La commune fait partie du parc naturel régional de l'Aubrac, créé par décret le [10] et occupant une superficie de 220 284 ha. Région rurale de moyenne montagne, l’Aubrac possède un patrimoine encore bien préservé. Son économie rurale, ses paysages, ses savoir-faire, son environnement et son patrimoine culturel reconnus n'en demeurent pas moins vulnérables et menacés et c'est à ce titre que cette zone a été protégée[11],[12].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 1] sont recensées sur la commune[13] : les « gorges du Bès » (1 345 ha), couvrant 11 communes dont quatre dans le Cantal et sept dans la Lozère[14], et la « vallée de la Truyère barrage de Grandval » (6 199 ha), couvrant 13 communes dont 12 dans le Cantal et une dans la Lozère[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[13] : la « vallée de la Truyère » (30 569 ha), couvrant 40 communes dont quatre dans l'Aveyron, 27 dans le Cantal et neuf dans la Lozère[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Albaret-le-Comtal est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[17],[I 1],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac du Barrage de Grandval, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,8 %), prairies (26 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,2 %), eaux continentales[Note 5] (1,8 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Albaret-le-Comtal est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Albaret-le-Comtal est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[25]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[25],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Albaret-le-Comtal.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs[27].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 19,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 147 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 40 sont en aléa moyen ou fort, soit 27 %, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003 et 2020.

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Albaret-le-Comtal est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Désigne un lieu où pousse le peuplier blanc ou le saule blanc (occitan albar).[réf. nécessaire]

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune d'Albaret-le-Comtal est membre de la communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Peyre en Aubrac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[31].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Peyre en Aubrac pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[32].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires d'Albaret-le-Comtal[33]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2019
(Décès)[34]
Clément Donnadieu DVD Retraité de l'enseignement
2019 2020 Denis Salvan[35]    
2020 En cours Frédérique Pellissier-Godard    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 151 habitants[Note 7], en diminution de 14,2 % par rapport à 2015 (Lozère : +0,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
817560765828609795697754792
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
719637695637661662644547543
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
585576599519510503513459351
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
349303273248227198195186172
2021 - - - - - - - -
151--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,6 % la même année, alors qu'il est de 32,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 97 hommes pour 78 femmes, soit un taux de 55,43 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,96 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 5]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
3,9 
14,7 
75-89 ans
14,3 
21,1 
60-74 ans
26,0 
15,8 
45-59 ans
18,2 
22,1 
30-44 ans
15,6 
10,5 
15-29 ans
13,0 
15,8 
0-14 ans
9,1 
Pyramide des âges du département de la Lozère en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,8 
8,8 
75-89 ans
11,7 
21,1 
60-74 ans
20,6 
21,8 
45-59 ans
20,5 
16,4 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,5 
15,4 
0-14 ans
14,8 

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 80 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 159 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 770 [I 6] (20 420  dans le département[I 7]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 3,5 % 3,8 % 9,7 %
Département[I 9] 5 % 6,4 % 7,1 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 95 personnes, parmi lesquelles on compte 80,6 % d'actifs (71 % ayant un emploi et 9,7 % de chômeurs) et 19,4 % d'inactifs[Note 9],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 49 emplois en 2018, contre 60 en 2013 et 67 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 70, soit un indicateur de concentration d'emploi de 69,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52 %[I 12].

Sur ces 70 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 42 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 71 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 13 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Barthélemy.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Ricardo D. Schwartz (1912-2002), photographe et peintre humaniste, est mort à Albaret-le-Comtal.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason d'Albaret-le-Comtal

Le blasonnement est : de sinople à l'arbre d'argent, au chef cousu d'azur chargé d'une couronne comtale d'or.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Albaret-le-Comtal » (consulté le ).
  5. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Albaret-le-Comtal (48001) », (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Albaret-le-Comtal » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Albaret-le-Comtal » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Albaret-le-Comtal » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  5. « Station Météo-France « Paulhac-en-Margeride_sapc » (commune de Paulhac-en-Margeride) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Paulhac-en-Margeride_sapc » (commune de Paulhac-en-Margeride) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  11. « Pourquoi un PNR sur l'Aubrac ? », sur parc-naturel-aubrac.fr (consulté le ).
  12. « PNR de l'Aubrac - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune d'Albaret-le-Comtal », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF les « gorges du Bès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF la « vallée de la Truyère barrage de Grandval » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF la « vallée de la Truyère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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