Jean-Yves Ruf

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Jean-Yves Ruf
Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Acteur, auteur, metteur en scène

Jean-Yves Ruf est un acteur, auteur, metteur en scène de théâtre et d'opéra et pédagogue français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Après une formation littéraire et musicale, Jean-Yves Ruf intègre l’École nationale supérieure du Théâtre national de Strasbourg de 1993 à 1996 puis l’Unité nomade de formation à la mise en scène en 2000.

En juillet 2013, il met en scène l'opéra Elena (en) (1759), de Francesco Cavalli (1602-1676), dramma per musica en un prologue et trois actes, sous la direction musicale de Leonardo García Alarcón, avec notamment Emöke Baráth (Elena/Venera) et Valer Barna-Sabadus (Menelao), au Théâtre du Jeu de Paume, dans le cadre du festival international d'art lyrique d'Aix-en-Provence.

Famille[modifier | modifier le code]

Il est le frère d’Éric Ruf, administrateur général de la Comédie-Française.

Théâtre[modifier | modifier le code]

Comédien[modifier | modifier le code]

Metteur en scène[modifier | modifier le code]

Dramaturge[modifier | modifier le code]

  • 2001 : Erwan et les Oiseaux
  • 2004 : Unplusun
  • 2012 : L'Homme à tiroirs

Filmographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Fabienne Darge, « Une passionnante « pièce à problèmes » de Shakespeare à la MC93 », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  2. Comédie-Française, « Dossier de presse “Troïlus et Cressida” », (consulté le ).
  3. Gilles Macassar, « “Don Giovanni” laisse la part belle à l’ambiguïté », sur Télérama.fr, (consulté le ).
  4. Marie-Aude Roux, « “Elena” à Aix-en-Provence, un miracle de sensualité », Le Monde, no 21298,‎ , p. 14 (lire en ligne).
  5. Gilles Macassar, « “Elena”, la pépite du Festival d’Aix-en Provence », sur Télérama.fr, (consulté le ).
  6. Dimitri Aguero, « “ELENA” de Cavalli Festival d’Aix-en-Provence 2013 », sur www.facebook.com, (consulté le ).
  7. « Dossier de production », sur Espace des Arts.
  8. « Le théâtre baroque espagnol de Calderón dans l’écrin vert de Bussang », Libération,‎ (lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]