Gallardon

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Gallardon
Gallardon
Tour dite de l'Épaule
Logo monument historique Classé MH (1913)[1].
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Yves Marie
2020-2026
Code postal 28320
Code commune 28168
Démographie
Population
municipale
3 589 hab. (2021 en diminution de 0,94 % par rapport à 2015)
Densité 318 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 31′ 32″ nord, 1° 41′ 27″ est
Altitude Min. 107 m
Max. 158 m
Superficie 11,27 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Gallardon
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auneau
Législatives Première circonscription
Localisation
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Gallardon
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Gallardon
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Gallardon
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Gallardon

Gallardon est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune est située à 80 km de Paris, en direction de Chartres, à 20 km au sud-ouest de Rambouillet.

Position de Gallardon (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Position de Gallardon (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Carte de la commune de Gallardon et des communes limitrophes
Carte

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

  • Germonval ;
  • Montlouet ;
  • Les Gâtineaux.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Gallardon se situe dans la vallée de la Voise, affluent de la rive droite de l'Eure, au confluent avec l'Ocre, ruisseau prenant sa source dans la commune voisine d'Écrosnes et la Rémarde, prenant sa source dans le département des Yvelines.

Le canal Louis XIV, parallèle à la Voise, a été construit dans le cadre de l'approvisionnement en eau de l’aqueduc de Maintenon qui avait pour objectif d'alimenter en eau le château de Versailles.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 616 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Houx à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 622,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gallardon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gallardon, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[11] et 5 667 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,2 %), zones urbanisées (18,1 %), forêts (8,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Gallardon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment la Voise et la Rémarde. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2016[19],[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gallardon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 45 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 183 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 975 sont en aléa moyen ou fort, soit 82 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Galerdo en 1024[22] ; Walardo en 1028 (Dans une charte de l’abbaye de Coulombs)[23] ; Galardo en 1094[24] ; Galardo vers 1100[22] ; Galardum vers 1130[25] ; Saint Pierre de Gallardon en 1736[26].

L’origine du mot « Gallardon », viendrait du nom du seigneur local à l’époque Carolingienne : Galard ou Walha-hard. Les premiers documents mentionnant Gallardon disent « Walardo » en 1028 (ch. de l’abb. de Coulombs)[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

"En 1629, la peste a été dans le pays chartrain, ce qui obligea plusieurs personnes de Chartres de se retirer à Gallardon."

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Élections municipales du 15 mars 2020[modifier | modifier le code]

Aucun siège n'est pourvu lors de ce premier tour[27].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 1983 Michel Rousseau   Économiste
1983 2008 Guy Beaufils    
2008 En cours Yves Marie[28],[29] DVD Ingénieur ou cadre technique d'entreprise

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 3 589 habitants[Note 3], en diminution de 0,94 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2251 3011 2831 3981 4961 4511 4541 5311 566
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5821 6711 6671 4851 6151 4931 5521 5841 532
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4961 4471 5181 3351 3941 4861 4231 4531 500
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 4711 6562 0762 3032 5763 5103 4223 5133 654
2021 - - - - - - - -
3 589--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Gallardon dispose d'une école maternelle, d'une école élémentaire et d'un collège.

Un centre d'accueil maternel (P'tits Loups) et élémentaire (Grands Loups) assurent les activités périscolaires et extrascolaires.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

De nombreuses manifestations sont organisées sur la commune :

  • La foire de la Saint-Mathieu : depuis 1994 la foire de la Saint-Mathieu s'est déclinée sous différents thèmes. Elle était à l'origine une foire artisanale et commerciale afin de mettre en valeur les acteurs économiques de la ville en mettant l’accent sur les exposants et la communication. Cette foire n'a plus lieu depuis 2017
  • Le salon d'Art : cette exposition est devenue un rendez-vous incontournable des amateurs d’art. Elle rassemble chaque année des artistes de divers horizons : peintres, sculpteurs, photographes… Chaque année ce sont plus de cinquante artistes qui présentent leurs œuvres au public
  • Le Festivoise : l’association de musique de Gallardon « Espace Libre » organise en partenariat avec la commune, tous les ans dans le cadre de la fête de la musique, cet évènement musical qui permet à de jeunes talents d'émerger. Un festival est organisé place du Jeu de Paume à Gallardon

De nombreuses autres rendez-vous culturels ou festifs se déroulent tout au long de l'année.

Par ailleurs le tissu associatif est particulièrement développé et permet aux habitants de pratiquer de nombreuses activités sportives (football, basket-ball, tennis, tir à l'arc, badminton, judo, taekwondo, gymnastique, jardinage solidaire.)

Économie[modifier | modifier le code]

Gallardon se caractérise par une activité économique particulièrement dynamique. Le taux d'emploi est de l'ordre d'un emploi pour un actif, même si de nombreux Gallardonnais travaillent en dehors de la commune, en particulier en Île-de-France.

Deux zones d'activités (ZA) principales sont implantées à Gallardon :

  • la ZA Saint-Mathieu : cette zone d'activités de 23 ha a été créée dans les années 1990 et accueille des entreprises dans des secteurs variés (électronique, mécanique traditionnelle, aéronautique, cosmétique, imprimerie...). Un projet d'extension de 9,8 ha est en cours[Quand ?], il est assuré par la communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France ;
  • la ZA de Germonval : cette zone d'activités de taille plus modeste est la zone historique de Gallardon.

Le centre-ville historique de Gallardon est propice à l'exercice du commerce de proximité. À ce titre, Gallardon est un pôle de centralité vis-à-vis des communes voisines.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

La commune de Gallardon héberge l'office de Tourisme de la communauté de communes des Portes Euréliennes d'Ile-de-France. Il est situé 1 rue de la Herse, près de la mairie.

La commune dispose d'une médiathèque municipale dirigée par des professionnels et également animée par des bénévoles. Cette structure qui compte plus de 1 200 adhérents, organise régulièrement des animations : bébé lecteur, l'heure du conte…

Parmi les nombreuses associations dont la commune dispose, l'association l'Épicerie solidaire Brahmari[34] permettait de venir en aide à toute personne souhaitant être bénéficiaire des avantages que l'association propose, notamment la vente de denrées alimentaires à 30 % du prix des grandes surfaces, accessible uniquement sous conditions de revenus. Des ateliers étaient régulièrement organisés, comme les ateliers socio-esthétiques, numériques ou le café-rencontre. L'association a du fermer ses portes en décembre 2023 et laisser la place à la gendarmerie.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, XIIe et XIIIe siècles, Logo monument historique Classé MH (1862)[35] ;
  • Tour de l'Épaule, donjon féodal du XIIe siècle, témoin d'une place forte médiévale, Logo monument historique Classé MH (1913) ;
  • Rue de la Porte-Mouton, maison à pans de bois sculpté du XVIe siècle, Logo monument historique Classé MH (1889)[36] ;
  • Église Saint-Éloi de Montlouet ;
  • Moulin de Montlouet :
Le moulin à vent de Montlouet était une possession du seigneur d’Esclimont, également marquis de Gallardon. Jusqu’en 1686, le moulin était entièrement en bois et orientable selon le sens du vent. À la recherche de matières premières, les ouvriers venus pour la construction de l’aqueduc de Maintenon le détruisent.
À la Révolution, les terres seigneuriales sont vendues comme biens nationaux. Le duc de Luynes, descendant du seigneur d’Esclimont, rachète la totalité du patrimoine de ses ancêtres. Les terres de Montlouet sont laissées en fermage. En 1810, alors que le moulin à eau de la ferme fonctionne toujours, l’idée de reconstruire un moulin à vent sur le point culminant de la plaine, à l’emplacement initial, se concrétise. Il est, cette fois, en pierre et seul son toit est orientable. Ce moulin fonctionnera un siècle. Vers 1914, faute d’activité, le moulin s’arrête définitivement. Laissé à l’abandon, il tombe en ruine. Ses ailes ont disparu depuis longtemps lorsqu’en 1952, une tempête arrache son toit.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Claude de Bullion (1569-1640), intendant des finances de Louis XIII, seigneur de Gallardon ;
  • Thomas Martin (1783-1834), visionnaire, né à Gallardon ;
  • Michel Vovelle (1933-2018), historien, ancien directeur d'Institut d'histoire de la Révolution française, né à Gallardon.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gallardon Blason
D'or au chef de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Essais et anecdotes historiques concernant la ville et le marquisat de Gallardon, rédigé en 1773 par Saunier, bailli de Gallardon[Note 4] ;
  • La Tour de Gallardon à travers les âges, par André Voisin, Chartres, imprimerie Garnier 1895, 15 pages[37] ;
  • Gallardon, son église paroissiale, ses chapelles, notice illustrée de 22 gravures et de nombreuses vignettes, par G. Gillard, éditeur E. Lechevalier, 1899, 114 pages[38] ;
  • Un compagnon d'arme de Jeanne d'Arc : Jean d'Alençon, seigneur de Gallardon par G. Gillard, Chartres, éditeur Garnier, 1910, 9 pages[39] ;
  • L'instruction populaire à Gallardon et dans la Beauce, depuis le XIIe siècle jusqu'à nos jours, note d'histoire locale parue dans la revue du diocèse de Chartres en 1922[40] ;
  • Gallardon. Ses Souvenirs Historiques. Ses Monuments, par le docteur G. Gillard, vice-président de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, 1933, 32 pages ;
  • Les Seigneurs de Gallardon, de la maison de Refuge (1521-1584) par G. Gillard, 72 feuillets manuscrits[41] ;
  • La voirie au "Pays de Gallardon" aux XVIIe et XVIIIe siècles[42] ;
  • Société archéologique d'Eure-et-Loir, Bulletin « Sites et monuments d'Eure-et-Loir - Gallardon », no 51, Chartres, SAEL, 4e trimestre 1973, 52 p. (ISSN 0222-8955, lire en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Le manuscrit de 89 pages rédigé par Saunier, notaire puis bailli de Gallardon, appartenait à Mademoiselle de Montmorency, fille du Duc de Luynes. En 1836, une copie a pu en être faite, laquelle a été transcrite et imprimée par René Boyer et peut être consultée aux archives départementales d'Eure-et-Loir sous la cote BR 5.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Tour dite de L’Épaule », notice no PA00097119, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Gallardon et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Houx », sur la commune de Houx - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Houx », sur la commune de Houx - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Gallardon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Gallardon », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. a et b Dans une charte du prieuré d’Épernon.
  23. a et b Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  24. Dans une charte de l’abbaye de Bonneval.
  25. Dans le cartulaire de Thiron.
  26. René Merlet, Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790, Garnier, p. 77.
  27. Ministère de l'Intérieur, « Résultats du 1er tour - Gallardon », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Épicerie Solidaire Brahmari.
  35. « Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul », notice no PA00097117, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Maison en bois », notice no PA00097118, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Médiathèque de Chartres, cote SA 5616.
  38. Consultable à la médiathèque de Chartres sous la cote 913 A.
  39. Consultable à la Médiathèque de Chartres sous la cote SA 2914.
  40. La première partie de cette note d'histoire peut être consultée à la médiathèque de Chartres sous la cote JUSS R 562/16.
  41. Archive de la Société archéologique d'Eure-et-Loir consultable à la Médiathèque de Chartres sous la cote SA 5025.
  42. Note d'histoire locale parue dans La République du Centre du 14 septembre 1962.