Église du Pater Noster de Jérusalem

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Église du Pater Noster
Image illustrative de l’article Église du Pater Noster de Jérusalem
Vue extérieure de l'église.
Présentation
Culte catholique
Rattachement Ordre du Carmel
Début de la construction (première) IVe siècle
Autres campagnes de travaux XIXe siècle
Géographie
Pays
Ville Jérusalem-Est
Coordonnées 31° 46′ 41″ nord, 35° 14′ 43″ est

Carte

L’église du Pater Noster, ou Apostoleion, est un édifice religieux catholique sis sur le mont de l'Ascension, à Jérusalem-Est, en Terre sainte. Elle est aussi appelée Éléona (du grec elaiōn « oliveraie »). Cette église est construite sur le site où, d'après la tradition, Jésus enseigna à ses disciples le Notre Père (Luc 11:1-4) (en latin Pater Noster). Cette tradition est confirmée par les Actes de Jean à Rome, écrits apocryphes du IIIe siècle[1], et plus tard par Arculfe[2] au VIIe siècle[3]. Le site est mentionné par Égérie vers 385 lors de son pèlerinage, dans le Burdigalensis[4] et par Eusèbe de Césarée. Le site appartient au domaine national français en Terre sainte depuis la fin du XIXe siècle.

Construction initiale[modifier | modifier le code]

Intérieur du couloir en 1867.

Sur le site a d'abord été construite au IVe siècle une église liée à l'Ascension du Christ[5] par Constantin sous la direction de sa mère Hélène qui lui donna comme nom Église des Disciples[6]. Égérie nous donne dans le Peregrinatio Silviæ des indications sur le rite de l'Église de Jérusalem de l'époque en expliquant que l'archidiacre invitait d'abord les fidèles à rentrer dans l'Éléona, d'où une procession partait vers le mont des Oliviers. Après cela, on descendait à nouveau dans l'église, où les vêpres étaient chantées[7] et où étaient lus Mt:24 et Mt:25[8].

Adossé au mont des Oliviers, le bâtiment était construit sur trois niveaux reliés par des escaliers :

  • L'église, au plus haut niveau, sur un rectangle de 30 x 18,6 mètres carrés, formée d'une allée flanquée de deux rangées de colonnes. L'abside était à l'est face au soleil levant. Un baptistère se trouve à sa porte sud ;
  • Atrium : une avant-cour à colonnades de 25 mètres de longueur, avec au centre une citerne voûtée sur piliers qui recueille l'égout des toits[9] ;
  • Le plus bas niveau côté ouest : un portique sur six colonnes.

Un couvent, un monastère et une chapelle appelée l'Apostolium furent ajoutés vers 430 par Mélanie la Jeune, chapelle où elle fut inhumée avec sa mère. Au cours du VIe siècle, la crypte et l'église étaient désignées sous le nom de Matzi ou Matheteion. Treize évêques et patriarches de Jérusalem y auraient été inhumés, dont Cyrille de Jérusalem[10] et Modeste de Jérusalem.

La Grotte dite « du Pater »[modifier | modifier le code]

Son emplacement avait été complètement oublié, et elle ne fut redécouverte qu'en 1911[11]. L'excavation qui s'enfonce dans une tombe du Ier siècle[12] se trouve sous le côté est de l'église. Sur le fronton de l'entrée est gravée l'inscription latine : Spelunga in qua docebat Dominus apostolos in Monte Oliveti[13] qui signifie « Grotte dans laquelle le Seigneur a enseigné à ses apôtres sur le mont des Oliviers ».

Il ne reste de l'édifice originel que quelques éléments architecturaux. Des travaux de reconnaissance non destructifs y ont été entamés en 2008[14].

Elle est encore appelée crypte du Credo[15] ou grotte du Credo[16],[17].

Destructions[modifier | modifier le code]

Selon Eutychius, elle fut incendiée par les Perses dirigés par Schahr-Barâz en 614[18], faisant environ un millier de victimes sur le mont des Oliviers, d'après Stratègios. Plus tard en 638, elle fut rasée par les Arabes musulmans d'Omar ibn al-Khattâb[19]. À la fin du VIIe siècle, Adomnan d'Iona dans De Locis sanctis l'évoque comme étant toujours debout ou reconstruite.

Sous Charlemagne qui, ayant obtenu en 807[20] de Hâroun ar-Rachîd la protection des lieux saints pour entre autres y fonder des établissements religieux[21], des bénédictins la relevèrent de ses ruines[22]. Un recensement des monastères de Terre sainte fait en 808 — le Commemoratorium de Casis Dei — nous apprend qu'elle était desservie par trois moines et un prêtre.

Elle semble avoir été détruite à nouveau en 1009 par Al-Hakim bi-Amr Allah[23]. Les croisés ayant reconquis la ville après le siège de Jérusalem en 1099, ils construisirent un petit oratoire au milieu des ruines entre 1102[24] et 1106[25]. Le croisé Bartolf de Nangis semble la décrire dans sa chronique Gesta Francorum Iherusalem expugnantium, et son état de ruine est confirmé par Sæwulf.

Une église est totalement reconstruite en 1152[26] grâce à Svend Svendsson, évêque de Viborg[27], et à son frère Sveinsson Eskill, amiral du Jutland, qui furent enterrés dans l'église en 1153[28] (leurs tombes furent redécouvertes en 1869 et ils furent réinhumés dans la nouvelle église).

Cette église, décrite en 1172 par un pèlerin allemand, Théodoric, aurait été fortement endommagée pendant le siège de Jérusalem en 1187 par Saladin[29], au point d'être abandonnée. Odoric de Pordenone mentionne encore une église en 1330 et Ludolph de Sudheim (Ludolph Schilder) parle d'une chapelle en 1336[30]. Selon le pèlerin franciscain Nicolás de Poggibonsi, elle tombe en ruines en 1345, pendant la domination mamelouk.

« Vue du complexe de la basilique Eleona ou église Pater Noster sur le Mont des Oliviers, Jérusalem », 1587.

En 1851, sous l'empire ottoman, on en exploita les ruines pour les vendre comme pierres tombales[31].

Reconstruction[modifier | modifier le code]

Travaux[modifier | modifier le code]

Émue par un sermon sur la désolation des lieux saints donné par le Père Poyet, patriarche latin de Jérusalem, la princesse Héloïse de la Tour d'Auvergne, fille de Joseph Aurèle de Bossi, partit pour Jérusalem en , et en dix ans, réussit à acquérir six hectares de terrain au mont des Oliviers[32].

Elle y fit bâtir en 1868, sous les ordres de l'architecte André Lecomte, un cloître de 30 mètres sur 20 mètres, sur le modèle du Campo Santo de Pise, dont les plans sont attribués à Eugène Viollet-le-Duc. Elle se livra également à deux années de fouilles, aidée de Charles Simon Clermont-Ganneau, qui était depuis 1867 drogman-chancelier du consulat français de Jérusalem[33], qui permirent notamment de dégager une mosaïque du Ve siècle où étaient inscrits en grec les psaumes 121:8 et 118:20. On y a aussi retrouvé l'épitaphe de Césaire de Heisterbach[34].

Les Pères blancs entreprennent de nouvelles fouilles en 1910-1911. Sont mises au jour les fondations de l'église d'Hélène, un atrium entourant une citerne, un baptistère et la fameuse crypte du Credo. Sont aussi découverts ossements, tablettes et monnaies. Dès 1913, un projet de restauration de la basilique de l'Eléona est envisagé mais le déclenchement de la Première Guerre mondiale suspend les travaux. Le projet connaît très vite une nouvelle vigueur en 1917 avec l'idée d'une basilique dédiée au Sacré-Cœur, soutenue par Monseigneur Germain, archevêque de Toulouse. Les Pères blancs lancent les travaux en 1919. Des vestiges anciens sont démolis pour reconstituer un sanctuaire couvrant la grotte. Pour permettre la reconstruction de la basilique, une partie du cloître est également détruit. Faute d'argent, le projet est arrêté. Divers travaux d'aménagement ad minima sont alors menés par l'Association des amis de l'Eléona en 1972 (architecte Charles Couasnon) puis en 1985-1986 par la France (architecte Yves Boiret)[35].

De nouveaux aménagements du site sont réalisés dans les années 2000 (rampe d'accès et installation de sanitaires) puis en 2011 où un jardin d'oliviers est ouvert aux visiteurs et aux pèlerins.

Don du site à la France[modifier | modifier le code]

Héloïse de la Tour d'Auvergne fait don du site à la France en 1868[36],[35].

Elle divise son terrain en trois, une partie (dont la grotte du Pater) fut donnée à la France, une partie aux sœurs carmélites, et une partie aux Pères blancs. La France confie la garde du sanctuaire aux carmélites en 1874[35].

Fondation du Carmel[modifier | modifier le code]

Sur les conseils de Père Alphonse Ratisbonne, Mère Xavière du Cœur de Jésus, du Carmel de Lisieux, rencontre la princesse Héloïse de la Tour d'Auvergne, et fondèrent un couvent de carmélites contemplatives en 1873, le Carmel du Pater[37],[35]. L'église est inauguré en 1874 et les travaux du monastère commencent l'année suivante. C'est au cours de ces travaux que sont découverts les peintures dans la crypte du « Credo ».

Vue d'ensemble des murs du cloître où sont posées les plaques multilingues du Pater Noster[modifier | modifier le code]

Des plaques reproduisant le texte du Pater Noster en plus de cent-soixante-dix langues (nationales ou régionales) sont apposées sur les murs du cloître[35],[38],[39]. Les Sœurs du Carmel continuent de promouvoir l'œuvre de la princesse de la Tour d'Auvergne. De nouvelles traductions sont régulièrement ajoutées.

Plaques multilingues du Pater Noster[modifier | modifier le code]

Mausolée[modifier | modifier le code]

Décédée à Florence en 1889, la princesse fut le , conformément à ses dernières volontés, enterrée dans le cloître[40], dans un mausolée de marbre blanc, surmonté de son effigie, que Napoléon III fit exécuter. Une urne, déposée dans une niche au-dessus du mausolée, renferme le cœur du père de la princesse, Joseph Aurèle de Bossi.

Situation[modifier | modifier le code]

L'église est adjacente à l'Apostoleion qui est un des lieux de station de la liturgie de Jérusalem[41] ainsi que de l'Imbomon.

Avec l'église Sainte-Anne, le Tombeau des Rois, et l'abbaye bénédictine d'Abou Gosh, elle fait partie des quatre territoires français de Jérusalem[42].

Cloître du Pater.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

  • Marcel Favier, architecte français chargé de la reconstruction de la basilique antique d'Eléona (1926 et après)[43]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Actes de Jean (extrait). Écrits apocryphes chrétiens, La Pléiade, 1997, p. 1005-1008, 97 : « je m'enfuis sur le mont des Oliviers, en pleurant à cause de ce qui était arrivé. Lorsqu'il fut suspendu le vendredi à la sixième heure, il y eut des ténèbres sur toute la terre ; et mon Seigneur se tint au milieu de la grotte… »
  2. Science catholique, revue des questions sacrées et profanes, 15 août 1894. Arculfus, De locis sanctis, ap. Itinera et descriptiones Terrae Sanctæ, p. 160.
  3. Martine Daire, Impressions et souvenirs. Terre Sainte, 1908 : « Arnulphe, au VIIe siècle, rattache à ce sanctuaire le souvenir des repas du Maître avec ses disciples, et voit dans la grotte quatre tables de pierre, où Jésus et ses apôtres s'asseyaient en convives ».
  4. Science Catholique, revue des questions sacrées et profanes, 15 août 1894 Ilin. Burdig. Tobler et Molinier, I, 18 : « Ibi facta est jussu Constantini Basilica mire pulchritudinis. » Pseudo-Eucher, de locis sanctis parle des deux églises célèbres du mont des Oliviers, l'une où le Christ enseignait ses disciples, l'autre où il quitta la terre.
  5. L’église du Pater Noster Elle fut construite à l'origine pour rappeler l'évènement de l'Ascension du Christ, fondamental pour les premiers chrétiens.
  6. blog Radio Notre-Dame.
  7. A Study of the Roman Breviary « …the archdeacon invited the people to assemble in the 'Eleona', from whence a procession was made to the summit of the Mount of Olives. Here, psalms and antiphons were sung, the Gospel was read and the blessing given. After this, the people descended again into the 'Eleona', where Vespers were sung… »
  8. Textes et rites de la Liturgie pascale dans l'ancienne Église copte.
  9. Melchior de Vogüé (1829-1916), Jérusalem, hier et aujourd'hui. Notes de voyage, 1912, page 47 : « Au centre de l'atrium de la basilique d'Éléona se trouve une belle citerne voûtée sur piliers, à la romaine, qui recueillait l'égout des toits et fournissait d'eau la fontaine des ablutions rituelles. Au flanc méridional de la basilique est accolé un baptistère avec bassin central, pavé en mosaïque. »
  10. Éléona, ou l’église du Pater. Également, c’est dans cette église que les évêques de Jérusalem étaient ensevelis, depuis 350 environ, dont le célèbre Cyrille de Jérusalem, mort en 386.
  11. A princess built the church Excavations by archaeologists in 1911 found the cave exactly where she (Princess de la Tour d’Auvergne) had predicted it to be. It was partly collapsed when it was discovered.
  12. Church of the Pater Noster The cave itself cuts partially into a 1st century tomb and was somewhat collapsed when rediscovered in the early 1900s.
  13. Le fronton sur le site TravelPod.
  14. Reconnaissances des structures en béton armé de la chapelle et de la grotte du Pater. Domaine de L’ELEONA (Mont des Oliviers, Jérusalem). Le LERM a réalisé une étude exploratoire sur site visant à reconnaître les structures anciennes en béton surplombant la chapelle et la grotte du Pater, par auscultation par radar géophysique : Cette méthode d’investigation non destructive a permis de localiser très précisément l’étendue et l’épaisseur d’une dalle en béton armé, dans un contexte archéologique dense où toutes autres formes de reconnaissances étaient proscrites.
  15. Père Barnabé Meistermann, missionnaire apostolique, Nouveau guide de Terre sainte, Paris, Alphonse Picard et Fils, éditeurs, 1907 : « En traversant la grande cour située à droite du cloitre, on rencontre à gauche, près de la porte de sortie, une ancienne citerne transformée depuis peu en oratoire sous le nom de crypte du Credo ».
  16. Revue de l'Orient Chrétien, recueil trimestriel, cinquième année, Paris, Librairie A. Picard et Fils, 1900 : « Quant à l'histoire de la grotte du Credo, seul vestige apparent de la basilique constantinienne de l'Ascension, je renvoie à la savante et lumineuse dissertation du P. Léon Cré, des Missions africaines » (La crypte du Credo au mont des Oliviers dans La Terre sainte, 1897, p. 105, 209, 226, 241 et 257).
  17. Le Palais de Caïphe et le nouveau jardin Saint-Pierre des Pères Assomptionnistes du Mont Sion, par le P. Urbain Coppens, A. Picard et fils (Paris)-1904 : « Dans une propriété des Pères Blancs, sur la même montagne, se trouve une petite piscine oblongue, une espèce de citerne, où, d'après Quaresmius, s'éleva jadis une chapelle dédiée à l'évangéliste saint Marc. Or, le R. P. Cré prétend que cette citerne est le saint Cénacle habituel du Christ, la grotte où il instruisit ses apôtres et prédit la fin du monde, la retraite où il passa généralement la nuit avec ses disciples, la crypte de la basilique Éléona, le lieu où les apôtres composèrent le Credo, d'où elle porte aujourd'hui le titre de Crypte du Credo » (La Crypte du Credo. Comment on vient de trouver le grand sanctuaire chrétien construit au mont des Oliviers au IVe siècle, ap. Œuvres d'Orient, Paris, 1897).
  18. Denys Pringle, The Churches of the Crusader Kingdom of Jerusalem: The city of Jerusalem.
  19. L'entrée triomphale à Jérusalem.
  20. Les Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem Au début, le chef musulman de Jérusalem tolérait les fondations chrétiennes et les pèlerins, reconnaissant officiellement, en 807, le nouvel empereur d'Occident, Charlemagne, en sa qualité de protecteur des chrétiens.
  21. André Vauchez, Richard Barrie Dobson, Michael Lapidge, Encyclopedia of the Middle Ages, Volume 1 : « Charlemagne obtained from Hâroun ar-Rachîd … a right of protection over the Latin establishments of Palestine … Several establishments were founded at this time - an abbey at the mount of Olives ».
  22. Élisabeth de Boutiny, Souvenirs d'un voyage en Palestine, 2 mai-12 juin 1903 : « Chosroès la rasa impitoyablement, mais, sous Charlemagne, des bénédictins la relevèrent de ses ruines que les croisés eurent plus tard à réparer de nouveau ».
  23. Carmel of The Pater.
  24. Maurice Halbwachs, La topographie légendaire des Évangiles en Terre sainte, 1941.
  25. Glossaire topographique de Jérusalem (Nouveau Testament).
  26. Denys Pringle, The Churches of the Crusader Kingdom of Jerusalem: The city of Jerusalem.
  27. Svend Svendsson, Bishop in Viborg.
  28. Family of Ulf "Galicienfari" Svend (-Jerusalem 30 Mar [1153], bur Jerusalem, Pater Noster Church, Mount of Olives). Bishop of Viborg [1132].
  29. Church of Pater Noster.
  30. Denys Pringle, The Churches of the Crusader Kingdom of Jerusalem: The city of Jerusalem.
  31. Dictionaire des antiquites bibliques, Félicien de Saulcy, 1859 : « Des débris de corniches, des chapiteaux corinthiens et des fûts de colonnes ornés de moulures évidemment romaines, ne laissent pas de doute sur l'origine de ce monument ruiné. Ses débris sont charriés à grand-peine, du point où ils ont été déterrés, vers le fond de la vallée de Josaphat, où ils sont vendus aux Juifs, pour être dépecés par eux et devenir des pierres tumulaires à ajouter à l'innombrable quantité de pierres de ce genre, qui tapissent tout le flanc de la vallée, depuis le tombeau d'Absalom jusqu'au village de Siloam ».
  32. Le Carmel en Terre sainte : des origines à nos jours, Silvano Giordano, Girolamo Salvatico, 1995.
  33. Charles Clermont-Ganneau.
  34. « Who was a Christian in the Holy Land? His epitaph was discovered in the ruins of the Church of the Eleona on the Mount of Olives » (Revue Eleona, 1975, octobre, p. 8).
  35. a b c d et e « L’action de la France en faveur du patrimoine chrétien en Terre Sainte, Yves Teyssier d’Orfeuil - 2014 | », sur Œuvre d'Orient - au service des chrétiens d'Orient, (consulté le )
  36. https://jerusalem.consulfrance.org/L-Eleona.
  37. « Histoire - Carmel Holy Land », sur carmelholyland.org (consulté le )
  38. La République française est la seule puissance étrangère à posséder des biens dans Jérusalem.
  39. Le Carmel du Pater. Des milliers de pèlerins provenant de tous les pays et de toutes les confessions viennent visiter la « grotte mystique » des enseignements eschatologiques du Christ pour prier le Pater dans différentes langues, inscrites sur les murs du Sanctuaire et du cloître, qui sont approximativement au nombre de 150.
  40. List of Christians in the Holy Land.
  41. …the 'Church of the Apostles' (Apostoleion), which was probably adjacent to the Church of the Eleona on the Mount of Olives.
  42. L’Éléona.
  43. « Architecture. Le Consulat de France à Jérusalem jouit d’une vue exceptionnelle. », (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Silvano Giordano et Girolamo Salvatico, Le Carmel en Terre Sainte : des origines à nos jours, Médiaspaul, , 222 p. (ISBN 978-2-7122-0535-5, lire en ligne), p. 167-168
  • Vailhé Siméon, L. Cré, des Pères Blancs : L'Eleona et autres sanctuaires de Jérusalem reconnus à Rome dans la mosaïque du IVe siècle de Sainte-Pudentienne, dans La Terre Sainte., Revue des études byzantines, (lire en ligne), p. 185

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