Famille d'Arpajon

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Famille d'Arpajon
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Armes anciennes.
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Armes modernes.

Période XIIe – XVIIIe siècles
Pays ou province d’origine Rouergue
Allégeance Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Fiefs tenus

La famille d'Arpajon est l'une des plus grandes familles médiévales du Rouergue jusqu'à son extinction au XVIIIe siècle.

Origines[modifier | modifier le code]

La famille d'Arpajon, branche puînée des comtes de Rodez[1], tirait son nom d'une seigneurie gentilhommière qu'elle possédait et qui comptait sur son territoire un château de ce nom situé dans le Gévaudan, près de l'ancien château d'Hauterives (Gorges du Tarn), sur la paroisse de Saint-Hilaire de la Parade, sur le causse Méjean, actuellement en Lozère.

Possessions[modifier | modifier le code]

La terre d'Arpajon a été érigée en duché-pairie[2] (non enregistré) en (le siège est fixé à Séverac-le-Château) puis en (le duché est alors sis à Calmont et Séverac redevient un marquisat), pour Louis d'Arpajon, qui était aussi le seigneur de Brousse, Montclar[3], …

Personnalités[modifier | modifier le code]

Armes[modifier | modifier le code]

Armes parlantes (Harpe/Arpajon).


Références[modifier | modifier le code]

  1. Hippolyte de Barrau, Documents historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue dans les temps anciens et modernes, tome 1er, pages 361 à 421, Rodez, 1853-1860 (lire en ligne).
  2. « Arpajon (Rouergue) duché-pairie ; (Châtres) : marquisat ; généalogie », sur Histoire de la Maison royale de France, par le père Anselme de Ste-Marie et Honoré du Fourny, Compagnie des Libraires associés, 1730, tome V, p. 878-900
  3. « Histoire locale », sur Montclar-Sud Aveyron
  4. a et b Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles par M. Jean Raybaud, avocat et archivaire de ce prieuré : tome I (2o partie) », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXVII,‎ , p. 376, lire en ligne sur Gallica
    Bertrandon apparaît généralement dans les archives du prieuré de Saint-Gilles avec le prénom Tandon (syncope linguistique). Dans certains ouvrages plus récents on l'appelle Bertrand, ce qui entraine une confusion et un amalgame avec son frère.
  5. Guillaume de La Croix, Histoire des évêques de Cahors, traduction du latin de Louis Ayma, J.-G. Plantade, Cahors, 1879, tome 2, pp. 241-274 (lire en ligne).
  6. Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles par M. Jean Raybaud, avocat et archivaire de ce prieuré : tome II », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXVIII,‎ , p. 226-232, lire en ligne sur Gallica
  7. a b et c Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887
  8. Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron, tome 6, 1846-1847.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Hippolyte de Barrau, Documens historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue (vol.1), Rodez, (lire en ligne), p. 361 à 421.

Articles connexes[modifier | modifier le code]